Une enquête qui dure depuis des années et une dénonce qui ne parait inquiéter personne, montre comment le Venezuela castro-chaviste est la planque depuis laquelle les terroristes les plus dangereux réussissent à se déplacer partout dans le monde et préparer leurs actions criminelles protégés par des documents d’identités émis par les bureaux de l’immigration vénézuélienne. Voici le travail d’investigation réalisé en 2014 par Adriana Rivera et publié sur le site "Armando Investiga"

Les corps de sécurité d’au moins trois pays (Canada, Liban et Bulgarie) ont détecté des voyages de membres de groupes irréguliers liés avec l’extrémisme islamiste, et les suspects portaient des passeports vénézuéliens . La prolifération de documents émis à Caracas comme façade pour des agents sous couvert, se produit dans le cadre de la coopération avec La Havane en ce qui concerne l’identité, puisque ce sont eux qui s’occupent aussi de l’émission de documents diplomatiques.
Qu’ont ils en commun l’auteur intellectuel d’une attaque à la bombe dans un bus qui en 2012 a tué 12 israélien en Bulgarie, le responsable du kidnapping de sept touristes estoniens à l’est du Liban en 2011, et des iraniens demandeurs d’asile au Canada entre 2009 et 2011, tous avec des documents jugés par les autorités de ces trois pays comme “irréguliers”?
Tous voyageant avec passeport vénézuélien!

Durant les cinq dernières années, les services de sécurité de ces trois pays - Liban, Canada et Bulgarie - ont détecté des individus appartenant a des groupes irréguliers, extrémistes ou à de réseaux qui les soutiennent, la plupart originaires du moyen orient, traversant leurs frontières avec des passeports vénézuéliens. Et le détail important est qu’il s’agit de vrais documents et non de falsifications.
Depuis 2000, Cuba et Vénézuela ont un accord de coopération qui les a mené à signer des accord dans différents secteurs, mêmes les plus sensibles pour la sécurité et la défense du pays, comme peut l’être le service d’identification des citoyens. En 2003, avec des fonctionnaires cubains, Chávez créa la “Misión Identidad” comme mécanisme pour l’émission des pièces d’identité des vénézuéliens - indispensables pour voter - pour plus de trois millions de personnes, en vue du référendum révocatoire oui a eu lieu l’année suivante.
Un témoin privilégié des traités entre le Venezuela et le Cuba pour les changements d’identité civile, l’ancien conseiller du Ministre de l’intérieur, l’ingénieur vénézuélien Anthony Daquin a expliqué que, par le biais de ce traité, les cubains ont donné des documents vénézuéliens à des agents d’intelligence et membres d’organisations radicales, pour ne pas éveiller des soupçons. Récemment des documents déclassifiés du Service d’immigration du Canada confirment que des citoyens de nationalité iranienne ont traversé leur frontière avec des passeports vénézuéliens qui ont été considérés “non appropriés” , calcification qui comprend ceux qui voyagent avec des documents faux, trafiqués, volés ou des vrais documents mais qui ont été obtenus avec une fausse identité.

Le hub de La Havane
Les premières pistes retrouvées sur ce patron de voyages datent de plus de 10 ans, lorsque Chávez a commencer à se lier politiquement et économiquement avec le gouvernement syrien de Bashar al Assad et l’iranien Mahmud Ahmadineyad.
En février 2003 Hasil Mohammed Rahaham-Alan est arrêté à Gatwick - Londres sur un vol de British Airways qui est partit de Caracas en passant par la Colombie et Barbades, avec un passeport vénézuélien. L’homme avait une grande dans ses bagages et son arrestation a provoqué l’évacuation du terminal aérien et la mobilisation de militaires. C’était juste deux ans après l’attaque des tours jumelles de New York, et l’alarme causée par l’explosif a été à l’origine de retards dans les vols.
Deux ans plus tard est arrêté Rodrigo Granda, le “chancelier” de la guérilla colombienne des FARC. Même si Washington ne s’est pas mêlé de l’opération exécutée par la Colombie en territoire vénézuélien, la réclamation à Caracas pour avoir accueilli un terroriste, exprimé par la note du Département d’Etat, contenait une révélation: “Nous exigeons au gouvernement vénézuélien qu’il explique pour quoi a t’il permis qu’un terroriste des FRAC, puisse se déplacer librement dans le territoire national, et même, qu’il puisse obtenir un passeport vénézuélien”.

Suite aux attentats terroristes aux USA et en Europe, les mesures de sécurité ont été augmentées. L’Organisation d’Aviation Civile IATA, dont le siège se trouve à Genève en Suisse, a établit que tous les pays devaient émettre des passeports électroniques, avec des chips contenant des données biométriques, tels que empreintes digitales, au plus tard pour 2010. Le Venezuela a commencé à les fournir en 2007, de la main de son principal allié politique: le Cuba, qui a délimité comment devrait être modernisée le bureau National d’identification, Migration et des Etrangers, l’ancien ONIDEX, pour faire un pas en avant vers l’actuel SAIME. Sous la tutelle des l’île caribéenne, les entreprises qui fournissent les passeports biométriques ont été licités par les cubains. l’île qui n’apparait pas dans le radar des pays avec plus de technologie électronique et biométrique, et donc, ne compte pas avec la capacité technique pour fabriquer ce type de matériel ni créer les programmes informatiques correspondant, est devenu un intermédiaire. En 2005 a été crée l’entreprise ALBET Ingénieurs et systèmes, bras commercial de l’Université des Sciences Informatiques de La Havane (UCI), à laquelle le Venezuela acheté grande partie des softwares utilisés par l’administration publique, comme le SAIME, les services notariales, les services d’urgence et la police.

“Cuba a besoin de placer des agents aux Etats Unis, au Venezuela, au Mexique et en Espagne, là où se concentre la diaspora de l’île, pour multiplier la présence de leurs services d’espionnage. Ils vendent aussi cette information à d’autres pays, groupes extrémistes ou religieux, qui se servent de l’île pour s’infiltrer”, explique Anthony Daquin, ingénieur vénézuéliens qui depuis vit sous protection aux Etats Unis suite à des menaces reçus pour ses critiques de l’ingérence cubaine dans le système d’identification vénézuélien. Il a commencé à travailler avec les systèmes d’identification intelligentes en 1992. Taquin assure que membres de groupes terroristes di Hezbollah, Hamas et des FARC voyagent avec une double identité sans activer les alarmes, car ils possèdent un passeport qui leur permet d’entrer en Europe et toute l’Amérique, sans besoin de Visa.
Une alerte s’est quand même déclenchée dans la région en 2008, lorsque le directeur de lImmigration du Costa Rica, Mario Zamora, a noté un flux constant d’arabes qui voyageaient avec des passeports vénézuéliens, ce qu’il a communiqué aux fonctionnaires de l’ambassade des Etats Unis à San José. Le fait fut signalé dans un des câbles du Département d’Etat filmé par wikileaks en 2011. La représentation diplomatique a suggéré d’alerter leur ambassade à Caracas et les services de l’immigration sur cette pratique qui pourrait cacher ou faciliter des déplacements de terroristes aux Etats Unis.
Gatos venezolanos por liebres iraníes, ou tromperies sur la marchandise
Un rapport de juillet 2012, réalisé par l’Agence des Services Frontaliers du Canada, explique les particularités "douteuses" de la migration des iraniens vers ce pays entre 2009 et 2011. Ce qui a frappé les autorités c’est la méthode pour tromper les contrôles, et leurs possibles liens avec le crime organisé. Le rapport indique que malgré le grand nombre de personnes détectée, les iraniens ont un grand taux de succès pour rentrer avec des document “inappropriés” : un sur trois réussi et demande l’asile. Les officiers signalent la participation complice de fonctionnaires de l’aéroport de marqueta, principal aéroport du Venezuela , ainsi que de personnel des lignes aériennes pour leur faciliter le voyage. “Ces dernières années, les principales villes de provenance de personnes avec des documents inappropriés qui sont arrivés au Canada son: Mexico DF, Mexique; Londres, Royaume Uni; Caracas, Venezuela et Frankfurt, Allemagne”, précise le document.
En prenant ce rapport comme point de départ , le Centre pour une Société Libre et Sure (SFS), organisme pour l’étude des thèmes de sécurité et défense dont le siège se trouve à Washington, a fait une enquête, dont les résultât ont été publies en juin dernier
Les auteurs signalent que les autorités Vénézuéliennes ont émis, entre 2008 et 2012 au moins 173 passeports, visas et autres documents à des islamistes radicaux qui cherchaient à rentrer en Amérique du Nord sans attirer l’attention. Ils ont aussi trouver des évidences que l’Iran collabore avec le Cuba et le Venezuela pour exploiter les faiblesses du système d’immigration canadien. mais non seulement des iraniens, mais aussi des sirènes et des libanais liés à l’Hezbollah portent des documents Vénézuéliens.
Les enquêteurs assurent que Tareck El Aissimi, gouverneur de Aragua, est le pont pour les extrémistes du moyen orient. El Aissimi aurait faciliter des documents à des terroristes quand il était Ministre de l’Intérieur entre 2008 et 2012, et aurait crée un réseaux de blanchiment d’argent pour couvrir le financement de ces groupes.

“Il compte avec des réseaux qui traversent l’Iran, l’Irak, la Syrie, le Liban et la Jordanie”, précise Humire, directeur du SFS et qui a dirigé l’enquête. “Depuis fin 2012, nous avons collecté information et sommes allés au Venezuela et autres pays. Nous avons pu constater l’existence de différents documents irréguliers: passeports, extraits de naissance, pièces d’identité, cartes de sécurité sociale”. Humire affirme que les autorités étasuniennes sont au courant de cette situation depuis plusieurs années. Jaime Ruiz, porte parole des Douanes et protection frontalière des Etats Unis (CBP), service attaché au Département de Sécurité , ne confirme pas qu’il y ai des citoyens provenant du Moyen Orient qui voyagent avec des documents vénézuéliens, mais confirme que tous les points frontaliers sont protégés et alertes face à cette menace.
Les états Unis ont appliqué des sanctions à certains vénézuéliens d’ascendance syrienne et libanaise pour leurs liens avec le Hezbollah. En 2008, le Département du Trésor a sanctionné Ghazi Nasr al Din et Fawzi Kanaan, accusés de lever des fonds pour financer des voyages de l’organisation terroriste, raison pour laquelle leurs bien ont été gelés et il leur est interdit tout commerce en sol étasunien. Nasr al Din a été fonctionnaire diplomatique de Caracas à l’ambassade de Damas puis ensuite au Liban. Quatre ans plus tard le gouvernement étasunien a démantelé un réseau de blanchiment d’argent de l’arment du trafic de drogues pour le Hezbollah, avec à la tête Ayman Joumaa, lié aux vénézuéliens Abbas Hussein Harb, Ali Houssein Harb y Kassem Mohamad Saleh, propriétaires d’entreprises au Venezuela et en Colombie.
Modus Operandi de Alba
En avril furent révélé des détails sur l’attentat à la bombe qui le 18 juillet 2012 a tué cinq touristes israéliens à l’aéroport de Busgas, la deuxième ville de Bulgarie.
La journaliste Ana María Luca, du site Now et qui couvre le Moyen Orient, a révélé que le quatrième membre du groupe qui a perpétré l’attaque, considéré comme l’auteur intellectuel de l’acte terroriste, s’est servi d’un passeport vénézuélien pour passer de la Turquie en Bulgarie. “Quatre hommes, de quatre nationalités différentes voyagent en Bulgarie depuis quatre continent différents par quatre frontières, sans aucune apparente connexion entre eux. Font du suivi des vols, vérifient les bus les plus utilisés par des touristes israéliens, surveillent les hôtels et dessinent un plan. Prennent avantage du manque de sécurité dans le petit pays baltique et du fait que leur forces de sécurité n'ont aucune expérience en ce qui concerne des attaques terroristes de kamikazes” a écrit Luca.
Un autre homme, lui aussi avec un passeport vénézuélien était permis les terroristes qui ont séquestré les sept cyclistes en Estonie, à Zahlé, à l’est du Liban le 23 mars 2011. “Wael Abbas, l’homme clé de cette action, avait voyagé au Quatar depuis Damas, avec un vrai passeport vénézuélien” a signalé le quotidien libanais The Daily Star. L’enquête a révélé que Abbas attendait un paiement de 120.000 dollars, mais qu’il n’en avait reçu que 40.000
Lors d’une intervention à l’audience du 9 Juillet 2013 face au Comité de Sécurité Nationale du Congrès des Etats Unis, Humire et autres experts en sécurité on expliqué que ce n’est pas seulement le Venezuela qui émet des passeports à des personnes liées à des groupes irréguliers, mais que c’est une opération orchestrée avec les pays de l’Alternative Bolivarienne des Amériques ALBA, et tout particulièrement la Bolivie et l’Equateur.
Comme s’il s’agissait d’une franchise, Cuba a étendue ses services d’identification à d’autres pays de la région, spécialement à ceux de l’ALBA. Les clauses des contrats au Venezuela lui permettaient de commercialiser les programmes dans d’autres pays, et c’est comme cela que le régime cubain à profite de ce trampoline pour s’étendre chez les voisins.
L’argentine et la Bolivie, par le biais de décrets présidentiels, ont eux aussi mis entre les mains des cubains la direction de leurs systèmes d’identification électronique, par l’entreprise Datys.
En argentine, cela a commencé en 2011, avec la création du Système Féderal d’Identification Biométrique pour la Sécurité, qui prétend recueillir les donnée de 40 millions d’argentins pour la prévention du crime. En Bolivie, on retrouve leur traces depuis 2009, par un décret de Evo Morales qui autorisé Datys a fabriquer les passeports de lecture magnétique, autant les réguliers comme les diplomatiques. Avec cette portée régionale, les cubains contrôlent l’identité de près de 80 millions de personnes dans la région.
Les références diplomatiques aussi
Un passeport diplomatique a sauvé le consul vénézuélien Hugo Carvajal Barrios d’un long séjour dans une prison des états Unis, pays qui l’accuse de collaborer avec le trafic de drogues. Fin juillet, après avoir été arrêté pendant cinq jours à Aruba, où il représentait le gouvernement de Maduro, il fut libéré lorsque la Hollande lui a reconnu son immunité diplomatique. Voilà l’importance de ce document.
Même si en Bolivie les cubains fabriquent les passeports diplomatiques depuis le début de leur contrat, c'est à peine depuis deux ans qu'ils le font pour la Chancellerie vénézuélienne. Des fonctionnaires de cette Chancellerie confirment que depuis, ils ont remplacé le livre, écrit à la main par un calligraphe au RdC de la Maison Jaune, avec des scellés et un ruban tricolore qui unissait les feuillets.
Les dates coïncident. L'édition de la revue scientifique de l'Université des Sciences Informatiques de Cuba de novembre 2013 affiche un article sur les processus d'émission des passeports diplomatiques, du service et des accréditations du Venezuela, dans lequel Idia Herrera Rivero et Annie Cubas González, du Centre d'identification et Sécurité digitale, discutent sur les modifications qui ont été apportées au Système des passeports diplomatiques dû Ministères des relations extérieures à Caracas.
"Il était nécessaire de les changer, car le passeport antérieur n'offrait aucune sécurité. En Asie son authenticité était constamment remis en cause". Elle remémore que le changement à commencé en 2011, quand le SAIME a ouvert un bureau d'abord à la Chancellerie qui s'est installé définitivement à la Maison Jaune.

Herreros et Cubas ont analysé les faiblesses de l'ancien système d'émission de passeports diplomatiques, qui par Loi sont donnés aux responsable des missions diplomatiques et leurs familles. ils ont donc constaté des failles tels que la non fiabilité du registre de l'information manuscrite dans les livres; la transcription et récupération des données dans le système, et le manque de contrôles sur l'expédition des passeports des années précédentes. Ils justifient le changement, fait par les cubains, avec la situation suivante: "les mécanismes de sécurité pris en compte pour la demande et émission de passeports diplomatiques sont insuffisant, puisqu'il n'y a pas de validation ni des données fournies ni de l'identité du demandeur, ce qui représente un gros risque”.
La solution informatique qu'ils ont créé consiste en un module de rendez-vous pour la demande du document, qui apparaît dans l'intranet de la chancellerie, et sur laquelle les fonctionnaires doivent s'inscrire avant d'aller à la Maison Jaune, au service du protocole, où les photos et données sont prises". "Nous avons pu y voir des cubains, que nous savons qui sont garde du corps de ministres ou vice-ministres, dans le même bureau, attendant de se faire faire un passeport diplomatique", confirme une employée du service. Un autre ajoute: " Depuis 2005, avec Alí Rodriguez Araque d'abord puis Maduro ensuite, il y avait chaque fois plus de cubains dans la salle d'attente pour se faire faire un passeport diplomatique. ". Un autre fonctionnaire relate que la première fois qu'il a eu un document diplomatique, il n'a pas été reçu par les personnel habituel, ni par les calligraphes : "Une femme cubaine s'est occupée de la paperasse interne, a rempli les formulaires et les a signé". Les cubains disposent des données d'identification et des documents des Vénézuéliens , ainsi que des fonctionnaires, leur poste et leur service à l'étranger. Une maîtrise de l'information des donnes sensibles qui fait sonner toutes les alarmes depuis un bon bout de temps.
C’est comme cela, qu’entre 2008 et 2013, au moins 173 personnes liées à ces groupes islamistes radicaux détiennent des passeports (normaux et ou diplomatiques) émis par le Venezuela.
TERRORISTES AVEC DES PASSEPORTS VÉNÉZUÉLIENS FAITS AU CUBA SONT ARRÊTÉS AU CANADA:

"Le Canada a dû arrêter l'entrée d'iraniens, syriens, et libanais liées aux branches violentes du terrorisme musulman", qui portaient des documents vénézuéliens. L'ordre exécutive du Président Barak Obama qui sanctionne le gouvernement de Nicolas Maduro, s'est justifiée par la "menace inusuelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et la politique extérieur des États Unis que représente le Venezuela." Et le Secrétaire du Trésor, Jacob Lew a déclaré que la décision avait pour objectif de protéger le système financier étasunien des "courants financiers illégaux de la corruption publique du Venezuela."
Il existe donc un lien dangereux, lorsque le Canada se voit dans l'obligation d'arrêter le flux de personnes avec des passeports vénézuéliens, mais qui en réalité sont iraniens, syriens ou libanais, tous en relations avec les branches violentes du terrorisme islamiste, car il existe une violence, comme on a pu le constater, comme celle de l'Etat Islamiste et leur méthodes brutales.
Et on ne peux que faire le lien entre ces documents et La Havane. Vue la technologie avec laquelle l'île réalisé le programme de Chavez "Misión Identidad" - qui avait pour but faciliter la documentation de tous les Vénézuéliens - Cubains dispose de tous les moyens techniques pour fabriquer des passeports vénézuéliens à qui il veux.
Le SFS dénonce que la perméabilité de la frontière canadienne comme porte d'entrée des fondamentalistes au continent américain était dû aux grands flux migratoires de réfugiés iraniens.
Le fait est que des passeports vénézuéliens, fabriqués pas les cubains ont été utilisés par les mouvements terroristes islamistes, vue que la présence permanente de Cuba au Venezuela est permanente, importante, et indispensable pour que Maduro puisse se maintenir au pouvoir.
Et pas plus tard que la semaine dernière, Rahman Alan Hazil Mohamed, un islamiste a été arrêté à L'aéroport de Gatwick avec une grenade dans ses bagages, et un passeport vénézuélien, créant la panique suite aux alertes terroristes !
El terrorista detenido está inscrito en el Consejo Nacional Electoral (CNE) y su centro de votación es la Escuela La Candelaria, ubicada en Turmero, Edo Aragua.
Ce terroriste est enregistré au CNE, et son centre de vote est l'école de la Candelaria, à Turmero, Aragua... Souvenez vous, l'Etat dirigé par Tareck El Assaimi
