Bon, soyons clairs...
On avait un souci avec les baleines, il est toujours là.
On avait un souci, un gros avec un requin, j'ai nommé sarkrocs, il s'est barré.
Mais entre nous, cela n'a pas été sans mal.
Et je subodore que Médiapart n'est pas pour rien dans les vacances forcées du Rastignac excité.
On passe sur les millions de Tapie, un peu de poudre pour la vieille dame milliardaire, qui est toujours là. Comme quoi, la mauvaise herbe...
Bref, on se tamponne l'affaire Cahuzac.
Houlà!
Je glisse bien vite, c'est risqué, encore un peu et l'ex-ministre du budget prend à coups de gifles ces effrontés de la commission d'enquête... Non, mais.
De quoi j'me mêle.?
Enfin, mdp, c'est quand même un truc utile.
Son problème, c'est qu'il est un peu seul, on n'en entend parler que lorsque une affaire est bouclée, terminée, sinon, silence radio, les abonnés, point, le reste du pays sait à peine que Médiapart existe.
Et il va apprendre qu'il est tombé, entre deux annonces du temps qu'il fait, incidemment...
Donc, il faut trouver une solution.
Primo, éditer un journal sur papier, une feuille trimestrielle, en forme de sommaire, si on veut, qui servira de support écrit au site internet, et pan, à nous la tva à 2,1%.
Ensuite, il faut qu'on passe à la télé.
Et oui, le téléspectateur, c'est un électeur-consommateur qui compte bien plus que le débile-lecteur-participatif qui non seulement sait réfléchir, mais pire, peut même avoir un avis.
Evidemment, Plenel, Mauduit et surtout ce nul de Fabrice Arfi s'y prennent très mal.
Ils disent la vérité, ça ne paie pas.
Il faut épicer.
Quelqu'un à le téléphone de Dieudonné?