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On pense à tord et abusivement que la muflerie est affaire du genre masculin, que le déni autoritaire est affaire de testostérones du paternalisme archaïque. C’est une erreur, et qu’il est bien triste de constater, qu’il ne suffit pas de mettre des quotas 50/50 dans la distribution des genres, pour donner un sens plus représentatif de la symétrie des sexes à diriger la gestion de nos destinées humaines.
Christine Batho, Ministre de l’Écologie assure que : «L’engagement pris par François Hollande est de fermer Fessenheim dans le quinquennat, d’achever l’EPR de Flamanville et de faire de Fessenheim une sorte de site pilote par rapport aux enjeux de l’industrie du démantèlement».
C’est pas nouveau, les stagiaires télégraphistes, et écolos de substitution du gouvernement, suivent à la lettre les directives du chef. Après les générations de réacteurs N°1, N°2, des numéros de communication qui ont offert le prétexte à créer de toutes pièces ces générations de réacteurs, mais surtout de produire encore et toujours plus de déchets qui seront à payer et par des milliers de générations. De sorte que tout ce staff de numéros communiants, inventa la trois G nucléaire. Un succès sans conteste à 4 milliards de déficit avant même que le bétonneur ne puisse achever de reboucher les trous de son gruyère banché. Madame Batho répète, à l’infini les mêmes gesticulations, de la nécesité absolue de poursuivre jusqu'à la folie, l’aventure atomique de l’EPR dit de 3G ! Puis fut venu les sortes de chantier pilote à démanteler ! Ce que pompeusement la maison EDF nomme de vitrine du savoir faire.
EL4 Brennilis, pour réacteur à eau lourde N°4, le prototype à fuites de tritium, et de CO2 radioactif n’est plus la sorte de chantier pilote et vitrine du savoir faire atomique français. Un engin nucléaire qui diffusait jusqu’à 5 tonnes de CO2 par jour selon le professeur Pellerin, le vénérable négationniste atomique, et chasseur de nuage nucléaire ukrainien. EL4 ne sera donc plus la vitrine du savoir faire pour les démantèlements nucléaires, l’argument béton pour le retour à l’herbe, de ce coin des Monts d’Arrée, qui avait servit à la caste des nucléocrates français, à faire venir bosser mes frangins, sur qu’ils étaient de toutes les salades que leur racontaient ces fadas atomiques.
Ils t’ont menti, frangin, dit le bien à L’Ankou, que t’as été vendu et déclassé pour trois rien, juste pour une poignée de piécettes, à prendre les doses pour cette vitrine merdique, ce qu’on disait si bien, qu’une autre misérable saucisse atomique, remplacera la Bretonne de Strasbourg.
«Dans le monde, un certain nombre de centrales fermeront dans les prochaines années, il y a là un enjeu industriel pour la France», précise Delphine Batho. Vous y serez inscrite au premier rang, à vider les circuits primaires, chère Damoiselle la Ministre arriviste, le fémin qui se conjugue en machiste.