Franchement, il y en a marre.
Se taper des blogs en Une de Médiapart, perle enfilée l'une après l'autre, comme ces derniers jours et assister à la fête ump, aujourd'hui, en ram-dam médiatique non-stop, sans parler de l'autre.
Plus se cogner les inondations, parce que ce qui ne reste plus en neige sur les sommets, il faut bien que ça arrive quelque part.
Marre de chez marre.
Je ne sais pas si ce sont les autres, ou ma pomme, mais bon dieu, j'ai fini de me prendre le chou avec les rigolos.
Terminé.
Et surtout, surtout, que l'on ne vienne plus me bourrer le mou, de grands mots, de grandes idées, par des petits bonshommes et bonnes femmes trop bien nippés.
Cassez-vous de notre soleil, déjà qu'il n'y en a pas beaucoup pour les uns, et si c'est trop, pour les autres, votre ombre ne les rafraîchit pas, elle les empêche de respirer.
Tarés?
Qui se souvient de la définition, cela veut dire personnages limités, de nature. En plus, ils appuient encore sur leur couvercle, pour non seulement rester coincés, mais aussi nous enfermer dans leurs petites conceptions, définitives autant qu'étroites.
Et ça vous chante la liberté, en distribuant les casquettes de facho.
Marre. Oui.
Mais on continuera à se marrer, les clowns, même tristes et pisse-froids, ça doit vous faire rigoler.
A part de rire, ils ne nous feront pas crever.