Plus de 180 galeries et 42 éditeurs se sont prêtés au jeu de la découverte d’un panorama riche, voire exceptionnel, de photographies, d’idées et de talents. Tout un monde s’exposait à travers une sélection de tirages et d’œuvres, dont beaucoup en noir et blanc, avec un retour prononcé aux valeurs sures.
Sophie Ristelhuebber, prix Hasselblad 2025, No Comment, installation monumentale, assemblant 40 œuvres sur ces quarante dernières années, traces des désastres et ruines, d’Asie, du Moyen Orient, d’Europe. représenrtée par la galerie POGGI, dernière exposition intitulée What the Fuck!
A l’entrée de Paris Photo, en place des 650 et quelques tirages d August Sander, qui, l’année dernière avaient fait impression, il s’agissait cette année d’une installation des photographies de Sophie Ristelhuebber, prix Hasselbad 2025, intitulée No Comment, installation monumentale, assemblant 40 œuvres sur ces quarante dernières années, traces des désastres et ruines, d’Asie, du Moyen Orient, d’Europe. Sophie Ristelhuebber est représentée par la galerie POGGI, sa dernière exposition était intitulée What the Fuck!
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Grand palais, Vues des galeries depuis la coursive.
Dirigée par Florence Bourgeois, Anna Planas en étant à la directrice artistique, Paris Photo est La foire Internationale la plus prisée mondialement, dédiée à un public averti où collectionneurs, galeristes, artistes, éditeurs, commissaires d’expos, curateurs, journalistes se donnent rendez-vous. C’est également la Première foire au monde en terme de chiffre d’affaires, de fréquentations, d’implications et de renommée internationale… et c’est au Grand Palais que Paris Photo a trouvé naturellement l’écrin nécessaire à son gigantisme, avec ses 21 000 m carrés disponibles.
Anna Planas indique que 59 nouvelles galeries ont fait leur entrée ou leur retour au sein de Paris Photo, alors que 33 pays étaient représentés, dont le Japon qui a fait un retour en force. Nombre de solo shows, plus de 30 et de duo shows, une petite dizaine, s’inscrivaient dans cette foire bien singulièrement, une trentaine de ces projets monographiques venait du Soudan, du Mexique, de la Corée du Sud, de l’Australie, du Vénézuela, du Brésil et de l’Afrique du sud, renforçant le secteur Émergence.
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Vues de la foire ce jeudi, jour du vernissage, ici la galerie Düsseldorf and Photography.
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PGI Gallery, Tokyo, Galerie Richard Saltoum, Londres, galerie Fraenkel, USA.
À la tête de Paris Photo depuis plusieurs années, Florence Bourgeois a développé le secteur Prismes (2016), dédié aux grands formats et installations, Emergence (2017), consacré aux jeunes artistes, puis en 2018 le programme Elles × Paris Photo, créé avec le ministère de la Culture pour renforcer la visibilité des femmes photographes. Plus récemment, Florence Bourgeois a lancé les secteurs Digital et Voices, ouvrant la foire à de nouvelles formes d’expression et à des « approches curatoriales contemporaines…. »
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