Les bouchonneurs pollueurs se foutent du changement climatique, du cout du litre de fuel ou de super pour se tirer en caisse à rejoindre le lieu de leurs dernières vacances, ou d’y revenir pour produire plus de 828 kms de bouchons.
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Les bouchonneurs pollueurs se foutent du changement climatique, du cout du litre de fuel ou de super pour se tirer en caisse à rejoindre le lieu de leurs dernières vacances, ou d’y revenir pour produire plus de 828 kms de bouchons. La révélation de l’ignorance de leur caractère grégaire calendaire. Merci au paternalisme infantilisant et médiatique, qui y trouve momentanément et de la grâce professorale à leur dicter et à répéter les prévisions de l’indien dont tous se foutent éperdument, de les prévenir à faire l’arrêt pipi avant l’accrochage de première classe, les leçons d’été pour les enfants grégaires et amoureux de ce passé nationale 7, n’en ont que faire, les grégaires vacataires.
Le feuilleton estival est depuis des années ainsi répété à leur simple désir d’aller tous se serrer les fesses en rang d’oignon, sur les plages dorées des rivages de cette France qui risque de pleurer durant toute l’année leur souvenir de vacances : « qu’est ce qu’on était bien sous 40°c à bouchonner les routes de France »
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