Un CRS de Marseille, censé protéger les citoyens, a été pris la main dans le sac : violences conjugales, trafic de cocaïne, kétamine, cannabis. Arrêt maladie ? Non, carrière parallèle de voyou.
Tout est parti d’une dispute dans la rue avec sa compagne. Carte pro à la main, SMS compromettant sur l’écran : « J’ai besoin d’un gramme ». Fouille du téléphone, et là, avalanche de preuves. Le policier était devenu trafiquant.
Le verdict ? 18 mois de bracelet, dont 9 avec sursis. Cinq ans d’interdiction d’uniforme. Autrement dit, demain ou presque, ce criminel pourrait à nouveau incarner la loi.
Être policier, ce n’est pas un passe-droit pour dealer. Ce n’est pas une immunité pour cogner sa femme. C’est un métier noble qui exige exemplarité et droiture. Sans une police juste, il n’y a pas de démocratie.
Ce genre d’individu n’est pas un policier. C’est un traître, un criminel, un poison. Et il mérite la condamnation la plus sévère. Parce qu’un uniforme taché par le trafic et la violence domestique, c’est une balle tirée contre la République.
Policiers honnêtes, ce déchet vous fait honte. Citoyens, cette clémence vous insulte. L’État, ce laxisme vous discrédite.
Un CRS trafiquant n’est pas un gardien de la paix. C’est la trahison incarnée.

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