Le gouvernement Vénézuélien en faillite, doit payer chaque année au Cuba une subvention de treize mil millions d’euros, publie Carlos Alberto Montaner dans
Le vénézuéla doit être le pays avec le pire gouvernement de la planète. Le journal “The Daily Telegraph” a décrit ce désastre dans un récent reportage qui tourne autour de huit graphique qui donnent la chair poule.
En 2017 l’économie va se contracter de 7% du PIB. Les vénézuéliens seront sensiblement plus pauvres et les capacités de consommation vont se restreindre.
L’inflation est la plus haute du monde. Les experts de Caracas Capital Market la situent à 120% par an. Comme la productivité est quasi nulle et l'augmentation des salaires ne compensent pas, le cout de la vie es chaque jour plus cher.
LA CHUTE DU PRIX DU PETROLE
Le Bolívar, la monnaie nationale, aa plusieurs changes. Il y a “l’officiel” à 6,30 par dollar. Mais dans la pratique il s’approche à 190 dollar, le “parallèle”. Et la différence est le moyen le plus direct d’enrichir la corruption”boliburguesa”. Ils achètent à 6,30 pour importer, ils en utilisent une partie, et revendent au marché noir le reste. En quelques heures n’importe qui avec un bon carnet d’adresse peut faire de très bonnes affaires.
La valeur moyenne du baril de pétrole est aujourd’hui 50% en dessous du prix qu’il avait en janvier 2014. Cela est très grave pour un pays dont la rentrée de devises dépend en un 96% des exportations de pétrole. Et pour ajouter du sel ‘a la plaie, la production de PDVSA a diminué et est autour de 2 millions de barils par jour quand elle devrait être à 5. Cela est du par une combinaison d’inaptitude et de manque d’investissements.
En 2014, le gouvernement a importe des biens et des services pour un montant de 60.5 mil millions de dollars, et a exporté du pétrole qu’il encaisse pour 39 mil millions. La différence, c’est clair, se transforme en dette, et c’est une des raisons qui expliquent les pénuries. Il n’y a pas de devis pour importer les biens de consommation dont a besoin un pays, où le chavisme a détruit le parc productif et a fermé sept mil entreprises.
TOUR DROIT VERS LA FAILLITE
Le Vénézuela ne pourra surement pas honorer le payement de la dette qu’elle a et devra se déclarer en faillite, selon les sombres prédictions de la Banque Mondiale. Cette année, le pays devra payer 11 mil millions de dollars en obligations et intérêts, mais ne dispose pas de la liquidité nécessaire pour honorer cet engagement. En 2016, cela va se répéter. La faillite va considérablement enchérir les lignes de crédit.
LE CRIME EST LA PRINCIPALE CAUSE DE MORT AU VENEZUELA
Au même temps, la subvention au Cuba, selon l’économiste Carmelo Mesa Lago va atteindre cette année les 13 mil millions de dollars, et là on peut inclure les 107 mil barils de pétroles qui arrivent chaque jour à l’ile, desquels Cuba revend 40 mil. C'est comme cela qu'un pays non producteur maintenant s'enrichie avec la vente du pétrole vénézuélien! Le Vénézuéla se “calcutise”, mais avec des circonstances aggravantes: les villes ne sont pas seulement chaque jour plus sales et insalubres, mais le crime est la principale cause de mort. Pas le cancer, ni les infarctus, ni les AVC tuent autant comme ceux que l’on appelle “los malandros”
TUER IMPUNEMENT
L’année dernière furent assassinées 25.000 personnes, et 94% de ces crimes sont restés impunis. Il est moins dangereux de se promener avec un exemplaire de Charlie Hebdo sous le bras dans les rues de Damas que d’aller chercher du pain à Caracas, où surement vous ne trouverez pas de pain, mais surement croiserez votre assassin.
Le gouvernement en plus, a armé des délinquants pour créer des milices parallèles pour contrôler, harceler, et si nécessaire tuer à tout celui qui ose s’opposer au gouvernement, comme cela a pu être constaté dans des centaines de vidéos sur le net pour dénoncer cela. Et lorsque ils persécutent les “opposants” ils prennent dans la foulée de portables, bagues et chaines en or, porte monnaies et cartes de credit des citoyens terrorisés.
Une bonne partie de la vie du vénézuélien - surtout des femmes - est consacrée à alimenter les files d’attentes à la recherche et acquisition de n’importe quoi qui puisse être utile et nécessaire: à manger, médicaments, savon et dentifrice. Et même parfois des bagarres éclatent pour une cuisse de poulet ou un kilo de lait. (oui un kilo de lait car il est en poudre étant donne que le litre de lait liquide a disparu depuis longtemps). Et chaque jour l’offre s’amoindrie. Le pq étant devenue une obsession nationale.
Dans cette atmosphère il n’et pas étonnant que les vénézuéliens qui on fait des études veuillent partir, même si leurs diplômes ne sont pas validés. Un million et demi ce sont déjà exilés surtout en Espagne, Panama, Colombie, Equateur et Etat Unis.
IL SERAIT PEUT ETRE INTERESSANT DE SE DEMANDER POURQUOI UN DES PAYS LES PLUS RICHES DU MONDE, EST AINSI TOMB´E DANS LES ABYSSES
Il s’agit d’un pays de plus de 900.000 km2, et moins de 29 million d’habitants, qui bénéficie d’une nature généreuse et des biens incalculables: terres fertiles, pétrole, fer, eau potable en abondance, plages paradisiaques, forets vierges et une population qui a accès à l’éducation gratuite instaurée par Guzmán Blanco en 1870, où abondent les professionnels formés dans les universités gratuites du pays.
POURQUOI CETTE CATASTROPHE?
Pourquoi ce paradis, où pendant des décennies ont émigrés de espagnols, des italiens, des portugais et d’autres européens, à la recherche d’une meilleure destinée, souffre aujourd’hui de cette catastrophe? Fondamentalement, c’est du à une idéologie complètement fausse et erronée qui peux se résumer en une seule parole: POPULISME. Beaucoup de vénézuéliens pensaient, car ainsi leur on fait croire les politiciens, que le pays était riche, et non que la richesse était produite par un travail contant et méthodique. Ils croyaient que la pauvreté d’un secteur des vénézuéliens était due à la richesse de ceux qui travaillaient et avaient réussi une certaine prospérité. Donc il suffisait de la leur arracher pour établir une société plus juste. Ils pensaient que cette situation changerai quand un groupe de personnes dirigées par un “caudillo” à la poigne de fer, arrêterai toutes les injustices. Ce personnage fut le néfaste Hugo Chávez. Les vénézuéliens ont étés incapables de se rentre compte que les 25 pays les plus prospères et heureux de la planète, sont des démocraties dirigées par la Loi et soutenues par des institutions de Droit.
LE VENEZUELA EST AUJOURD’HUI LA NATION AVEC LE PLUS HAUT TAUX DE CORRUPTION D’AMERIQUE LATINE
Ils étaient décidés à en finir avec le bi-partidisme (AD - COPEI) et dans la foulé d’éliminer tous les autres partis, inefficaces et accusés de corruption, malgré que pendant les 40 ans entre 1950 et 1999, l’étape démocratique, le pays avait vécu la meilleur période de sa turbulente histoire.
Le résultat saut aux yeux: C’est le pays avec la plus grande corruption d’Amérique Latine, ou personne de sensé n’investi un dollar, d’où fuient en exil ceux qui peuvent, gouverné par un fou furieux qui parle avec des petits oiseaux et obéit aux ordres du commissaire cubain, tristement controlé par des narco-généraux.