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Et cela au prix de la souffrance et appauvrissement de leurs peuples, lesquels il faut maintenir coute que coute ignorants et affamés, pour obtenir le but ultime de la "Révolution": le nouvel esclavage du XXIème Siècle.
Mais derrière la fête et le cirque qu’ils ont organisé, la longue vie de l’assassin barbu s’avère être un problème d’Etat pour le régime cubain: sa mort est la condition sinequanon pour l’urgente transformation de l’île, car Fidel fait en permanence du sabotage, subtil certes, mais efficace. Sa seule présence représente la tyrannie qui se perpétue. Sa vive présence est une amarre solide à un passé que les cubains sont désespérés d’oublier, et plus personne ne veut se prendre en photo avec lui, à l’exception des communistes soumis et serviles, qui ont des poussées de libido par le seul fait de serrer la main du dinosaure.

L’ouverture cubaine a été un processus minutieusement planifié par Raúl Castro, réalisant un virage invraisemblable vers le capitalisme, qui l’a mené a établir des liens secrets avec “l’empire” depuis bien avant son arrivée au pouvoir.
Ce révolu et criminel modèle marxiste-fidéliste nécessite mourrir avec le vieux tyran. Non seulement de manière symbolique. Raúl, qui est lui aussi assez vieux comme pour tirer bientôt sa révérence, veux passer à l’histoire comme le sauveur de la révolution et c’est très probable que son petit-fils et garde du corps - alias “el cangrejo” - hérite du trône avant même que quelconque ouverture politique puisse éliminer la loi du parti unique.
Il est donc très possible que Raúl ai trinqué avec le plus cher des champagnes - comme il l’a fait à Paris - pour que celui ci puisse être le dernier des anniversaires du malfaisant vieux schnoque. C’est une question de survie.
Un acte odieux:
L’invité d’honneur, Nicolás Maduro, heureux dans son rôle de régent de la colonie cubaine du Venezuela, ainsi que son épouse, l’ineffable taty cocaïne, Cilia, se sont déplacés avec toute leur cour pour se prosterner aux barbes du vieux dictateur. Ce fut un acte odieux et méprisable, surtout que le 24 juillet il a été incapable de faire acte de présence à la commémoration de la naissance de Simón Bolívar, a qui non seulement il fait preuve d’irrespect, en utilisant une fausse et grotesque image dégradante, mais en plus en étiquetant de “Bolivarienne” une révolution de délinquants et narco-trafiquants qui ont détruit de manière quasi irréversible le Venezuela. Sans oublier que la fête, nous a coûté à nous, les vénézuéliens, la modique somme de 400 mil $, qui auraient pu servir pour de la nourriture, ou des médicaments…
Cela est clair maintenant pour nous tous, pourquoi les frères Castro ont donné l’ordre au traitre de Chávez de nommer comme successeur, un personnage tel que Maduro, dont l’indigence intellectuelle fait de lui le pion parfait de la dictature cubaine, à laquelle il fait allégeance et preuve d’une obéissance à toute épreuve, même face à l’horreur et la misère imposées au peuple vénézuélien, lequel de toute évidence il méprise.
Il n’est qu’un garant pour Raúl, a qui seul intéressent les pétrodollars vénézuéliens, qui malgré la baisse du prix du baril, sont bien assez suffisants pour subvenir à ses besoins dans cette “mer du bonheur”; en plus des triangulations des importations d’aliments et médicaments périmés, et bien évidemment, les milliers de barils de pétrole qu’il vole au Venezuela et qu’il revend au marché noir international, qui lui procurent une immense fortune, au même temps qu’il approfondi la ruine du Venezuela, et s’assure d’une confortable retraite une fois que Maduro sera évincé par le Révocatoire.
Il ne nous restera plus alors, qu’à reconstruire notre pays de la plus grande catastrophe de toute notre histoire.
Marianella Salazar