Piqure de rappel : Rien n'est plus intéressant que de faire un petit retour sur le passé, et de constater cette perpétuelle guerre d'hominidés arrogants, relire que nos structures politiques qui ne sont pas capables de paix sur le long terme. Il n'y a guère de doute à lecture et aussi brève soit-elle de ce passé qui nous a déterminé à devoir accepter la tragédie humaine. Extraits depuis la biblio Wikipédia, qui, si elle n'est pas la Bible, n'en a pas moins la vertu de pouvoir à débrouisailler le savoir à minima. Ce sujet histoire, ne souffrant pas de controverse, les dates et faits exposés ne sont que peu contestables.
VIIe siècle : Du tonlieu à l’écotaxe
L'édit de Clotaire II, Chlotarii II Edictum en latin, ou édit de Paris dénommé également décrétion de Clotaire, promulgué par le roi des Francs Clotaire II, le 18 octobre 6142 à Paris.
La plus célèbre des vingt-sept clauses de l'édit est presque certainement la numéro douze, dans laquelle Clotaire dit en partie que nullus iudex de aliis provinciis aut regionibus in alia loca ordinetur, ce qui signifie que les fonctionnaires ne peuvent être nommé que dans leur propre région6. De même, il proclame la liberté des élections épiscopales ; le roi se réserve après l'élection d'ordonner ou non au métropolitain de procéder à l'ordination du nouvel évêque7. Cela a été interprétée comme une concession, l'octroi des magnats à plus de contrôle sur les nominations et au roi à diminuer son influence et, inversement, comme un morceau de la législation anti-corruption destinée à faciliter la pénalisation de fonctionnaires corrompus comme l'illustre l'intervention contre les comtes qui cherchent à établir de nouveaux tonlieux à leur profit
L'édit de Clotaire II est resté en vigueur pendant le règne de son successeur, Dagobert Ier
XIe siècle : L’amorce du déclin byzantin
La bataille de Dyrrhachium (près de l’actuelle Durrës, en Albanie) eut lieu le 18 octobre 1081 et opposa l’empire byzantin sous la conduite de l’empereur Alexis Ier Comnène et les Normands d’Italie du Sud, dirigés par Robert Guiscard, duc d’Apulie et de Calabre. L’affrontement, qui se termina par la victoire des Normands, se produisit aux abords de la ville de Dyrrhachium (aussi connue sous le nom de Durazzo), capitale byzantine de l’Illyrie.
XVIe siècle : Le péché de lèse majesté est né
1534 : début de l'Affaire des Placards. Les protestants protestent
Les placards dont il est question étaient des écrits injurieux et séditieux affichés dans la nuit du 17 au 18 octobre 1534 dans les rues de Paris et dans diverses villes du royaume de France (Tours, Orléans).
Ces placards étaient intitulés Articles véritables sur les horribles, grands et importables abus de la messe papale, inventée directement contre la Sainte Cène de notre Seigneur, seul médiateur et seul Sauveur Jésus-Christ. Ce titre évocateur était en fait une attaque directe contre l’Eucharistie, comprise dans la théologie catholique comme étant une 'transsubstantiation'. L’auteur en était Antoine Marcourt, pasteur de Neuchâtel - mais d’origine picarde - d’inspiration calviniste. Le roi s'emporta contre ce qu'il considérait comme un crime de lèse-majesté.
XVIIe siècle : Un arrière gout de grand père du « MOI-JE »
1622 : traité de Montpellier. La génétique de la centralité
Le traité de Montpellier (également connu sous les noms de paix de Montpellier et édit de Montpellier) fut signé le 18 octobre 1622 à Montpellier entre le roi Louis XIII de France et le duc de Rohan, chef des forces huguenotes pour mettre fin aux rébellions huguenotes.
On promettait à La Rochelle la destruction du fort Louis, mais Pierre de La Mothe-Arnaud dit Arnaud du Fort, mestre de camp du régiment de Champagne, y resta avec son régiment après le départ Louis comte de Soissons, et la dissolution de l'armée d'Aunis.Le traité, signé après l'impasse du siège de Montpellier, met fin à la première révolte huguenote contre Louis XIII.
Cette paix ne dure que deux ans, car ni le roi ni les huguenots n'étaient prêts à en respecter les termes. Le frère de Rohan, le duc de Soubise, attaque une flotte royale dans la bataille du Blavet dès janvier 1625.
1685 : édit de Fontainebleau. Le centralisme « totalitaire » est en marche
L’édit de Fontainebleau, signé par Louis XIV le 18 octobre 16851, révoque l’édit de Nantes par lequel Henri IV, en 1598, avait octroyé une certaine liberté de culte aux protestants. Cet édit de Fontainebleau est plus connu sous l'appellation non officielle de « Révocation de l'édit de Nantes ».
Dès le début de son règne, Louis XIV, cherchant à unifier son royaume sur les plans religieux, administratif et politique, souhaite extirper le protestantisme. S'appuyant sur une interprétation étroite de l'Édit, il fait accumuler les enquêtes, les dénonciations, les interdictions, voire les destructions d'écoles et de temples. Après des années de persécutions et de conversions forcées, le protestantisme français ayant pratiquement disparu, le pouvoir royal décide que l'édit de Nantes, devenu caduc, peut être révoqué. La conséquence la plus concrète de l'édit est l'accélération de l'exil définitif d'environ un pour cent de la population appartenant à l'élite, principalement au profit de l'Angleterre, des Pays-Bas, de l'Amérique et de la Prusse.
XVIIIe siècle : L’emprise des puissances coloniales, l’impérialisme naissant
1748 : traité d'Aix-la-Chapelle (fin de la guerre de Succession d'Autriche).
Le second traité d'Aix-la-Chapelle (ou paix d'Aix-la-Chapelle) fut signé à l'issue d'un congrès réuni pour terminer la guerre de Succession d'Autriche, et dont les négociations durèrent du 24 avril au 18 octobre 1748. Il voit l'émergence d'une nouvelle puissance, la Prusse1.
Suite aux conférences de Bréda, le royaume de France et le royaume de Grande-Bretagne furent les deux puissances qui réussirent à imposer leurs vues aux termes des négociations, les autres ne faisant que suivre ou s'incliner face aux décisions.
Comme chez les gaulois, après les batailles, le fest deiz et noz sont de coutume
Le traité d'Aix-la-Chapelle a cependant été célébré en France et en Angleterre par des festivités incluant des œuvres composées à cet effet par les compositeurs les plus en vue de chacun des royaumes : à Paris, Naïs, « Opéra pour la paix » par Jean-Philippe Rameau et à Londres la Music for the Royal Fireworks (Musique pour les feux d'artifice royaux) par Georg Friedrich Haendel.
1797 : traité de Campo-Formio (guerre franco-autrichienne).
Le traité de Campo-Formio est signé le 18 octobre 1797 (26 vendémiaire an VI) entre Napoléon Bonaparte, général en chef de l'armée française en Italie représentant la République française et le comte Louis de Cobentzel, représentant l'empereur François II du Saint-Empire. Il met fin une première fois à la guerre franco-autrichienne.
Ou quand la trop sérieuse politique est livrée au Militaire impétueux et ambitieux
Tout commandait1 à Bonaparte de presser ce grave dénouement s'il voulait en rester le maître. Il était d'ailleurs dominé par la pensée qu'on se défiait de lui à Paris et même qu'on voulait le perdre. Il est sûr que le Directoire n'était pas à se repentir de lui avoir confié exclusivement le sort d'une négociation si importante. « En cas de reprise d'hostilités, lui écrivit le président La Réveillère-Lépeaux2, le Directoire exécutif sent la nécessité de nommer des négociateurs pour vous soulager du soin de la partie politique et vous laisser tout entier à vos dispositions militaires. » Le Directoire était encore incertain du parti définitif que prendrait Bonaparte, au moment où le sort de l'Europe se décidait à Udine. Le 13 octobre en ouvrant les fenêtres, à la pointe du jour, au château de Passariano (en fait, la Villa Manin à Codroipo), on aperçoit les montagnes de la Norique couvertes de neiges. Il avait fait un temps superbe la veille et jusqu'alors l'automne s'était très bien annoncé. Témoin de ce changement si brusque de la température, Bonaparte prononce avec calme ces mots :
« Avant la mi-octobre ! quel pays ! allons il faut faire la paix. »
On pourra se rappeler la suite de cette parole bonapartiste ... 3 à 6 millions de morts durant son règne !
XIXe siècle : Les USA étendent leur territoire
1867 : achat de l'Alaska par les États-Unis.
L'achat de l'Alaska est l'acte par lequel l'Empire russe céda ses territoires nord-américains aux États-Unis en 1867 contre le paiement de sept millions de dollars. Cet achat fut mené par le secrétaire d'État américain William Seward. Le territoire acheté avait une superficie d'environ 1 600 000 km2 (600 000 miles carrés), et constitue pour l'essentiel l'actuel État américain d'Alaska.
L'Empire russe était en difficulté financière et craignait de perdre le territoire alaskan sans compensation dans un conflit futur, surtout avec le rival du moment, l'Empire britannique, qui possédait déjà le Canada voisin et dont la puissante Royal Navy pouvait facilement prendre le contrôle de côtes difficiles à défendre pour la Russie. L'empereur Alexandre II décida donc de vendre le territoire aux États-Unis et chargea son ambassadeur, le baron Edouard de Stoeckl d'ouvrir des négociations avec le secrétaire d'État William Seward, dont c'était un proche, au début de mars 1867.
Les négociations se conclurent après des discussions qui durèrent une nuit entière et la signature du traité à 4 heures du matin le 30 mars avec un prix d'achat de 7 200 000 dollars américains (équivalent à environ 1,67 milliard de dollars de 2006[réf. nécessaire]). L'opinion publique américaine était plutôt défavorable à cet achat, comme résumé par l'historien Ellis Paxson Oberholtzer, les critiques étaient nombreuses1
XXe siècle : Le siècle meurtrier agencé par les « ingénieurs civilisés »
1907 : acte final de la deuxième conférence de la Haye.
La seconde conférence de La Haye est une conférence internationale organisée à La Haye du 15 juin au 18 octobre 1907 sous l'égide de la Cour permanente d'arbitrage.
Lors de cette conférence, les dispositions de la Première conférence de La Haye furent révisées. Toutefois, les textes des deux conventions comportent peu de différences.
Ces deux Conventions de la paix représentent aujourd’hui les règles de droit coutumier de première importance, même si entre-temps les Conventions de Genève de 1949 et leurs Protocoles additionnels de 1977 les ont considérablement élargies.
1912 : traité de Lausanne. Les colonialistes nationalistes découpent l’Afrique
Le traité de Lausanne signé le 18 octobre 1912, aussi appelé traité d’Ouchy du nom du quartier de Lausanne où il fut signé, met fin à la guerre italo-turque et cède à l’Italie les provinces de la Tripolitaine, de la Cyrénaïque et du Dodécanèse.
XXe siècle : De la guerre meurtrière à la guerre froide
La résolution 78 du Conseil de sécurité des Nations unies est une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies adoptée le 18 octobre 19491.
Cette résolution, la douzième et dernière de l'année 1949, relative à la réglementation et à la réduction des armements, invite le secrétaire général de transmettre à l'assemblée générale les résultats des travaux de la Commission des armements de type classique.
La résolution a été adoptée par 9 voix pour.
Les abstentions sont celles de la République Socialiste Soviétique d'Ukraine et de l'Union des républiques socialistes soviétiques.
Voir: Ici on tue des frères Algériens http://blogs.mediapart.fr/blog/antoine-montpellier/181014/17-octobre-1961-lhistoire-au-present-quand-il-ete-accepte-que-lon-pouvait-tuer-des-arabes-e
XXIe siècle : Terre Planète GUERRE ?
Les accords de Milan sur l’Ukraine, une coalition anti EI de l’OTAN aussi hybride que corrompue, ...Les Roys et Présidents ont échoués, aux Communs de mettre un terme aux carrières de ces incompétents de circonstance, ... !