C'est simple, sommaire, un poil emporté, non pas con, non pas borné, mais sûrement frustré.
Ils sont pleins de hauteur de vue et de tendresse pour la pauvreté, elles sont remplies de révolte et de rage après les méchants capitalistes, le martinet à la main...
Alors, ça marche le fouet en balancier.
Ou bien, ça traine le pilori, grand ouvert, pour y glisser le cou de ceux qui ne pensent pas bien.
Hé, les copines et les copains, le cuir que vous voudriez tanner est bien trop épais, en particulier pour vos tenues de lycra mitées et vos instruments de pervers de la révolution...
Amusez-vous bien avec les aiguilles et les petites poupées, vous pouvez crever autant d'yeux et couper autant de langues que vous voudrez, en comité de salut public restreint et en pv.
Mais quand on vous lit, entre lieux communs et explosions de portes ouvertes, on n'a pas trop de difficulté, à part résister au sommeil, et donc pas de mal à vous oublier.
mdr