Houlà, s'ils savaient ce qui les attend, quand on les aura trouvés, les extra-terrestres...
Alien, à côté des hommes blancs, noirs, rouges et abricots, il en devient sympa si l'on réfléchit bien. Les sept premiers passagers sont autrement pires que lui.
Vu ici et là, étonnant, voilà qu'il existerait des planètes du calibre de la nôtre.
Franchement, on a de quoi s'écrouler de rire, cette extraordinaire bande de je sais-tout, où en tous cas énormément, qui nous donnent encore une fois à découvrir la simplicité.
Et voilà, après avoir ergoté des années sur l'impossibilité, ou le peu de chances, soi-disant, de voir le même ailleurs, en décollant vers la galaxie des n'importe quoi, que l'on s'avise d'atterrir, encore une fois, en beauté.
Et oui, n'est-il pas étonnant de voir les grains de sable, que l'on rencontre sur les plages, se ressembler?
Il faut l'arrogance de l'humanité pour imaginer, quinze secondes, que l'homme et sa villégiature en location éphémère, en regard de l'éternité, soient l'alpha et l'omega de la destinée de l'univers. Et donc penser que notre si belle planète, que l'on s'escrime à abîmer, se trouverait l'unique de sa catégorie.
Evidente probabilité des nombres, quand on raisonne l'infini du temps et des autres singularités de la réalité.
Il nous faut bien l'extraordinaire autant qu'impudente arrogance, encore, de la collection d'abrutis qui nous cassent les pieds, entre bêtise et méchanceté, à longueur de temps, pour nous rappeler que la vie vaut d'être vécue surtout quand on échappe à leur compagnie.
Oh, célestes espaces, délivrez-nous des certitudes, de la folie et des rentiers de l'académie...