Lorsque Hugo Chávez était candidat à la présidence, il avait le verbe acerbe, chargé de critiques et disqualifiait la classe politique de l’époque. Il dénonçait des situations, que c’est certain, représentaient des problèmes que les vénézuéliens désiraient surmonter. Nous tous nous nous souvenons des appellatifs qu’il avait pour la classe politique de l’époque : corrompus, pourris, et selon lui les décisions s’étaient prises “entre coqs, à minuit, de dos au peuple”.
Les politiciens chavistes aujourd’hui, après 17 ans, ne son pas un exemple de vertus. Beaucoup d’entre eux se font remarquer par l’ignorance qu’ils exhibent avec fierté, et ne savent même pas s’exprimer correctement. La pléiade de corrompus du régime chaviste voyage partout dans le monde, en affichant leurs malhonnête richesse. Il se font remarquer par leur grandes maisons, appartements et immeubles luxueux. D’autres possèdent des aras où ils élèvent des pure sang. Chaviste malhonnête qui se respecte se déplace dans son avion privé et à des centaines de millions de dollars dans des comptes dans des paradis fiscaux. Le noyau dur et pourri du PSUV n’a aucun contact avec le peuple qu’ils oppressent et soumettent à la pire qualité de vie du continent américain. Ils empêchent l’expression démocratique du peuple, ou tout simplement ils l’ignorent. Ils ont à leur service, une version améliorée des tribus judiciaires que Chávez critiquait dans ses interminables et insupportables discours. L’infiltration des institutions de l’État par les cupules pourries du PSUV est alarmante. Par exemple, à ce rythme là, bientôt le maire de Libertador dispatchera depuis le bureau de la présidente du CNE! Les entités prévues dans la Constitution ne sont plus au service du peuple, mais qu’un projet politique.
Chávez souvent critiquait les militaires qui s’étaient rapproché du pouvoir politique. L’actuelle cupule militaire se donne entièrement au projets politique psuviste. Beaucoup de militaires ont une qualité de vie impossible de financer avec leurs salaires, ainsi que des privilèges jamais vu avant dans notre pays. Chávez disait que notre souveraineté était compromise. Que les étasuniens faisait tout ce qu’ils voulaient dans notre pays. Que l’empire nous tenait à genoux. Et il disait que ses opposants étaient des laquais de l’empire.
Et pourtant la situation de notre souveraineté n’a jamais été aussi compromise qu’aujourd’hui . À Miraflores aucune décision n’est prise sans l’aval de La Havane. Chávez a mis sur un plateau d’argent ce que Fidel Castro a toujours voulu : le contrôle du Venezuela et de son pétrole. Des militaires cubains ont des fonctions de supervision des officiers et troupes vénézuéliennes au Fuerte Tiuna. Qui, aujourd’hui, peut parler de souveraineté au Venezuela?
Le pays est littéralement assailli par des bandes criminelles. Et le responsable de cette situation, n’est autre que le même qui a pris la décision de désarmer la police, de peur, dans sa lâcheté, qu’ils se révoltent et luis fassent un coup d’état.
Aujourd’hui le pays est complètement dépendant de décisions prises à l’extérieur. Des prêts chinois, en passant pas les crédits russes pour acheter de la ferraille militaire, et des aliments que les vénézuéliens ne trouvent pas, tout cela sont des mesures accordées en dehors du pays par des entités qui mettent le régime vénézuélien à genoux.
La souveraineté économique tout simplement n’existe pas.
L’exploitation chaviste de PDVSA la menée à la faillite. Ils n’ont pas eu l’intelligence d’investir un peu de la manne pétrolière qui ont rempli les arches de la nation durant les derniers quinquennats. Celle qui fut l’entreprise la plus solide de toute l’Amérique Latine, aujourd’hui n’est plus qu’une coquille vide qui ne paye plus personne, et pire, n’a plus moyen d’investir pour la mise en route de nouveaux puits pétroliers pour remplacer ceux qui s’épuisent. Ce qui a pour conséquence la décroissance se la production et les difficultés financières qui en découlent pour l’industrie, et pour le pays. Et comme si cela n’était pas suffisant, le régime ne trouve rien de mieux que de donner les concessions d’exploitation d’or à 150 entreprises étrangères qui vont détruire notre Amazone pour continuer à alimenter la rente chaviste et les désastres qui en découlent.
La cerise sur le gâteau de la défaite de Hugo s’appelle Nicolás Maduro. Chávez n’a pas eu la capacité de convoquer les meilleurs. Il a du se conformer avec les larbins qui acceptaient ses manières grossières et tyranniques. Il a pensé donc que Nicolás c’était ce qu’il y avait de moins pire.
La défaite vénézuélienne n’a qu’un seul nom : Hugo Rafaél Chávez Frías
José Vicente Carrasquero