Et voilà, le dernier échange a été le bon. J'ai pris deux crochets courts au foie, avec un uppercut, qui m'a manqué le menton, mais m'a bien pris la mâchoire. Ouille...
Entre Dieudonné et la manif jour de colère, sur fond de lever l'étendard du néo-libéralisme du pouvoir socialiste, les monte et descend des militants et le ram-dam habituel des nervis, mieux vaut cesser de chercher à mettre son grain de sel en politique.
Oh, j'ai été secoué, mais je ne suis pas sonné, c'est clair.
Il faut plus que de l'habitude de cogner, pour me coucher, il faut du punch et entre nous... C'est pas la joie partout par ici, question inspiration.
Donc, on se préoccupera de l'entre-soi, de chercher des trucs zarbis, un peu comme ces rigolos qui prennent exemple sur des paysans, pour se faire une nouvelle société, alors qu'ils n'ont jamais foulé que du goudron et du béton... M'enfin.
Sans parler du taux de mortalité chez les uns et chez les autres, les types, ils ne serendent pas compte, ils ne tirent pas dans la même catégorie, mais on dirait que le principe minimum de la pesée leur échappe.
On est tous différents.
Enfin, je ne renonce pas à comprendre, mais j'ai suffisamment appris que, la plupart du temps, on ne doit pas partager ses trésors avec des rats, quant aux dragons, ils vous les fauchent.
Le mieux, c'est de faire profil bas.
Donc, c'est fini pour moi, les discours politiques, déjà que je ne reconnais plus ma droite de ma gauche, hein...
Allez, cultivons notre jardin. Et sous la paille, rangeons le fusil, la mitraille, pour le jour où l'on en aura besoin.
On peut les emballer sévère, la révolution n'est pas pour demain.