La révélation par Médiapart de l’affaire Cahuzac, celle qui a participer à faire sombrer un peu plus encore ce pays en sidération déprimante, la dangereuse et angoissante séquence qui n’a échappée à personne, qui aggrave plus encore la souffrance morale de tous, à constater de l’ignorance et le déni généralisé de l’aristocratie française, la façade de cette caste politique et plus encore médiatique, l’agglomérat rigide comme bloc de granit encombré de brinics, les à chacun ses certitudes, l’usage et l’usure à servir l’oligarchie financière qui est à la manœuvre, ces Veaux adorateurs d’ors et de plumes qui en retirent les marrons du feu et attisent l’incendie qui vient.
Quand le malade agonise, le sursaut curatif et l’intelligence devraient être de rigueur. Un peu de ce qui a été diffusé hier au soir, mais bien trop tard pour les smicards. C’est bien dommage, car les déçus et les rêveurs qui ont misé sur le sixième Prince providentiel, n’auraient pas été déçus. Nous autres, les privilégiés et les couches tard, avons assisté à un débat digne et posé, lors de l’émission « Mots croisés » animée par Maître Calvi. L’expression et la prestation des intervenants, étaient enfin audibles, presque respectables, un souffle nouveau de maîtrise du mot, ce qui de mon avis, ne doit pas être étranger, à la présence du Patron de Médiapart. Tous étaient à surveiller, courtisant le journaliste au regard pétillant, l’audacieux orateur, qui à élever le débat, bien au-delà des éternels « c’est pas moi, c’est l’autre », comme le chantait si bien, le très regretté Jacques Brel.
Une présence, qui a finit par intimider la représentante du « Think tank » néolibéral, l’écrivaine essayiste Sophie Pedder de the « Institut Montaigne », pauvre homme. The think tank, l’anglicanisme snobinard et réservoir idéologique des plus grosses fortunes de France ou venues d’ailleurs, celle qui est qui ose à traiter du déni français, tout en déniant l’évidence que son fond de commerce macère depuis trop longtemps, oubliant la maintenance du devoir de vidange, de cette lie libérale, le cancer scélérat qui gangrène toutes les obédiences en gouvernance.
« Je vous rejoins très cher Edwy » par ci ; puis par là « Mais c’est bien sur, très cher Monsieur Plenel »; jusqu’au moment ou Maître Calvi, le commandeur de l’autre émission de débat de l’entre soi « C’est dans l’air », celle qui l’a fait naître notoriété, très agacé qu’il était, celui qui sait que c'est-à-dire, la vedette des mots croisés la plus écoutée ce soir là, et plus que jamais, c’était Edwy, notamment et à propos de l’affaire Cahuzac ! Le silence sur le plateau, la discipline divine des gens chez qui on dîne ! Ravit qu’il était, l’opportuniste talentueux qui n’a pas manqué son rattrapage, argent comptant sur le mot mal choisit, la minuscule virgule de vocabulaire d’Edwy Plenel, quand ce dernier prononça ce mot mal placé : « il fallait nous croire », s’appuyant sur l’évidence du sérieux des enquêtes menées par les journalistes, Fabrice Arfi et François Bonnet, et des conclusions et actions manqués, du Président HEC.
Calvi, le Maître en chef de l’hôpital qui se fout de la charité, et disons le tout cru, plutôt que d’y croire, le Président François Hollande avait tout lieu d’expertiser les deux yeux dans les yeux, toutes les paroles téléphoniques de son comptable et expert en fraude fiscale, l'autre géniteur et amplificateur des réseaux mafieux, ceux qui nous coûtent plus de 600 milliards d’avoir, le stock et la bonne dose d’argent qui nous manque, pour la transition énergétique, la fibre optique pour tous à s’émanciper du Daily-Yahoo, un fond souverain parti se reposer, juste à rien branler, des milliards d'euros à décorer les palmiers, de l’Ile Vierge ou Caiman…désolant.
A la croisée du chemin, de la belle tenue d'un patron de presse libre et non faussée.
Merci très cher Edwy ... sans cirage à pompes, c'est pas de coutume ici au pays des brumes dans les Monts d'Arrée.