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Billet de blog 12 février 2010

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D'une male branche l'autre, un embranchement. Maupertuis, encore, la nuit, Nouaillé, l'abbaye et le champ

de bataille

("Pére, gardez-vous à gauche! Pére, gardez-vous à droite!")

L'obscurité de la nuit de la Saint-Felix à la Saint-Valentin, un dimanche

et un train.

(Une journée en train de me souvenir d'une semaine en train

de Pékin à Wien, Moscow, Bratislava, Pragen wagen, le sabir d'un ghetto

(cette Italie "juive", comme si, la, do...)

"Elle revenait de Pékin / à quoi rêvait-elle dans son délire fiévreux, dans le Transsibérien (samovars soviétiques, samovars russes)

elle a rêvé le Baïkal pendant trois jours (et trois nuits)

Pékin : des traces de son enfance mêlée de l'enfance de son pére fouetté

("Notez, notez") : du nazisme au maoïsme, de Wien à Pékin. Une route nationale.

A quoi rêvait-elle (vient toujours "se revêtait-elle de quel rêve?") que revivait-elle

le long du Baïkal (ce lieu qui ne nous fut pas commun : la noyade de mon rêve) loin du Balaton (je n'ai pas connu la source

du paprika)

vers l'Ouest, vers l'Ouest, toujours, vers l'ouest

comme chaque un

les finis terrae

(je n'y comprend rien) de ce marais

cage ou sage pseudonyme Piotr mais pas plus jamais Veliki. (à Vadim Kossovoï, rencontré un jour -ou peut-être une nuit- dans le Marais

à Paris. (Aprés le "Léchevin", à la Bastille, on aime bien Nini-peau-d' chien.)

"A toi" ("les rendez-vous mystérieux sous la voilette..." (L.F.)

"les yeux des tout-petits riboulant de tendresse..."

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