Ce billet fait ainsi le bilan (provisoire) de tous les précédents quant à la manière de percevoir l’actualité du Caillou. Je n’ai jamais caché, dans ce journal et ailleurs, mon parti-pris pour l’Indépendance de la Kanaky Nouvelle-Calédonie ; de même que la radio RRB (Radio Rythme Bleu) et d’autres, souvent évoqués, n’ont jamais caché leur parti-pris pour la Calédonie française. C’est moins clair pour la presse d’information calédonienne, écrite ou audio-visuelle.
En Métropole, il y a aussi une presse d’opinion : par exemple, en lisant d’un côté l’Humanité ou Médiapart ou, de l’autre, le Figaro ou Valeurs actuelles, on sait où l’on met les pieds ; idem en écoutant la presse de Bolloré. C’est moins clair, à la télé, pour la presse d’information, singulièrement pour celle dite continue.
Dans mon billet précédent concernant le Rapport de fin janvier 2025 de la CTC du Caillou, je me suis rendu compte (mais seulement après la première version publiée !) que je n’avais pas cité exactement mes sources. J’ai donc recherché sur la Toile ce qu’en disait la presse locale : je ne pouvais avoir trouvé cette info que là ! J’ai eu du mal à trouver un article concernant ce rapport dans cette presse[1] : j’avais oublié que l’info m’avait été donnée par des amis… Et le moins que l’on puisse dire, c’est que la presse locale ne s’est pas épanchée sur ce rapport[2], peut-être un peu dérangeant...
La presse de Métropole prend donc quelquefois le relais des trous de mémoires de la presse locale. Par exemple, le journal Le Monde qui nous apprend en titre d’un article du 7 février : « Nouvelle-Calédonie : quand, en pleine insurrection, la gendarmerie utilisait des civils armés pour défendre une caserne », et développe, « En mai 2024, Boulouparis, un bourg au nord de Nouméa, se retrouve cerné par les militants indépendantistes. Sébastien P., adjudant-chef, décide de s’appuyer sur des habitants équipés d’armes à feu pour répondre en cas d’incursion »[3].
Pas conforme avec le règlement, mais qu’auriez-vous fait à sa place ? Auparavant, cet adjudant-chef avait été loué par la presse locale (nous n’en dirons pas plus pour ne pas donner son nom).
Cette information a été reprise localement le 8 février[4], de source France Info mais dans un article de NC 1ère, la principale télé locale (publique) titré : Émeutes en Nouvelle-Calédonie : la gendarmerie aurait armé des civils pour défendre la caserne de Boulouparis selon "Le Monde". Le sous-titre laisse à penser qu’il s’agit d’une fausse nouvelle : « Dans un article publié vendredi, le quotidien national affirme qu’en mai 2024, au tout début de la crise insurrectionnelle, le commandant de la gendarmerie de Boulouparis se serait appuyé sur des habitants armés pour faire face à une éventuelle intrusion. Une version démentie par le maire Pascal Vittori ».
Mais son contenu apporte quelques précisions. « Neuf mois après les émeutes qui ont embrasé la Nouvelle-Calédonie, des révélations du journal Le Monde embarrassent sérieusement la gendarmerie nationale, de l’Hexagone jusqu’à Boulouparis, où le journal situe les faits ». En outre, continue l’article, « Du côté de la gendarmerie, on tente de justifier la présence de ces civils. "Certes, l’initiative prise par le commandant de brigade n’était pas orthodoxe, mais elle répondait à une urgence : protéger des vies", explique l’État-major au journal Le Monde. La gendarmerie nationale réfute toutefois tout recours à des armes de guerre pour ces habitants venus en renfort. Ils étaient, selon elle, armés de "fusils de chasse" » ; seulement de fusils de chasse, des jouets quoi ! Le Monde, suivant son témoin, parlait bien d’armes de guerre. Enfin une phrase qui a peut-être un double sens se trouve à la fin de l’article, « La gendarmerie nationale, qui envisage de son côté des poursuites judiciaires, selon des informations recueillies par NC la 1ère » ; phrase placée juste avant les dénégations du maire de la commune qui « affirme n’avoir "aucune information qui va dans ce sens". Il appelle à la prudence face à ce qui pourrait être, de son point de vue, de la "diffamation" ».
C’est un acte probablement isolé. Les gendarmes qui ont participé avec les policiers au difficile maintien de l’ordre, au péril de leur vie (certains l’ont perdue) content des exploits plus conformes au règlement ; par exemple sur un site du ministère de l’Intérieur, Gendinfo, Toute l’actualité de la gendarmerie nationale[5]. On ne trouvait pas trace non plus de l’incident conté par Le Monde.
Plus généralement, les télés d’information du Caillou (la plus vue et écoutée, et de loin étant Calédonie la première ; la seconde, Caledonia, télé de Pays mais du Nord et un peu indépendantiste) cachent mal leur préférence. Je rappelle qu’en général et singulièrement aux élections, la Première, s’entiche plus du point de vue officiel de l’État et de celui des loyalistes que de celui des indépendantistes : par exemple, le fameux géo politologue Pierre-Christophe Pantz n’a jamais donné, le soir du second tour des législatives de 2024, la répartition des suffrages exprimés en pourcentage : 53 % pour les indépendantistes dans ce qui aura joué le rôle de ce que j’appelle un Quatrième référendum. Je sais, je radote souvent…
Une partie de la presse métropolitaine n’avait pas et n’a toujours pas cette pudeur.
Le Canard enchaîné avait publié le 21 mai 2024, À Nouméa, la grande vadrouille du haut-commissaire[6]. Le titre de l’article indique déjà qu’il allait être habillé pour l’hiver…
Médiapart nous avait aussi informé, le 17 mai, que le Haussaire du Caillou, Louis Le Franc, avait tenu des propos pour le moins contradictoires[7] concernant les milices s’opposant aux Kanak de la CCAT. La veille, il affirmait : « Ces “milices qui se sont constituées” l’ont fait “sans doute pour se protéger, mais on ne leur en demandait pas tant, et certainement pas d’être armées […] Ce n’est pas leur métier. J’ai interdit le transport d’armes, j’ai pris un arrêté de couvre-feu [qui impose à chacun·e de rester chez soi de 18 heures à 6 heures du matin – ndlr]. Ça concerne tout le monde”, a-t-il précisé ». « Mais, continue l’article, lors de sa conférence de presse du lendemain, [le 17 mai] Louis Le Franc, s’exprimant de nouveau au sujet des milices, spontanément, a affiché une position très différente. Sans pour autant cautionner leurs dérapages, il a approuvé leur existence. “Il faut que les gens gardent confiance. Je sais que dans certains secteurs de l’agglomération de Nouméa des groupes de protection, des groupes voisins vigilants se sont mis en place. [...] Que ces voisins vigilants restent là où ils sont. Je sais que c’est un réflexe de protection qui correspond aux attentes de la population des différentes communes de l’agglomération. Au fur et à mesure que les renforts arrivent, ces relèves viendront prendre la place de ces voisins vigilants”. ». Autrement dit, tant que les forces de l’ordre ne sont pas encore capables d’assurer l’ordre, les milices l’assureront ! Pas très réglementaire non plus…
C’est vrai, la télé Caledonia a retransmis cette conférence (en plein air) où l’on peut entendre ce que disait le Haussaire[8] (vers 2 minute et 50 secondes de la vidéo) il notait, discrètement, concernant l’arrivée de forces de l’ordre en renfort : « ces relèves viendront pendre la place de ces groupes voisins vigilants ». Sur le JT du 17 mai 2024 de Calédonie la 1ère, on ne trouve qu’un petit extrait de cette conférence de presse, mais pas ce que nous donne Caledonia…
Fin juillet (le 23) Le Franc[9] niait l’existence de milices armés, peut-être en jouant sur les mots (armées…, il avait en effet interdit la circulation des armes) après les déclarations de « quatre rapporteurs spéciaux de l’ONU » qui avaient fait le buzz chez les indépendantistes et les autres, en affirmant, selon l’article : « Il n’y a jamais eu de milices armées en Nouvelle-Calédoni, mais des voisins vigilants sont organisés pour défendre leur quartier ».
…
Après ces râleries qui, je l’espère, auront apporté quelque chose au lecteur et m’auront fait du bien, quelques commentaires rapides de l’actualité du Caillou.
1 – D’abord l’économie ; l’ISEE.nc continue ses analyses conjoncturelles et confirme ses notes précédentes[10].
Il n’y a pas que l’emploi du secteur privé qui intéresse cet institut de statistiques et d’études économiques du Caillou. Mais sa chute est impressionnante et est due en quasi-totalité aux émeutes de mai, même si l’emploi se détériorait depuis 2023 : en gros – 20 % par rapport à la moyenne de 2023 (près de 12 milliers de moins que les 68 milliers de l’année précédente).
Entre mars et décembre 2024, 1 630 entreprises auraient, par ailleurs, disparu (1 470 personnes physiques et 160 sociétés) Ça fait beaucoup ; mais l’ISEE omet de prendre du recul : l’évolution à long terme du nombre total d’entreprises du secteur marchand relativise cette forte diminution en 2014.

Agrandissement : Illustration 1


Agrandissement : Illustration 2

Depuis la fin des années 2010 (après, déjà, un ralentissement de la forte croissance du nombre d’entrepreneurs depuis le milieu de la décennie, avec la fin de la construction des deux nouvelles usines de nickel, au Nord et au Sud) la stagnation apparaît. C’est vrai, 2024 est à cet égard une année noire, mais accélère seulement l’érosion déjà visible en 2023. Une lecture attentive de données de l’ISEE montre que, depuis le milieu de la décennie 2010 (où commence le ralentissement économique) c’est plus le nombre de création d’entreprises qui s’érode que les cessassions ou cessations[11] d’activité.
En 2024, il y a moins de créations d’entreprises (toujours du secteur marchand) que de cessassions (ou cessations) d’activité, mais les créations (surtout pour les patentés) sont loin d’être nulles, même si elles diminuent de 0,8 milliers en 2024, et surtout pour les patentés.

La chute des patentés est largement supérieure à leur poids dans les entreprises que l’on peut estimer à partir des données de l’ISEE.

Pour le reste des indicateurs (voir les graphiques qui suivent) l’insurrection du 13 Mai présente des effet variés quant aux dégradations déjà à l’œuvre de 2023 et début 2024.

Agrandissement : Illustration 5


Agrandissement : Illustration 6

2 – Les discussions politiques reprennent à Paris, mais dans le plus grand « silence »
… comme l’indique un article du 6 février[12], Les indépendantistes entrent en silence dans la danse des discussions sur l'avenir institutionnel de la Nouvelle-Calédonie à Paris.
On n’y apprend pas grand-chose de nouveau, sauf qu’une rencontre trilatérale serait envisagée en fin de discussion.
3 – Le budget adopté (à coup de 49.3) serait « une bonne nouvelle pour la Nouvelle-Calédonie »…
C’est ce que prétend un article du 6 février[13] qui, toutefois évoque les difficultés concernant le chantage de l’État (évidemment, ce n’est pas dit comme ça) : « … la bataille ne fait que commencer pour les élus calédoniens sur le plan cette fois des contreparties demandées par l’État et notamment les réformes fiscales auxquelles sont opposés une bonne partie des membres du Congrès ».
4 – Enfin, le recensement de la population de 2025 nous dira qui est parti : l’ISEE remet le couvert de ses mises en garde[14]
Le titre de l’article du 6 février est explicite : "Seul le recensement nous permettra de connaître le nombre de départs". Car, en effet, commence l’article, « Alors que les spéculations vont bon train autour d’une éventuelle vague de départs, l’Institut des statistiques et des études économiques (ISEE) achève la préparation du recensement, qui débutera en avril ». Le président de la CCI (la Chambre de commerce et de l’industrie) « a avancé le chiffre de 10 713 personnes qui auraient quitté la Nouvelle-Calédonie en 2024 à la suite des émeutes. Peut-on vraiment s’y fier ? ».
Ça ferait (calcul personnel rapide non indiqué dans l’article, avec environ 270 milliers d’habitants) plus de 4 % de la population et plus de 8 % des Non-Kanak ! Il est fermement mais poliment remis en cause par l’ISEE qui indique : « On dispose toutefois d’un faisceau d’indicateurs, que ce soit du côté des abonnements OPT [l’Office des Postes et Télécommunications, l’équivalent sur le Caillou de nos ex P et T, précision de PC] ou des déclarations en douane, qui indiquent une tendance à la baisse. Mais c’est un peu hasardeux de sortir un chiffre précis aujourd’hui, en sachant les effets qu’il peut provoquer, notamment celui d’inciter ceux qui sont encore ici à partir [Je souligne, PC]. Les chiffres de la CCI, ce sont des flux de passagers, en aucun cas un solde migratoire, [idem] il faut insister là-dessus. Seul le recensement permettra de le connaître. […] Le décompte de la population sera disponible en juillet ».
…
On n’est encore très loin, sur le Caillou, du « Trou de mémoire » du bouquin 1984 (titre original : Nineteen Eighty-Four) d’Orwell (le verlan de 1948, date de sa publication) mais trous de mémoires il y a quelquefois… Ou, comme dirait Louis-José Barbançon, du non-dit au Pays du Non-Dit.
…
Dernière minute du 14 février 2025 : après le non-dit, le trop-dit
Il ne manquait plus que ça : des rumeurs (et taxées comme telles par la police et la gendarmerie du Caillou) circulent depuis début février :
Voir l’article du 14 février, très équilibré, signé Coralie Cochin de NC la Première :
« Depuis plusieurs semaines, écrit cet article, de très nombreuses rumeurs signalent un risque de regain de tension à l’approche du 17 février. Ces alertes, qui circulent sur les réseaux sociaux, sont infondées selon les forces de l’ordre. […] Ils s’attendaient au pire… Et puis finalement, rien. Les craintes d’une reprise des émeutes en Nouvelle-Calédonie, ce 10 février, ne se sont pas confirmées. […] C’est désormais le lundi suivant, soit le 17 février, jour de la rentrée scolaire, qui est présenté comme la date de tous les dangers. Cette mise en garde s’est répandue comme une trainée de poudre sur la plupart des messageries de "voisins vigilants". ».
L’article continue : « "C’est une fake news", répond-on du côté de la police nationale. Quant à un risque de nouveaux troubles le 17 ? "Nous n’avons eu aucun signal dans ce sens." […] Une autre source au sein des forces de l’ordre l’assure : "c’est vraiment la rumeur dans tout ce qu’elle a de plus irrationnel". "Cela fait deux semaines qu’on cherche à tout prix le renseignement, mais il n’y a rien du tout." ».
Cette rumeur circule alors que les discussions à Paris étaient en cours et se sont terminées et que Valls va arriver. Les « voisins vigilants » remettent donc le couvert, alors que la CCAT, sauf erreur, n’annonce rien de tel ; au contraire : elle a publié, le 11 février, un ferme démenti à ces rumeurs « concernant un 13 mai bis » où elle « s’attaque aux faiseurs de rumeurs », en posant la question « À qui profitent les pavés mensongers diffusés dans l’opinion publique ? » .

Le mot vigilant fait d’ailleurs florès, par exemple dans un autre article du même jour concernant la rentrée des classes :
Voir :
De notre côté, soyons vigilants !
Et la dernière de l’inénarrable Valls… sortie pas claire, mais nouvelle bévue
On va vous la narrer… Après s’être de nombreuses fois déclaré partisan de la Calédonie française (après la bévue de 2018 sur le Caillou, dans son livre de 2021, Pas une goutte de sang français, paru en 2021, il écrivait encore : « Je ne souhaite pas l’indépendance de la Nouvelle-Calédonie ») le voilà, par une déclaration dans le journal Le Monde du 11 février, presque passée inaperçue, qu’il semble affirmer le contraire ; voir :
Cette déclaration à fait hurler, mais avec retard, l’autre inénarrable Metzdorf, le député loyaliste radical à l’Assemblée nationale (l’autre député étant Emmanuel Tjibaou, indépendantiste et maintenant patron de l’Union calédonienne) ; voir (article du 4 février) :
« Une "douche froide", indique l’article, pour le député non-indépendantiste Nicolas Metzdorf, qui pourrait avoir des répercussions sur la visite ministérielle fin février, si ces propos n’étaient "pas rectifiés" ». L’article indique aussi : « "Respecter l’accord de Nouméa, c’est respecter le choix des Calédoniens". C’est le titre du communiqué diffusé ce vendredi par les Loyalistes et le Rassemblement. Les deux formations non-indépendantistes s’insurgent contre une déclaration de Manuel Valls, retranscrite dans le journal Le Monde du 11 février ».
Qu’avait donc dit Valls ?
Il avait simplement déclaré, se référant simplement aux Accords, dont celui de Nouméa : «… la trajectoire est celle d’une souveraineté partagée à une souveraineté pleine et entière, ce sont les accords ». Presque une banalité. Dans l’article du Monde, il précisait d’ailleurs qu’il s’agissait d’un compromis proposé à tous les élus, de tous bords : « … une souveraineté avec la France […] la démocratie face à la violence […] et la citoyenneté calédonienne ». On pouvait aussi comprendre quelque chose comme une nouvelle souveraineté partagée, mais dans la République, comme lors de la proposition de Larcher lors de sa dernière visite en Calédonie en novembre 2024 avec Braun-Pivet.
Pas de quoi fouetter un chat, mais les bévues de Valls deviennent un art consommé.
Notes
[1] Essayez voir … Je l’ai enfin trouvé et cité dans mon billet précédent ; voir :
Mais pas la moindre référence aux tableaux et graphiques donnés par la CTC ; l’article (du 27 janvier 2025) se contente de noter « C’est une publication produite chaque année par la Chambre territoriale des comptes : la situation des finances publiques locales. Une analyse qui porte sur l’année 2023, autrement dit quelques mois avant les émeutes. Si tout s’est aggravé depuis, la tendance n’était déjà pas au beau fixe à l’époque ». Ce fut tout : pas de trou de mémoire, mais mémoire évasive…
[2] Le Medef local y fait référence ; mais n’appartenant pas à cette organisation patronale, je ne peus savoir ce qu’il en dit… Voir :
[3] Voir :
Cet article est réservé aux abonnés, mais on peut se débrouiller… Il précise que le contenu de l’article est dû au témoignage de la femme d’un adjudant métropolitain en poste à Boulouparis (un Zoreil, donc, dont les relations avec l’adjudant-chef incriminé vont devenir exécrables) ; ce dernier ayant refusé un ordre de quitter la caserne pour une autre mission alors que sa femme et son enfant y restait, a été blâmé (« Blâme du ministre ») puis muté à Lyon.
[4] Voir :
[5] Voir (non daté) :
[6] Voir :
https://www.lecanardenchaine.fr/politique/416-la-grande-vadrouille-du-haut-commissaire-1
[7] Voir :
[8] Voir :
https://www.youtube.com/watch?v=jKpMTlO7Rig
[9] Voir l’article du quotidien numérique LNC :
[10] Voir l’article (LNC) sur le Suivi mensuel des impacts de la crise survenue en mai 2024. Il est bien rapide…
Voir surtout la note de l’ISEE, évidemment plus complète, Crise mai 2024 : principaux indicateurs au 21 janvier 2025 :
https://www.isee.nc/economie-entreprises/entreprises-secteurs-d-activites
Nous en avons sorti quelques informations dans les graphiques qui suivent.
[11] Les deux mots n’ont pas exactement le même sens ; mais qu’importe.
[12] Voir :
[13] Voir :
[14] Voir