Chaos . KO.

Sous la Cinquième République, on nous a souvent fait le coup du "Moi ou le chaos". Macron, comme les autres, en use et en abuse. Sauf que la situation que nous vivons actuellement et dont il est l'unique (et l'inique) responsable nous contraint à changer la formule : Le chaos, c'est lui. Et nous n'avons donc plus le choix : il n'y a plus qu'à se débarrasser de ce personnage chaotique . Il y a, pour ce faire, plusieurs solutions - c'est ce qui s'appelle faire de la politique ; d'aucuns y sont prêts.  Ah, mais non, dit le chaos, pouce, on ne joue plus, place aux jeux, les seuls, les vrais, les olympiques - tout le monde nous regarde, on ne va pas étaler nos petits désordres intimes. Moi, je déclare la trêve, respectez la, respectez-moi. Moi, tout seul, je déclare que tout le monde va s'unir - je ne demande son avis à personne - pour célébrer dans la joie et l'excitation les dieux du stade. Si vous ne voulez pas jouer avec moi c'est que vous êtes des mauvais joueurs. On va gagner, je vais gagner, dit-il. OK ?