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Billet de blog 13 mai 2014

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VENEZUELA: Les masques tombent!

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Les socialistes du monde marquent leur différence et exigent à Maduro la libération des étudiants et des prisonniers politiques.

Le Comité de l’International Socialiste pour l’Amérique Latine et les Caraïbes, a exigé au gouvernement vénézuélien de libérer “tous les étudiants et prisonniers politiques, et d’arrêter la persécution des membres de l’opposition”, suite à une réunion de deux jours réalisée à Punta Cana, République Dominicaine.

L’organisme régional a aussi demandé aux autorités vénézueliennes, par le biais d’un document écrit, de garantir la vie et l’intégrité des citoyens et aussi de permettre le retour des exilés.  Les représentants des partis politiques latino-américains social-démocrates, en plus de soutenir le dialogue pour la paix initié le 10 avril dernier, entre le Gouvernement et les représentants de l’opposition, désirent participer activement dans le but de trouver une sortie à la crise politique qui secoue la nation sud-américaine.  Les participants  ont aussi émis le souhait que le dit dialogue, produise des résultas à court terme, et ainsi réussir la normalisation de la situation politique, sociale et économique du Vénézuela.  Cette réunion, dirigée par le secrétaire de l’International Socialiste, le chilien Luis Ayala, et le président du comité, le dominicain Miguel Vargas Maldonado, a favorisé la création au Vénézuela, d’une Commission de la Vérité.  Ainsi, les délégués disent appuyer le désarmement des groupes armés et le renouvellement, en accord avec la Constitution, des pouvoirs publics monopolisés et détenus par le gouvernement en place, et leur rendre leur indépendance, tels que le “Consejo Nacional Electoral”, le Tribunal Supremo de Justicia et la Contraloría General de la Républica”.  Le Venezuela vit depuis le 12 février dernier, une série de protestations à l’encontre du gouvernement, avec à la tête l’opposition ainsi que des groupes d’étudiants, qui son parfois devenues très violentes,  et ont provoqué à ce jour 42 morts, près de 800 blessés et des centaines de détenus politiques.

Traduction: Palmyra Montiel

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