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Billet de blog 6 janvier 2014

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Pourquoi je m'en balance.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Bon, soyons clairs, je m'en fiche.

De quoi?

Ce sont mes affaires.

Mais en premier, je me fous de l'avis de la plupart des gens sur à peu près tout.

Je n'arrête pas de lire des opinions ici et là, qui m'indiffèrent, non parce que je ne ressens rien, mais parce qu'à l'évidence on croit ce que l'on dit, on ferait bien de faire attention.

Habituellemnt, on se trompe assez facilement soi-même, on est aussi trompé, mais lorsque l'on oublie qu'il existe des gens dont le métier est d'escroquer, hommes politiques, commerciaux, journalistes et bien sûrs truands à cols blancs ou bien au long couteau, on mérite ce qui nous arrive, comme le gnou mérite de se faire manger par le lion, parce qu'il est trop faible, pauv'vieux.

C'est la nature, les imbéciles se font entuber, on n'a qu'à regarder l'histoire.

J'aime bien les commémorations du 6 juin 1944, des américains, par exemple, sont venus mourir sur les plages de Normandie, des héros.

Je me demande qui sont ces gens qui viennent tous les ans manifester leur respect à ceux qui sont tombés autrefois pour la liberté.

Pareil pour 14-18, des types avec des couronnes se plantent devant tous les monuments aux morts... De toute la France.

Quand je pense à ceux qui sont morts et à ceux qu'ils leur ont survécu et à la vie qu'ils ont eu, rien qu'en venant tous les ans poser une couronne...

Et la libération? On se demande d'où sortaient tous ces gaullistes résistants, certainement pas du képi du général, mais juste à temps pour se faire inscrire sur la liste des médaillés et des futurs pensionnés.

Pauvres abrutis. Pas eux, d'autres.

Le parasite vous bouffe mieux que le prédateur, c'est qu'il s'en prend à vous plus doucement.

Et pour choper un parasite, vous n'avez pas de difficulté, vous ne pouvez pas. Il n'y a pas de défense dans la nature.

Il faut d'abord réaliser sa présence, ce qui est déjà pratiquement impossible, puis ensuite s'en débarrasser, mais c'est d'une difficulté sans nom.

Et nous, qui nous parasite?

J'ai ma liste, mais vous, certain qui me lirez, votre tête est déjà pleine de vent chargé de fumée, elle vous plaît parce qu'elle parfumée de ce que vous appréciez.

Pendant ce temps, les parasites vous bouffent.

Vous voulez savoir qui c'est?

Et bien c'est simple, regardez la télé. Et plus généralement, autour de vous, quand ça commence à monter des estrades, pour jouer une comédie qui n'a rien à voir avec le théâtre.

Cherchez où l'on trouve la renommée, la considération et les avantages, sans le travail en rapport.

Qu'un type fasse sept, neuf ou quinze ans d'études dans des facultés payées par la nation, ne lui donne pas le droit de facturer 150 euros la demi-heure de son temps, et oui, ils sont même où vous ne croyez pas.

Pareil la rareté, ou l'exceptionnel de la situation ou des facultés ne justifie pas l'indécence, qu'est-ce que ça veut dire, ces salaires annuels qui paieraient celui de toute une carrière chez un autre? De qui se moque-t-on? Comment en est-on arrivé à trouver cela normal? Quel sens a été mutilé dans le mental?

Si, si, on s'est fait castrer, mieux que les cochons, pour exactement le m^me usage.

Et quand ils vous disent qu'ils payent des impôts, ils mentent effrontément. Ce n'est pas assez en rapport de ce qu'ils s'enfilent pendant qu'ils nous enfilent.

Enfin, vous ne serez pas d'accord. Comme à epu près sur tout ce qui me semble à moi, évident.

Voilà pourquoi je m'en balance.

Un jésus-christ, ça suffit.

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