Si chacun a loué la gentillesse de Cabu, chacun pourra (re)voir qu’il fut surtout notre contemporain. Rageur dans ses dessins, il ne chercha jamais cette unanimité qui, hier et aujourd’hui, fait descendre dans la rue toutes les tendances politiquement compassionnelles.
Je présente ici quelques-uns de ses dessins qui ont accompagné mon Quotidien politique, dessins qui disent - plus que jamais - que la Vie l’emportera. Toujours.
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