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LA DÉMOCRATIE MAQUILLÉE PAR LA DICTATURE
Toute personne censée est capable de réaliser que la comédie des primaires et des élections n’est qu’une farce qui sert à dissimuler la vérité de ceux qui contrôlent nos vies.
Tels les loups se déplaçant en meute, les hommes et les femmes politiques mènent une course acharnée aux avantages, ils ne cherchent pas à représenter le citoyen qui est toujours pour eux cette race inférieure à dominer.
Ces hyènes cherchent à se hisser au-dessus du peuple pour profiter de ce qu’il ne pourra jamais avoir, l’idée du pouvoir, avec cette possibilité infâme de donner des ordres pour le châtrer. Mais le peuple gronde sa colère face à tant d’incompétence, depuis trop longtemps dissimulée.
Les politiques sont-ils utiles ?
Absolument, comme la vermine nettoie une carcasse putride sur le bas côté d’un talus, les politiques sont utiles, certes, mais pour une caste invisible qui dirige le peuple sans jamais apparaître. Ils obéissent, laquais aux ordres, lèvent des taxes déguisées en impôts, les fourbes sont élevés justement pour cela, voter des lois, mais jamais pour le citoyen. Si l’on disait la vérité au démocrate :
- Sais-tu que ton représentant est celui d’un autre pouvoir et que c’est pour lui que les lois sont votées, pour nul autre, toi, tu es l’esclave utile qui trime comme un cheval de traie jusqu’à la mort à tirer le soc d’acier dans un sol dur et sec, pour que ta suée nourrisse ma fourberie, pour me faire une vie belle, pour nous faire Belleville.
Nous sommes proches de l’influence des dieux grecs sur les mortels. Tout est lié à l’activité mentale des hommes qui cherchent l’absolue soumission aux forces supérieures pour trouver les raisons à leurs agissements, nul besoin pour cela de mener dangereux périples jusqu’en terre sainte pour être adoubé du titre vénérable, porter robe de femme et longue barbe.
Saint salopard des assassins cruels dont la parole d’or sent le purin dès qu’elle franchit les marches d’un palais fétide, entouré d’un gazon de poils noirs sur une bouche qui a tout l’air d’un cerneau de noix d’anus ou de vulve du désert lubrique aux pensées salies de malfaisance.
Les soldats américains avant d’aller tuer des enfants font, genou à terre et tête basse, une prière, accompagnés d’un représentant divin qui se cure le nez à Ostie, et qui se rince le gosier au vin de messe ; un rabbin, un imam les accompagnent, comme si la prière avait le pouvoir d’absoudre les crimes et châtiments des soldats forçats ?
Point de grand pardon pour l’assassin quel qu’il soit, celui qui commande le meurtre assis sur son drone ou celui qui égorge sous l’hégire d’un dieu, ce qui attend les enfants de France.
Mon fusil, c’est ma plume, mes cartouches, mon encre, je ne tue personne, mais je blesse l’âme pour qu’ils sachent que nous ne sommes pas dupes.
Doit-on continuer à subir dans le silence, dans la faim, dans la soif, dans le froid, attendre le coup de grâce du pauvre taureau dans l’effroi ? Il tremble de peur, il n’a pas le choix, l’homme l’a fait prisonnier pour cet assassinat.
Les assassins de DAESH/ISIS agissent prétendument au nom de Dieu, tous les actes de barbarie humaine se justifient par une croyance, quelle qu’elle soit pour la gloire et la raison.
J’aimerais tant perdre mon regard et me contenter de la pureté du monde, mais c’est qu’ils la putréfient, ils la salissent avec tant de pensées diaboliques mêlées de leurs actes sans gloire et déraison.
Et ce qui sort de l’horreur, c’est l’identité masculine dominante qui prie systématiquement pour une ou des entités invisibles. Chacun reconnaît que la prière est juste parce qu’elle s’adresse à Dieu, mais chacun, en dehors des satanistes, s’offusque lorsque les mêmes hommes et femmes prient les démons et leur père, le Diable.
Dieu et Diable sont à égalité, car tous deux sont invisibles, alors qui décide ce qui est bon ou mauvais ? Qui décide de leur existence ?
Si l’animal devait décider qui est le diable, il désignerait l’homme !
Si je devais décider qui est le diable, je désignerais l’homme !
Et comment peuvent-ils prier Allah et bruler vivantes des jeunes filles, consumer des enfants au lance-flamme ? J’imagine à cet instant le désespoir des parents, la vie n’a plus de sens lorsque l’on voit s’enflammer son enfant pour devenir bitume noir et sec.
Il n’est écrit nulle part dans le Coran qu’il faille bruler les enfants, agir de cette façon criminelle prouve que ces êtres maléfiques ne sont pas musulmans.
Alors qui peut se justifier d’une telle abjection ? Des humains ? Certainement pas, mais les fils de Sheitan, c’est évident.
La figuration de l’invisible par le comportement humain relève d’une maladie psychiatrique, la même qui saisit les hommes de pouvoir qui en fait, n’en ont que pendant un temps, le pouvoir est comme une beauté éphémère, il se fane, et ni les élixirs ni les onguents n’y pourront rien changer.
Ce que le temps efface, l’homme ne peut le garder que dans la pierre, et l’homme politique, Pierre, Paul ou Jacques, disparait sans plus laisser de traces dans la mémoire des hommes, et surtout ceux-là.
Si l’on étudie le parcours de F. Hollande, celui-ci est très scolaire et insignifiant, il ne s’est distingué que par des petites choses, il ne se distinguera pas davantage par de grandes choses, il a été élu président à la place d’un satyre qui ne valait guère mieux, et il a endossé ce rôle dès le début de façon médiocre à qui mieux mieux.
Aujourd’hui, il commet l'insensé en publiant ses mémoires d’outre-tombe, couler son Zodiac comme un signe. La Hollande se retire par les racines pour laisser la place à une rombière qui se prend déjà pour Killary, car elle est comme lui, peu capable, mais le temps est venu des femmes présidents, puisque l’argument politique n’a plus sens, il faut l’argument partisan, le combat des sexes. Elle a déjà perdu une fois, elle perdra à nouveau, son autoritarisme contraste avec la mollesse de son ancien amant, dame patronnesse, les enfants de France n’ont pas besoin d’un nouveau tyran, cette famille a fait assez de mal à notre pays.
L’Amérique à eu son « nègre » président pour donner de l’espoir au monde et à toutes les communautés, il a profité de ce statut pour semer la mort et le chaos autour de lui et sur le monde, à présent, les USA vont élire par la magie de la multiplication des bulletins, une femme instable, pleine d’ambition, caractérielle, atteinte d’un cancer du cerveau pour déclarer la guerre atomique à l’Iran, à la Russie, à la Chine et nous serons contraints de suivre avec nos si mauvais gouvernants, nous n’aurons plus le choix, car ils ont pris le pas sur notre destinée.
Comme tous les médiocres, Hollande a fait des promesses, comme de vieilles démangeaisons de paresse, il s’est frotté les mains de l’aveuglement citoyen, aveuglé par les mensonges, sa prise de pouvoir dans les acclamations de sémaphores clignotants leur joie aveugle face à cette prise d’otages.
- Citoyen, regarde ton reflet dans le miroir et dis-moi si tu n’es pas un otage, prends conscience de ton emprisonnement mental, ouvres les yeux de la conscience fatale ?
Il serait plus malin de fuir, de quitter le continent, il a fait entrer tant de manants. Connaît-il seulement la nature de la France ? Lui qui prononce des mots qui sont dits par d’autres ?
Pour trancher avec ses prédécesseurs, il se fait tirer le portrait en pied par Raymond Depardon qui livre dans ce cliché, l’œuvre de son pardon. C’est certainement l’un des plus mauvais portraits de sa carrière, sans conviction ni passion, l’âme pauvre en éviction.
Il marque de sa patte la vérité tout entière, celle d’un homme dont l’indécision première a offert notre nation à des truands sans condition. Mais pour être aussi mauvais, il faut avoir appris ou est-ce inné chez lui ? Non, il n’est que le serviteur de démons plus forts que lui.
Quand je regarde la France, je pleure à chaudes larmes sur le nombre de personnes capables, mises avec une absolue rigueur au chômage par des incompétents, pour préserver leur petit confort militant de la pyramide du nivellement.
Il paraît impossible qu’un si mauvais président soit en place par le fruit du hasard, tout fruit pourri qu’il soit, il était posé là sur la branche par une pensée divinement mal et figue.
Prenons un autre exemple, Claude Guéant, l’âme noire de N. Sarkozy, concentrait un puissant pouvoir du temps de son maître, mais après sa chute, il se trouvait face aux juges, B. Cazeneuve se retrouvera dans la même situation dans quelques mois, ainsi que M. Valls et que dire de ce président ? Tous coupables d’avoir abandonné la France et ce peuple si riche de culture.
Doit-on polémiquer plus longtemps sur les mauvaises actions des mauvais enfants, les traitrises, les lâchetés d’un tel gouvernement, qui a retiré au peuple sa voix tout simplement.
Le PS nous a montré à quel point son domaine de compétence était proche du désastre cadavérique, pourquoi ?
Parce que ses dirigeants sont mauvais naturellement, comme les fumées du ciel qui sortent du cul des avions ?
Ils pourraient être « smartdust », mais smart est de trop, ils ne sont que poussière insignifiante dans cette humanité, de passage seulement, mais comme les limaces, la trace est difficile à effacer dessus les marches, j’ai beau frotter, elle a pénétré le mica, c’est un acide de mauvaises volontés.
Pourtant, le peuple s’éveille et prend conscience qu’il doit sortir de ce bagne social dans lequel ils l’ont enfermé par la fièvre et le cancer.
Ce cancer qu’ils offrent généreusement à nos enfants, à nos parents, en les vaccinant pour le compte d’autres malfaisances.
Et lui, ce peuple forçat de chair, réalise enfin qu’il a du pouvoir, celui du symptôme de l’expression sociale et publique dans une démocratie qui l’est de moins en moins à cause des manigances du Parti socialiste, opportuniste comme personne, faux diplômés arrogants, usurpateurs patentés, ses principaux éléments font honte à la France d’antan.
Voilà ce qui arrive lorsque l’on donne le pouvoir à n’importe qui.
Le Parti socialiste s’est rué dans la course aux attentats, entrainant l’édiction des lois les plus antidémocratiques jamais votées, et qui à présent veulent jeter nos enfants dans une guerre organisée par d’autres mécréants, les mêmes opérateurs malfaisants, en envoyant nos enfants à la guerre, la place est libre pour les entrants.
Les attentats de Paris étaient-ils un prétexte pour voter ces lois contrariantes pour le peuple, mais aux conséquences effroyables et futures pour celui-ci ?
C’est le nouveau baptême, celui de la revanche de ces peuples trop longtemps soumis par la blanchitude, la suite de la conduite d’un plan élaboré par de mauvais génies.
À présent, les jours vont être lourds comme des cierges funéraires, cela semble de plus en plus évident et la société que nous avons connue n’existe plus, plus de sommeil d’opulence, plus d’octroie de subvention ou d’aide sociale, l’État protecteur pousse inévitablement ses enfants vers la précarité, le salaire à 5 euros de l’heure est une éventualité positive pour les futurs présidentiables qui n’ont jamais travaillé de leur vie et qui sont entretenus comme des porcs, grassement, à se bâfrer gratos aux frais des pauvres, la princesse s’est fait violer par une bande de déséquilibrés sur une place en Allemagne ou en France, un soir de Nouvel An, qui peut savoir ?
Cela continue avec une politique de culpabilisation, pour pousser les citoyens à voter pour de l’ordure imposée, même pas débarrassée par les services d’hygiène mentale, ces élections sont une nouvelle farce du pouvoir qui veut ensevelir des morts pour justifier une reprise de l’économie, faite par les assassins qui créer les guerres en se frottant les mains, celles de leurs maîtres :
- Citoyen, tu as la démocratie, alors vote tes représentants, enfin, ceux que nous t’imposons pour notre bien et notre confort ; le tien, tout le monde s’en fout, nous devons te donner l’impression que tu as du pouvoir, celui de choisir celui que l’on a choisi pour nous, mais pour nous seulement.
Voilà ce qu’est devenue la raie pudique dans le monde civilisé, une dictature maquillée en démo-croatie pour les corbeaux noir des gouvernements.
Nous vivons une époque formi…diable !