E finita la fiesta. Se empeza la siesta.
Quelque chose de la nuit m'effondre.
ou alors : quelque chose de la nuit s'est effondré. Non : la nuit.
la nuit s'est effondré(e)
(quelque part par là )
Une.
Une saison de fer froid, un bal vide. (Et pourtant la couleur)
Mais non ce n'est pas ça.
C'est : un être qui grandit, à côté.
(Une âme qui cherche le sens de ce mot)
Ici lettres , elle est plongée
dans Aube
Et puis
des rêves de soleil (une banalité atroce : Coriolan et Egmont)
dans l'isolement (les histoires d'île, encore, et d'océan, la mére - ce monstre du rouleau et du vague "Notez, notez".
sur l'autre page
Sur l'autre page
(Qu'est-ce qu'il aurait vu (Coriolan-Beethoven), aprés ou avant sa plage obscure?)
-cette italie gangrenante une Europe affaiblie -un frigo, un écran plat, une auto et le régne du vulgaire...
"Il popolo" ce peuple ici aussi?
Loin des lucioles ici un maraiscage Des containers d'aciers pleins de colis
("encore quelques camions à charger?"
Tu sais le mur.)
"Rotant dans sa mangeoire", dit une autre voix.
La mangeoire des uns est vide, camarade libertaire fiancé de la soeur camarde!
(La poubelle du Préfet à l'ordre, dirent "The animals" ("I'm crying")
("Qui est vide?" dit la petite voix maligne.
Palazzi des élysées le mariage
(tràs "mountain"?)
Des Pouilles à Rotterdam Breton à Petersbourg ou Petersborough. (Ein burgmeister?)
"Ich liebe dich, ich kille dich."
Non. Ô
Ici l'irrépressible possible du requiem de Wolfgang Amadeus
"Non!" On tourne autour de ce qui régne, ce n'est pas un reich. Tu voulais le peuple, tu as la foule et la masse"
Ô mois froid de repli.
"Que vienne cette expansion chaleureuse expansion vienne vienne épanchement : "C'est grandiloquent un enfant qui pleure?"
C'est grandiloquent un enfant qui pleure?
C'EST GRANDILOQUENT UN ENFANT QUI PLEURE ?