Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
L’histoire est souvent la même. Une bande de potes assis sur les bancs d’un amphi de fac décide de monter un groupe.
par William Tissandier
Sauf que cette fois-ci, les sales gosses viennent de la prestigieuse fac de Columbia, membre de la Ivy League. Un album naît et Vampire Weekend devient la sensation de l’année 2007. Remettant au goût du jour le highlife ghanéen, subtil mélange de mélodies pop occidentales et musique populaire de l’Afrique de l’Ouest, les quatres New-yorkais enregistrent dans la foulée un second album baptisé « Contra ».
Les paroles ont évoluées, la crise d’ado est passée. Mélodies joyeuses teintées de paroles sombres aux jeux de mots parfois intellos, la magie du groupe opère toujours. Guitares et soukous congolais se marient au ska et reggæ avec une attention particulière sur les parties de basse et batterie. Souvent décrié pour leurs côtés élitistes et un aspect trop lisse, Vampire Weekend arrive toutefois à faire danser toutes les générations.
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