Il n’y a pas eu de « mongolerie » au travers de la muraille de Chine qu’ils s’étaient évertués de dresser dans le Ministère du Ministre du budget.
Les hauts et les bas d'un idiome populaire reprit par les solfériniens, juste à vouloir éluder leur faute politique majeur et gravissime, l’effondrement d’une icône socialo-libérale couverte par l’image exotique et touristique d’une muraille emblématique, des cailloux millénaires érigés à protéger l’apprenti appareil politique socialiste, le nœud du vœu du novice, un logiciel super lisible et détectable seulement « les yeux dans les yeux ». Deuxième convocation à la commission parlementaire et deuxième mise en scène de l’acteur froid et cynique, aussi droit que le mur chinois, fermé comme une huître au mutisme antique asiatique, celui qui sourit avec malice et refuse de se plier aux questions, Jérôme à ses idiomes garantis sans fuite, ce qui fait dire à la candidate parisienne de l'Ump, pour NKM : « la seule solution » est d'auditionner Ayrault sur Cahuzac !
La muraille de Chine , oui mais laquelle ?
D’ailleurs pourquoi donc avoir choisit cet édifice en guise de mur communicant ? Un mur aussi vieux que Confucius, le penseur et philosophe chinois qui aurait fonder une morale positive, structurée par les « rites » et vivifiée par la « sincérité », mettant l’accent sur l’étude et la rectitude, Confucius qui représente pour les Chinois l’éducateur par excellence, sans pour autant s’ériger en maître à penser, l’inverse de l’infaillible, et qu’au contraire il voulait développer chez ses disciples l’esprit critique et la réflexion personnelle. Morale, rectitude, sens critique, du Cahuzac anti-tout craché. Un mythe étanchéité importé tant il est aussi vrai que la muraille franco-Maginot n’aurait pas beaucoup plus élevé le langage de bois de nos gouvernants, c’est bien connu de tous, qu’un fiasco pouvant toujours en cacher un autre dans un autre temps.
Les hauts et les bas d'un idiome populaire ...
Ce qui est de leur importance, c’est avant tout de protéger l’intendance, la solidarité gouvernementale n’est-elle pas la faille à Batho, la muraille infranchissable à maintenir l’unité du président architecte du changement en renoncement, municipalement, c'est très urgent d'éviter de se planter sur le mur des élections !