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Billet de blog 11 janvier 2014

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Aux anti-dieudonnés, le mot de la fin.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

On a beaucoup ergoté sur les principes, développé des raisonnements ici clairs, ailleurs inspirés.

Je crains fort qu'à la dernière fin, nous n'ayons démontré, en France en 2014, avec des évènements qui auraient dû constituer un léger remous dans les faits divers, que si officiellement, le droit prime la force,  dans les faits, la force est et reste la seule loi.

On vous souhaite, certains, qui ont leur conscience et leur bonne volonté, de rester du côté des plus forts.

Pour ce qui me concerne, le coup de main constant effectué sur les esprits, vient de prendre sa dimension.

Et oui, je l'avoue, je ne savais pas, que nous étions en plus d'être sous la domination d'une oppression, morale et intellectuelle autant que financière néo-libérale, sous celle d'un groupuscule qui nous a pris en main dès le collège et rêve de nous façonner dès l'école communale.

Sarkozy avait tenté un coup parfait, on va voir Hollande, s'il ose aller plus loin.

Aujourd'hui, chaque individu peut tout reconsidérer, de son attitude face à la vérité comme autrefois, mais le sens de la vérité lui-même, n'est plus en sécurité.

On n'avait pas à choisir d'accepter d'être né coupable sous l'oeil d'un dieu dont le fils aurait été crucifié soi-disant pour nous libérer.

Mais personne n'est arrivé sur terre, coupable des crimes d'autrefois, et si c'était le cas, alors, où rencontrer un innocent sur terre?

On voit la folie d'une telle conception.

On protège les vivants, on respecte le souvenir des morts, mais nul ne devrait pouvoir vous empêcher le droit à exister, si ce n'est par la violence, par la force.

Evidemment, quand on commence dans cette voie, la culture devient celle des guerriers. On la connaît, elle a très longtemps été pratiquée en masse, elle n'est plus reconnue pour ce qu'elle est.

Certains peuples ont eu largement le temps d'expérimenter dans leur histoire, les effets de la violence et de la guerre.

Dommage pour eux, leurs grands chefs  trouvent le goût de la victoire, même dans les cimetières où ils enterrent leurs propres enfants.

A chacun son destin et à la grâce de dieu...

Tout est devenu permis, pourvu qu'on ait les biceps.

Et d'abord dans ce pays.

Pauvres fous, vous avez fini d'enterrer la démocratie.

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