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Billet de blog 7 novembre 2011

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Crise et dette en dérivée de bénéfice bancaire !

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La Crise de la dette publique, la bonne dérivée en bénéfice bancaire !L’arrogance dictatoriale des néolibéraux, les incendiaires seront-ils stoppés à temps ?

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· Les armes et les larmesAu palmarès des États les plus dépensiers en budget militaire, dit aussi et le plus souvent « budget de la défense nationale », il est bon de rappeler que le monde occidental tient le haut du pavé sur ce podium de riche ! Des riches créditeurs et pourtant si l’on croit les commentateurs, des pauvres riches et nouveaux fauchés de la planète libérale. Occidentaux, certes nous sommes les mieux armés, mais qui sait de si tôt nous serons aussi les nouveaux prêt à être affamés, la crise de la dette n’est elle pas là pour ça ? Mise en accusation de l’infâme dette publique, celle qui justifie la charge permanente d’être la cause de tous nos malheurs, seulement si l’on écoute et uniquement, les experts communicants et les économistes libéraux. La dette publique et tous ses maux, celle qui est de plus renchérie, ou selon, creusée au fond du fond, par les emplettes des généraux occidentaux et de leurs budgets militaires exorbitants. Dépenses et financement des armées, car pour ces crédits et ces charges financières, qui oserait poser la question : pour quel rendement ? Des dettes militaires, qui depuis toujours, n’ont jamais été réellement explorées, et ne sont jamais visées par la simple idée, que des économies ici comme ailleurs, seraient désormais plus que nécessaires, voir dans certains cas à programmer de la totale restriction budgétaire ! L’occident en chef, a depuis la fin du dernier conflit mondial 1939/45, toujours tenu ce premier rang, la règle du « gagnant ». Notre pays, loin d’être le major en matière militaire est pourtant en bonne place, avec 4% de budget des dépenses totales internationales. La France tient bon son 3éme rang mondial, pour de l’argent dépensé en armement et par tête d’habitant ! Pour un pays qui compte environ 66 à 67 millions d’habitants et qui y consacre actuellement, pas moins de 1000 dollars US par habitant et par an de dépenses militaires. Quand par ailleurs et pour la moyenne mondiale, elle est de 23 dollars/terrien ! Nos Gouvernants pensent sûrement, qu’un bon français vaut bien 43 fois plus en sécurité militaire que son « ami africain, celui qui n’est toujours pas entré dans l’histoire ». La patience du pauvre à la place de la communication historique de Sarkozy à Dakar, l’ignorance de l’omni-présidence. Qui d’entre nous osons réfléchir à cette veine que nous avons tous ici, de vivre ainsi sous des cieux militairement dispendieux. Qui y a-t-il de plus beau rêve pour tous les êtres humains, la chance idéale de pouvoir évoluer sur des territoires ainsi surprotégés par les missiles de type M51, les fusées intercontinentales chargées de bombes nucléaires. Des engins « protecteurs » capables d’intervenir sur des rayons d’action de 8000 à 9000 km ! Missiles dans le Finistère dans la presqu’île de Crozon et depuis la base de l’Île Longue, dont un seul tir peut atteindre à lui seul Téhéran, et de larguer ensuite ses 16 charges atomiques ! La base et l’endroit où ces missiles sont actuellement en phase de test pour validation à l’embarquement. Ces M51 qui bientôt seront en exercice et en mesure d’atteindre tous les objectifs à viser, des tirs pratiqués à l’abri de tous les regards, venant de nulle part et d’ou évolueront les sous marins d’attaques et lanceurs d’engins, ainsi est l’avenir de ce monde, terrorisme budgétaire et armement nucléaire. Bombes atomiques et sous marins du type SLNE, l’idéal sécuritaire militaire afin d’écarter toutes tentatives d’intrusion ou d’attaques par quelques belliqueux ou dangereux ennemis. Des belligérants ou adversaires, il faut le dire, qui sont pourtant à cette heure des illustres inconnus ! 1650 milliards de dollars de dépense militaire ! Si dans les réunions internationales, certains discours condamnent les quelques 1650 milliards de dollars US qui sont dépensés par années courantes en ce monde mondialisé, des sommes colossales usées par toutes les armées de la planète. Néanmoins personne n’y opposent au contraire, ce pour en faire apparaître le pire de cette injustice ! Ce que j’ose appliquer ici sur ce papier, à décrire ce que coûterait à l’économie mondiale, capitaliste ou pas, une dépense globale à la hauteur des sommes dont disposent actuellement les pays occidentaux. Nous ne sommes plus les seuls, et ce n’est du reste pas étonnant. En effet, l’Arabie Saoudite a d’ailleurs depuis franchi le deuxième rang des pays les plus dépensiers en budgets militaires. L’Arabie Saoudite, le pétrole et le militaire qui font la paire, l’alliance au haut du podium des gagnants armés jusqu’aux dents, le palmarès et juste à quelques milliers de dollars en écarts par habitant, très peu de ce qu’il faut pour être devancé par les USA. « Borne in USA » chantait Bruce Springsteen, quelle idée, l’USA qui de plus est le premier fournisseur d’armement de la Péninsule d’Arabie Saoudite, l’or noir au pays des « salafistes ». Autant de sommes qui sont issues de tous les cotés depuis les comptes publiques, le payeur ainsi que le vendeur ou quand pour les USA ils ne cessent de compter et recompter , de 650 milliards ou 799 milliards de dollars et sans statuer des couts liés aux intérets bancaires, des sommes et dette encore une fois publique qui coute aux contribuables américains pour le financement de la guerre en Irak , mais sans intégrer le cout pour l'Afghanistan!

Guerre en Irak : 800 milliards sans les intérets !

Une misère à coté des 15 000 dollars de la dette votée par le Congrès Américain en ce début de mois d’aout de l’été 2011. 15000 milliards de dollars, rien à voir et à coté des 1800 milliards d’euros de dette française, surtout quand à coté de ce chiffre il vous arrive l’idée de faire rappel des 10 600 milliards d’euros ou encore 15 000 milliards de dollars en estimation de valeur du patrimoine cumulé de tous les heureux propriétaires français. De l’or, il en reste bien à certains endroits, le tout est toujours de bien vouloir regarder de tous les cotés, il faudra bien s’y mettre un jour à trouver les sous, les histoires sont ce quelles sont et la réalité quoi qu’il arrive, la cure ce sera chose faite. Autant y songer dès à présent et le plus rapidement possible. Un instant de crédit à éviter le pire, pourtant cette votation américaine à une nouvelle fois confirmé l’enlisement fataliste ou de l’inconscient dogmatique. Un drame politico financier qui autorise à retardement, juste le temps de faire bouillir la marmite à émotions dans les salles ou les traders flirtent avec la spéculation, un vote pour une extension de plus pour la fabrication d’argent et crédité car payé au nom de la dette publique dite aussi souveraine américaine. Les Chinois qui en possèdent quelques milliards de dollars en parts, n’en sont pas forcément des plus satisfaits, et ce gonflage permanent de la dette vers le tout publique finira par trouver ces limites. Nous y sommes, les Grecques en sont les premières victimes. Dette publique et aucune vue sur les bénéfices extramilitaires de ces vendeurs d’armes et associés. Il serait très difficile de dire autrement, sans rajout de mauvaise foi venant de la part des libéraux, de reconnaître enfin de l’usage abusif et de la coutume d’affecté systématiquement, ces orgies de militaires à la dette publique, dès lors que tous ces investissements ont drainés inévitablement des milliards de dollars en bénéfices redistribués aux actionnaires privés des groupes militaro-industriel, là bas outre atlantique tout comme parmi chez nous. Les budgets militaires pour protéger les populations des dangers qui menacent ? Ou surtout les intérêts directs et les stratégies financières de ces fabricants d’armes, qu’ils soient nationaux ou sociétés multinationales, les liaisons en tous sens, les maillages interdépendants de la finance, et les ambitions d’attributions pour des marchés d’armements internationaux, peuvent contredire l’objectivité des devoirs régaliens des États par qui est sous traités à la suite des commandes de travaux à des groupes d’intérêts privés ! L’inverse de toute doctrine crédible et loyale, et de ce que l’on doit attendre de l’État qui se vante si souvent d’être un État de droit, et particulièrement quand il s’agit de défense nationale. A mon sens, les armées structurées professionnellement et hyper sophistiquées, pour les occidentaux sont loin d’être les outils à l’idéal pour combattre la guerre mutante devenue économique et d’atteinte de priorité sociale et très largement, ou les victimes sont de tous les bords, les défauts hallucinants de cette civilisation post nationale et mondialisée, il n’y plus de frontières proprement dites, la déchéance sociale étant la plus large détresse partagée et qui se propage comme feu de paille sur tous les continents. A ce sujet, et la question se pose, si de nos jours à l’ultra mondialisme sans justice sociale, la limite territoriale nationale, a-t-elle toujours une quelconque pertinence et intelligibilité politique ? L’Europe continentale sans cadre politique réaliste et dimensionné raisonnablement, ou comment le dogme monétariste peut-il à lui seul remplacé les ambitions partagées par tous les individus qui sont invités au village mondiale, pour la gloire du dogme libéral. Mais puisque le temps est venu d’être ainsi exempté de tueries sanguinaires et comme autrefois, nous pouvons dès lors, s’interroger de l’intérêt de continuer à financer et d’admettre que ces dépenses militaires, ne sont en réalité que dérive coutumière d’un panel de passéistes nationalistes, des armadas qui ne nous défendent en rien des dangers bien réels, les maux d’aujourd’hui et les conséquences de la guerre économique, le chômage et la paupérisation de toutes les classes sociales, ce que bidasses et autres compagnies de militaires, sont incapables d’interdire et de faire prisonnier tous malheureux capitaliste qui oserait ouvertement la délocalisation d’une manufacture et rien que cela en exemple aussi simpliste qu’il soit, je l’accorde sans aucun doute.. Pourtant …c’est comme ça ! · 7 milliards d’humains armés jusqu’aux dents ? 7 milliards d’humains nous dit-on, la bonne nouvelle, est ce pour cette raison qu’il faudrait désormais et pour nourrir de travail, tous les ouvriers et techniciens de l’arsenal de Brest à l’autre bout de l’Oural, faire de cette raison de sécurité militaire pour tous, de Calcutta à Bogota, et tant qu’on y est, pourquoi pas de faire face à la crise mondiale. Un gigantesque plan marshal mondial pour l’arsenal et d’y investir autant et ici seulement pour rejoindre le niveau de la dépense militaire a la française, une somme non pas de 1650 milliards de dollars par an, ce qui est de trop ou de pas assez ? Mais de la réactualiser égalitairement (osons le cynisme) de plus 7000 milliards de dollars US !.Soit 4.3 fois de plus de l’actuel, de ce que coûte la résolution permanente et du mauvais usage de toute cette richesse ! Mais plus encore, de quelques 15 610 milliards de dollars de dépense militaire à l’US cote ! Allons y, armons nous : citoyens, militaires et terriens, qui prépare la guerre protège la paix ne dit on pas, et combien même sans qu’une seule fois ce dicton n’a jamais été démontré. Nous les terra martiens, nous ne nous feront plus jamais peur, d’ailleurs, l’ennemi n’est-il pas à l’intérieur !· Crise Grec et marchandage de la dette militaire.Crise Grec, oui mais alors que dire à l’écoute et selon l’écho radio de France inter dans l’émission de mieux en mieux à écouter de M. Paoli, juste un coup pour des oreilles attentives ; et à propos des marchandages inter européen pour un marché d’armement militaire à destination de la Grèce, et pour ce cas précis l’émission a eue lieu le dimanche 6.11.11 (12h-13h). Des armes et des larmes, la crise ou de la dette militaire !…· Le retour du Saint Chanoine Nicolas ! Le sauveur ?Le sujet d’actualité, le G20 et la crise financière de la dette, doublée de la crise politique Européenne. La promesse de l’accord de réduction de 50% de la dette Grecque en contre mesure de la vision catastrophique mondiale en cette dette nommément « publique* » ce qui aurait été et en cas d’échec, les arguments à gonfler le serrage de ceinture pour tous, le texte intégriste selon l’idiome de Sarkozy. Ce faisant, l’annonce quasi simultanée, différée à peine de 24 heures par M. Papandréou, juste après la soudaine réapparition du saint sauveur président à la télévision. Du Papandréou et du billard évènementiel à rebondissements permanent, une mise en scène à nous tenir tous en haleine. Quelle belle prouesse à la grecque, qu’un tel tir à trois bandes, un coup de poker de travers à l’attention de la droite hellénique. Cette droite radicale et populiste qui est la principale formation ayant détenu le pouvoir durant ces vingt dernières années, sur ce territoire Grec. Ce sont eux qui ont construit cette réalité fiscale bancale qui mine actuellement la Grèce, c’est incontestable, et il doit être dit que l’un des membres de cette droite du PPE au parlement Européen, est qu’il porte en lui la plus grande part de responsabilité de la désastreuse situation fiscale de ce pays. Comment ? Ils ne le savaient pas !Ils ont durant toutes ces années passées, laissés favoriser, et le Clergé et l’ Armée, les plus puissants auront été les mieux servis, et la débrouille « populi » pour le reste du pays, ou les étudiants mendient leur droit au savoir, ou les riches ont planqués plus de 120 milliards d’euros en Suisse, si l’on croit Madame Eva Joly. Pas vraiment joli tout cela, et de ce qui en a fait la réalité injuste de la dette sans cesse attribuée à tout public. · Dette nommément dite publique* ! * CQFD !Ici comme ailleurs, cette dette devra être examinée par un audit, et à terme il sera alors assez tôt pour en affubler de publique , cette dépense budgétaire, qui est ici pour le militaire aussi lourde de près de 68 milliards d’euros par an rien que pour la France. Pourquoi tant d’argent, car au bout du compte, ces dépenses dites de défense, ne protègent en rien la vie des concitoyens, les spectateurs impuissants à subir des conséquences de la dérive concurrentielle quasi spatio-temporelle, l’ére post industriel contre le moyen age paysan chinois, et surtout de cette guerre commerciale néolibérale mondiale. Les dégâts sont présents et visibles à toute l’échelle planétaire, surtout que Sarkozy nous l’avertit, et il est aussi vrai que des millions de chômeurs qui comptent en Europe et autant qu’ils apparaissent désormais en Chine, à l’heure ou la bulle financière immobilière inquiète les dirigeants Chinois. Une crise des « subprimes » à la Chinoise n’est pas inimaginable … !Le toujours plus et la surenchère à forcer tout le monde de penser que cette dette est forcément publique, un attribut caractérisé, pour en déterminer, et de mon avis abusivement ou surtout précipitamment du devoir au peuple de rembourser une seconde fois, quand ce n’est pas, et de trois ! Ce que certains auraient outrageusement dépensés ou quand d’autres malins, les premiers bénéficiaires pour des biens trop mal achetés par les profiteurs, les bons amis de Dassault. Ceux qui de père en fils s’invitent en presse et censure à l’occasion, l’information à propos de la vente de ses canons, en bref les destinataires et distributeurs de bien trop de largesses. Les traces des évolutions des patrimoines devraient en principe, nous éclairer tous, qui a quoi et combien ont-ils tous en réserves privées. Une étude approfondie qui nécessite des moyens humains et surtout de la volonté politique d’accéder à ces titres et d’obligations achetées ici ou là. Des femmes et des hommes de la base et non corruptibles, du temps citoyen mais pas forcément beaucoup d’argent. Ne rien faire de cette nécessaire clarification des comptes, de tous les comptes, est et serait très risqué. L’acceptation d’éventuels sacrifices à supporter par le plus grand nombre, et le juste équilibre qu’il faudra créer entre les riches du nord et les peuples émergeants du sud principalement, au-delà des écarts transnationaux, les passes et tour de passe des échelles locales seront, elles aussi a être examinées. Un décompte qui ne peut être dispensé de cette purge, de la fin de l’hypocrisie et de la clarification des budgets qui soit la plus objective possible. Une partition de transparence mis en œuvre et obligatoirement bien au-delà des contrôles institutionnels, seule la prise en main de tous pour cet audit des finances dites publiques, pourrait faire émerger un consensus à distribuer à chacun ses parts de responsabilités. · Qui aurait peur d’ouvrir à tous, ses propres comptes ? La droite radicale en Grèce, responsable des arrangements, les porteurs de l’idéologie anti-état et les maîtres à penser les modifications de bilans, tous trafiqués pour des comptes à bons résultats du bon prêt à présenter, du tripatouillage bureaucratique organisé par des agences de notation ou par leurs similaires ou officines, les expertes qui maquillent et notifient sans rougir , « the Financial théâtre final » de ce monde hallucinant, de la trésorerie mondiale à risque organisée et comptabilisée par de la psychologie incontrôlée, le suicidaire de la finance internationale. Tricheries en tragédie grecque dont le but était destiné à garantir le passage aisé des contrôles européens, d’obtenir en maquillage la validation pour l’euro adhésion, des lors pour et par les institutions Européennes. Et si tant est que ce travail fut réellement réalisé, qu’il soit encore palpable et éprouvé en temps utile, les traces administratives qui selon les règles de mise en application de ces décisions politiques pourraient et peut être nous soustraire ces interrogations ? Des examens in situ, et pour en contrôler les résultats objectifs. Car qui peut à ce jour, se prévaloir d’avoir connaissance, que tout ou partie des accords ou encore que les lois issues de ces institutions européennes sont elles garanties d’un réel suivi en examen d’efficacité. Un retour d’information en suites logiques, pour que le politique puisse s’accorder le droit d’être en mesure de déclarer d’avoir œuvré jusqu’au bout de son travail. Et pourtant, la cause est entendue déjà, car c’est ce dont nous pouvons craindre du contraire. En effet, la dette capitalistique, n’est malheureusement pas qu’exclusivement grecque ! D’ailleurs, à peine bousculées et bouclées les défiances du coté» d’Athènes, que Rome et le Guignol Caudillo Berlusconien, sont d’ores et déjà visés. Les CDS, ceux là ils n’attendent pas. Les commissaires n’ont pas finis de nous confondre encore toutes sortes d’arguments en place pour la dette publique, et qu’il nous faudra encore payer, la boule à zéro , le grotesque de la tragédie grecque via la commedia d’El Arte ! · La Grèce le tube à essai ?Rien ne peut m’empêcher de laisser filtrer l’idée, que la Grèce n’était que le tube à essai pour creuser la faille européenne. L’Union des pays Européens, qui dans une certaine mesure portait en elle il n’y a pas si longtemps, une certaine idée de la démocratie, certes imparfaite mais l’idée était partagée, et qui dans certain domaine, les algues vertes notamment, ou le poids des institutions européennes forçaient d’y retrouver certaines raisons valables de son existence et nécessité politique, oui mais. Le corps électoral absent !Qui se souvient du désintérêt manifeste du corps électoral. Une démocratie Européenne dont plus de 60 % des électeurs français fuyaient pourtant les urnes lors des scrutins aux dernières élections, et pourtant tous un peu étonnés à ce jour, les absents ont-ils toujours tors ou faut il se plaindre dès lors de la prise de pouvoir par les bureaucraties aux ordres des Oligarchies établies ? Comment l’homme et la nature écologique, il est aussi absurde et pourtant vrai que la bureaucratie a également horreur du vide et elle lui prend sa place.

La suite de l'avenir pour l’établissement de l’UE à raisonnance un peu plus sociale, car la crise jugulée dictatorialement en dénonçant abusivement la Grèce laissera longtemps des traces, la défiance populaire a été aiguisée et il est trop tôt de se satisfaire aussi simplement, d’un retour aux ordres et sans référendum pour le peuple de la Grèce.

L’avenir européen n’est pas forcément serein, loin de là, car le choc sera selon la capacité des peuples à crouler sous ce bulldozer néolibéral à destination fatale, ou de ce sursaut salutaire qui serait enfin gonflé de volonté humaine et juste, la possibilité d’une réplique souveraine pour faire basculer les paradigmes. Un scénario évolutionnaire qui ne serait pas épargné de drames, malheureusement tous ces changements radicaux annoncent une période trouble à tout point de vue et des directions qui seront prises. Néanmoins, le dictat de Sarkozy à Papandréou, signifie le cran de plus, un serrage de vis dévoilé sans ménagement aux yeux de tous, le commencement d’une nouvelle et insidieuse dictature entouré du baragouinage en sémantique, le soft et les formules de langage, qui n’ont plus de sens, même pour ceux qui font minent d’y croire encore à ce qu’ils prononcent simultanément. En résumé la suite idéologique logique du concept Thatchérien « TINA », dont les conséquences sont envisageables à l’horizon de demain, elles seront toutes aussi catastrophiques qu’elles seraient et aussi bien que mal , mais sûrement apocalyptiques.· Ce TGV mode occidental, un train d’enfer impossible à stopper sans casse sociale ? En Grèce ! La triche plus ici encore que là bas, tout comme en Roumanie, Bulgarie, Lettonie, tous ces pays nouveaux entrants dans ce marché régional européen, des pays si différents les uns des autres, et aux écarts de niveau de vie qui fait de cette monnaie unique la pire des armes à concurrence déloyale et complètement faussée. L’anti thèse du concept néolibéral de cette Europe en déconstruction. La droite grec et le déni de responsabilité et de l’arrogance et ambition de vouloir reprendre le pouvoir dans une coalition gouvernementale quasi inimaginable, tant les tensions sont palpables et les idéaux différents. La réalité est autre, et le poids du politique lui tributaire des fonds monétaires, ne puisse en réalité influer réellement sur l’avenir. Baisser l’échine, révérence des débiteurs aux gérants des taux usuraires de la dette, l’obligeance de faire afin d’assurer les fins de mois, les états sont aux abois. Crise Grecque et Européenne, la révélation difficile du fédéralisme européen, quand apparaît clairement la stratégie des intérêts de la politique nationale, la cause en opposition de la raison de la domination bureaucratique Européenne, laquelle objecte de sa prédominance par la seule bonne volonté de ces accords « historiques » et des prêts qui y sont associés. Et pourtant, des décisions, qui interviennent après plus de deux ans de mauvaises orientations. Les tardifs gestionnaires et accablants accusateurs, en plus que d’être mal poli comme un Sarkozy, envers un peuple grec qui est au bord du précipice. A l’égard du mal poli, de ce qui l’a bousculé, le précédent absent et pressentit candidat, l’organisateur de ce G20 et néanmoins disparu volontaire tout au long des primaires socialistes. Un vide, puis l’apparition, l’élan qu’il attendait patiemment, la fin des primaires, car tout va si vite, que cette phase médiatique n’est plus qu’un objet oublié de plus, tout va si vite qu’il a aussi perdu de vue , tout comme les instigateurs , de la très brève participation de l’éphémère démocratie du grand public, le devoir d’applaudir et de s’aligner dans la droite ligne des faiseurs d’opinions. Ce qui avait été annoncé, sera ainsi, la continuité Papandréou, Hollande même combat ? · Le rebond G20 qui n’aura pas lieu. L’Échec & le Mat !

L’absence de sa présidence et de son plein gré, ce qui était attendu et qui est dénoncé, à commencer par Jean François Copé, le réveil en différé et les portes voix de l’UMP, tous à rouspéter drôles et slogans, des mots de gosses de riches ayant dans l’idée dramatique que la prise de position du système médiatique, serait désormais pro ou prou socialiste. Idiot tout au plus, bête et méchant sûrement, de la charabia débandade et du désordre de tous ordres au sein du saint de l’UMP, pathétique mais l’adroitement molle et la menteuse de vendre au passage un bout de son extrême droite.

2012 venant, et de l’évidence d’un certain avantage à la portée du PS. Néanmoins les socialistes feraient bien de pas oublier que les programmes n’éviteront pas que la crise, elle ne changera pas sa logique accablante, et les socialistes à la manette ou pas tant que les fondements de l’économie mondiale restent en l’état, ce qui est probable et qu’ils ne soient toujours pas remis en cause et profondément par cette classe politique. Une révolution fiscale, et bien au-delà de la très hypothétique régulation. Le joli mot pour cacher , ce qui est toujours un masque, la feuille de vigne et le doigt sur la couture du pantalon, stratagème et artifice pour dévier les buts et objectifs de la réalité des vrais maux qui touchent nos identités. Ce que l’on pourra retenir de la pirouette de Papandréou, c’est la piqûre de rappel de se souvenir que le politique n’a plus d’autre choix que de se plier aux exigences du marché. La casse sociale en plus à gérer, non seulement qu’il faudra faire la bonne parade à la crise énergétique et climatique, un cocktail détonnant ! 2012 l’année de tous les dangers… · Un saint sauveur en perdition médiatique. Abandonné de tous ! Le sarkozysme déclinant, imposant pourtant sa vision au premier ministre grecque qui malgré son vœu de s’en remettre à son peuple, ce qui n’ayant pas généré de drame mondial. Tout juste une petite panique boursière passagère, l’accoutumée de ce système insaisissable. Le sauveur du monde ne pouvait à ce titre que de singer autre chose et de bondir aussi brusquement sans ménagement diplomatique, et avec le minimum de l’humilité requise, pire il le fait comme un vulgaire mal poli, l’hautain et l’autant qu’il use par la suite de trop de mise en scène de politesses « Obamaniesques », miel et mièvreries, la daube et la salade pour de la télé réalité en de si précieuses ridicules. Trafique de matériels militaires et affairistes associés.

L’occasion de l’émission de France Inter de ce dimanche, un sujet Grecque et contexte, qui au passage M. Paoli en a profité pour nous rappeler les projets de certains marchands d’armes français et/ou allemands, qui se disputent actuellement un marché d’armement pour la Grèce, ce pays en faillite et endetté de plus de 350 milliards d’euros de crédits bancaires à rembourser (avant la ristourne de Merkozy). Le 120% du PIB en déficit !

Dépenses militaires et simultanément à la crise de la dette grecque, qui oblige Papandréou d’obéir et de renoncer à son référendum, de plier « TINA » aux injonctions des instances internationales, FMI et Lagarde en tète de gondole, la non repris de justesse, qui lui intime de mettre un frein au dépenses, mais aucun de ces mesdames et messieurs ne condamnent ce marché d’armement.

Beaucoup d’argent en jeu ! Un investissement sécuritaire pour des navires militaires du type frégate, ressemblant au modèle « FREMM » la production des arsenaux de DCNS et cotraitants. Des navires pour une armada méditerranéenne grecque, tant que la Turquie sera le potentiel belliqueux de leur région méridionale et moyen orientale. Les Généraux Grecques qui souhaitent les acquérir, pour faire face à une autre armée de l’organisation de l’OTAN. Les Turcs tout comme l’armée grecque en sont autant à l’OTAN, un marché IN OTAN en quelques sortes de plusieurs milliards d’euros ! On comprend mieux ainsi les raisons de cette sévère remise en place, du nain Athénien, la démocratie bureaucratique de Merkozy, n’a pas de raison à perdre autant de temps que d’argent !

Ce qu’il oublie, ce qu’ils oublient en Oligarchie, dès lors que ce concept « TINA » prend corps sur toute l’Europe, de la perte totale sensible et visible des peuples et de leur maîtrise sur la démocratie, au détriment du pouvoir multinational des réseaux financiers et des maîtres parfois très incontrôlables à choisir le sens référendaire qui ne plait pas à l’autoritaire. Ces heures de doutes démocratiques, le non de 2005, le traité de Lisbonne, l’éternel et le retour en boomerang, le seuil critique n’est plus loin d’être atteint , le point de rupture et la saturation , à suivre images par images la position outrageante de ce Sarkozy là !

L’Europe n’en sort pas grandit, et celui-ci y perd encore un peu plus de sa si petite stature internationale, il n’en ressort guère plus que le mot de trop et de son arrogance, venant de plus de celui qui est le porteur symptomatique président qui laissera en souvenirs derrière lui, le pire des résultats en augmentant de plus de 600 milliards d’euros de dette en plus, une facture à mettre sur le compte du président du G20 ! L’hôpital et la charité, du jamais connus depuis toute l’existence de la république, le champion toutes catégories, pour la création de dette publique et en la faveur de ses amis riches, les clients certainement fidèles du Fouquet’s ou du club bar des amis du président !

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