Mes pensée vont à sa maman, à Héloïse et Grégoire, ses enfants, prunelles des yeux d'un papa poule un peu cabossé par la vie qui ne lui fit jamais de cadeaux, "subalterne" (comme ils disent) qui traduisait si bien les paroles des "subalternes" (comme ils disent), homme de livres et totalement de livres comme il y en a peu, à l'humour décapant qui lui permit de si bien traduire, parmi d'autres, ces incroyables pinces sans rire de Noam Chomsky et Thomas Frank.
Repose en paix, Frédéric.
Signé : Bénichou
Bibliographie non-exhaustive de l'oeuvre de traduction littéraire de Frédéric Cotton pour lutter contre le nihilisme et la connerie ambiants
La farce était tellement drôle/Moi si j'y tenais mal mon rôle/C'était de n'y comprendre rien
(Et Dieu sait que depuis on a "mis les morts à table" !)



















