SARKOZY: PSYCHOSE CONFIRMEE

 Le 24 janvier, j'écrivais ici "Il n'ira pas...", selon une analyse toute personnelle qui ne se voulait ni un oracle et encore moins un "wishfull thinking", mais une hypothèse à ne pas négliger et que je jugeai digne d'être versée au débat sur MdP.    J'apportai cependant un bémol en guise de conclusion par ces mots: "A moins que sa "névrose narcissique à tendance paranoïaque" se soit transformée en psychose et perte totale de contact avec la réalité et que, à l'instar d'Adolphe assiégé dans son QG à Berlin par l'Armée rouge, il crut follement et jusqu'au dernier moment, encore possible une contre-offensive victorieuse... Il n'ira pas".   Et voila qu' hier, le non-candidat officiel (à ce jour), lâche cette énormité: "Les socialistes ne peuvent pas gagner avec leur programme. François Hollande n'a plus de cartouches..."    Les craintes "pathologiques" évoquées dans ma conclusion du 24 janvier seraient-elles en voie d'être confirmées ? La psychose rode dans la tête de l'inénarable roitelet qui, s'il croit à ce qu'il dit (pour une fois), est en phase de perte de contact totale avec la réalité. Si c'est le cas -et donc qu'il y aille en étant convaincu de l'emporter, aveuglé par sa schizophrénie et empêtré dans son désordre mental- on est en droit de s'attendre de sa part aux pires provocations, malversations, agissements inconsidérés, mais considérables, dont les pauvres dingues ne sont pas en reste.     A moins que son premier cercle servile, épargné par la maladie et soucieux de ne pas finir en camisole de force comme son mentor, n'y mette le holà !    Il convient plus que jamais de rester vigilant, mobilisé et combatif.   Oui "ça finira mal...", comme l'écrivait Léotard dès 2008.