Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
On mesure mal les effets d’un usage systématiquement dévoyé de la parole, surtout lorsqu'elle est proférée à partir d'une place surdéterminée symboliquement. Le quinquennat qui vient de s’achever témoigne du moins des vacillements du rapport au réel qui en résultent.
Il s’agit maintenant de prévenir le retour, sinon inéluctable, de tels dévoiements, ethnocidaires en leurs effets. Un traitement pertinent s’avère donc indispensable. L’effacement ou le déni, au nom de « la réconciliation des Français », n’est donc pas acceptable, mais un abord juridique, le seul que l’Etat connaisse, n’est nullement suffisant. L’art, en ses divers domaines, est sans doute la réponse à venir la plus pertinente pour reconstruire le tissu social et éthique détruit par ce que les Anciens nommaient « Pestilence ». Constat qui supposerait de conférer à l'art une toute autre place dans notre société.
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