pierre guerrini

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Billet de blog 8 septembre 2011

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A Mr Montebourg - les spirales de la régression -

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Spirale absolument dépressive et résolument répressive, agressive, guerres multiples ou plutôt présences militaires meurtrières, la Libyenne, vendue sous le label humanitaire, votées par tous à gauche, excepté une petite dizaine, décidée en son temps, par " l' Empire ", selon le lexique du très socialiste Hugo Chavez, menée par principalement la France dont vous briguez le mandat à la magistrature suprême, et qui craignait, entre autre aussi pour ses approvisionnements énergétiques, les décisions de l'ancien directeur du FMI, de mettre en place une nouvelle monnaie d'échange internationaux qui risquait de flouer les caisses du trésor américain de ses prébendes, celles du Raïs Libyen de présenter à la conférence - qui n'aura donc pas lieu - de Tripoli, où étaient conviés le Vénézuélien et nombres de chefs d'Etats africains, en vue de réorganiser la logistique financière de la vente de pétrole aux occidentaux...

Spirale dépressive et régressive, agressive tant à l'intérieur qu'à l'extérieur... Santé mentale, Prisons à tout va, maillage législatif et judiciare de tous les aspects de la vie, décennies de lois liberticides, Carte d'identité biométrique pour tous à partir de 15 ans, votée par 16 personnes présentes à l'Assemblée et passée - à l'identique du " oui à la guerre " - inaperçue, pas décriée du tout, à laquelle loi, nul ne s'est opposé, ou suffisamment opposé pour s'en faire un " marqueur "...

Aucun " Marqueur " de la représentation nationale de l'opposition à l'esprit des Français. Un vide, plein de mécontentement certes ...Mais cela suffit-il ? ...

Cette colére, cet emportement qui s'exprime, et souvent remarquablement :

http://blogs.mediapart.fr/blog/liliane-baie/070911/il-est-pour-qui-lor-de-la-regle-dor

Cette colère, donc, requiert l'attention, une attention fine, qui ne s'accorde qu'en sachant confronter l' éventail déployé dans son envergure la plus large, et la plus précise possible, c'est-à-dire non plus globalement, mais là, à la marge, la marge généralisée, " la marge qui dévoré toute la page ", là, où s'expriment toutes les coercitions et assujettissements qui sont les faits quotidiennement supportés et les causes du malaise, mal-être et de l' endurcissement, confronter l 'éventail donc des réalités des problèmes et questionnements à leurs échos et similitudes sous d'autres latitudes, en d'autres contrées, dans d'autres pays, et aux moyens et à l'esprit des moyens mis en place pour tenter, sinon d' y répondre, au moins vouloir et témoigner de la volonté, affichée, réelle, humaine, aimante, " amoureuse " - pour encore citer le président Chavez, qui, s'il n'a lu " La princesse de Clèves ", cite abondement Hugo-Victor, Nietsche, et, à tout de bras, et étonnement les écrivains français - la volonté affichée d'en atténuer la virulence des maux. D'en brandir, haut et fort, à bout de pique d'insurgé, la radicale volonté et têtue. D'en faire un Marqueur.

Les maux des assujettis sont répertoriés. Des sommes existent. Il n'est pas trop tard pour s'y mettre, s'y plonger, s'y immerger et s'en laisser imprégner, s'y sensibiliser en profondeur, " amoureusement ", et laisser par le travail d'attention, de perception, et de compréhension personnelle et intime, et laisser par le travail accompli, laisser poindre des esquisses de solutions qui ne manqueraient pas d'apparaitre à qui, en son for intérieur, a la conviction intime, ou, que la conviction intime lui sussure et lui suggère, alors, d'être, peut - être bien, l'homme que la situation exige.

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