Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ?
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Le Nej, Nej, Nej och Nnej ! ... de la Suède qui dit Non à l'obligation.
Tandis que la Suède, contrée éloignée et perdue du nord d'une Europe probablement septentrionale aux confins des cercles polaires, monde d'aurores boréales peuple d'incultes sans racines réellement démocratiques à la solde d'un roi ou d'une reine, et peu regardant, dans leur ensemble quant à la santé et même la vie de leurs enfants et de leurs concitoyens, le royaume de Suède interdit, tout bonnement et en toute absurdité et dans la plus grande surdité à tous les arguments pro-méga-vaccins de quelque mandarin qui soit, interdit l'obligation de vacciner, en France, « Un texte de loi va être présenté à la fin de l’année pour rendre obligatoires onze vaccins pour les enfants de moins de deux ans. »
Aujourd’hui, seuls trois vaccins sont obligatoires : diphtérie, tétanos et poliomyélite (D.T.P).
Huit autres sont seulement recommandés :
Ils s'agit des vaccins contre la coqueluche, le virus de l’hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque C (bactérie provoquant les méningites) et les virus de la rougeole, des oreillons et de la rubéole.
Les nouvelles dispositions devraient entrer en vigueur début 2018.
Autrement dit obligation, assorties de peines et menaces, les médias Suppôts-de-Satan habituels et spécialisés dans l'à-tout-crin de l’inconditionnel aux tous-puissants, énumèrent et présentent déjà à la plèbe, collée devant ses écrans et autres relais médiatiques, les peines, pour l'instant - à la différence de certains états ou localités des États-Unis où le contrevenant inquiet pour la santé à venir de ses tout petits et toutes petites, va direct en prison, en passant, parfois, s'il persiste lourdement, par la case " déchu des droits parentaux " - pour l'instant donc des amendes encourues, amendes au menu et au programme, et, de pourquoi pas, à l'avenir, tout un assortiment de mesures de coercitions qu'ont peut aisément imaginer jusqu'à peut-être le fichage S ou grand S, pour les récalcitrants à l'oukase médical officiel, présenté par le Premier Ministre himself, déchu lui, pour l'occasion, de sa fonction de Chef de Gouvernement à celle de porte-parole super-officiel de quelque Cloud indécelable, recel d'identités et d’intérêts multiples, variées et indécelables, tout aussi vaporeuses et que sont évanescents les capitaux hyper-énormissimes que va générer cette décision d'étendre et déployer tout grand grand cette pêche aux tous petits, nonobstant l'avis de leurs parents, nonobstant l'avis de toute la population, pas consultée parce que pas consultable parce que ignare en la matière, du pays et, ce, pas deux mois après l'accession du nouveau pouvoir au trône et manettes super-dorées et hyper-joliment-fleurs-delysées.
Ces mesures nouvelles, usine tentaculaire à fric tout frais, c'est la privatisation de la population française en bas-age, avec prise en otage et mise sous séquestre des familles, vont générer tellement des profits monstrueux que l'injonction faite à tous d'inoculer et d'injecter cette injection amicale de ces 11 vaccins, - pourquoi s'arrêter à ce chiffre ... passons à 12,13 monnaie, monnaie ... - relève de l’impôt nouveau, par tranche, tranche d'age et de mois, " vous venez pour la piqure du petit ", c'est la gabelle, la gabelle nouvelle, draconienne, l'imposition sur le sel de la nation, d'une violence inouïe, mais que les spécialistes de la com. qui planchent déjà dessus anticipent, en affutant leurs réponses alambiquées jusqu'à l'hirsute, au vent de la fronde qui ne manquera pas ... et se lève déjà et tout azimut " « Nous n’avons pas assez expliqué le bien-fondé de la vaccination », explique Agnès Buzyn, la ministre, cheville-ouvrière-première en pôle position, du Cloud.
Pour cela, elle dit « compter sur les médecins et sur la presse pour faire de la pédagogie ».
Pédagogie, ou dans sa nouvelle acception très tendance du terme, de pression psychologique constante et propagande méga-médiathique. Ou les mégalithes d'un ordre nouveau en marche forcée vers la grande carcéralisation douce de la société française. Carcéralisation toute soft avec complicité passive de la victime consentante à son corps défendant. Déstructuralisation d'une société ancienne et rendue désuète, et restructuration à coups de hache et de marteau.
Versus lexique médical, c'est l'annonce faite au peuple sur les autoroutes de la dépersonnalisation à l’œuvre de l'obligation d'emprunter la prochaine sortie, le Deuil Blanc.
Le deuil blanc, charmant petit havre, à quelques kilométrés de là, charmant petit havre de sérénité, tranquillité et paix. Le deuil blanc qui diffère du deuil, appelons le noir, le deuil noir - c'était surement la sortie d’après, mais elle est pas encore officiellement ouverte, et obligatoire - qui suit le décès, en ce sens, que le corps est bien là, mais qu'il n'y a plus personne dedans. On le touche, mais on touche rien. C'est sortie obligée et déviation par le deuil-blanc du tissu humain hexagonal.
C'est la Frank-Hubertisation de la population française, de son tissu, son alzheimerisation en process. Et comme image-éponyme de ces temps nouveaux, en terrific étendard, ce belphégor hilare dans son fauteuil roulant en train de jouer au tennis.
« Nous n’avons pas assez expliqué le bien-fondé de la vaccination » explique la cheville-ouvrière-première en pôle position. Pour cela, pour ce faire, elle dit « compter sur les médecins et sur la presse pour faire de la pédagogie ».
L'on a tous vu et pu et su apprécier à sa juste puissance d'intimidation tellurique, la pédagogie faite auprès du corps de l'électorat français lors de toutes les semaines qui ont précédé les dernières élections qui vont vu la victoire sans conteste des mégalithes, terribles et effrayants - à qui sait y regarder de prés et se risquer à y laisser la vision, la victoire des mégalithes guerriers, envoyés, troupes d'élites et commandos aux avants-postes du Cloud. Du grand œuvre, du grand art.
Pas sûr et certain que les praticiens dans leur ensemble, qui, à l'orée de leur pratique, et, dans la fierté de l'euphorie légitime du moment, ont prêté le serment d’Hippocrate, l'entendent de cette oreille.
Et se fassent les zélés complices-praticiens-parjures et s'accoquinent d'emblée à l'obligation et l'injonction d'administrer, sans sourciller, cette amicale injection de ces 11 vaccins. A l'inoculer.
Ce texte devrait être intégré dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS), qui sera présenté et discuté par le Parlement cet automne.
En pratique, et très concrètement, l’extension à onze vaccins obligatoires « représente 10 injections pour les enfants, étalées sur 2 ans ».
Au moins 70 % des enfants recevraient déjà ces 10 injections et 80 % d’entre eux au moins 8 injections.
Et la toile, telle des essaims qui se regroupent en des myriades de points noirs de la colère populaire, de bruisser, les associations de se mobiliser et la résistance de s'organiser. Ce Notre dame des landes " médical menace la santé publique et cette menace émane de ceux là même qui ont pour mission de la protéger.
Il est important d’indiquer que si certains effets se manifestent assez tôt, permettant de déduire une relation de cause à effet évidente, les effets délétères se produisent souvent à distance de la dernière injection si bien que l’on ne pensera pas à incriminer les vaccinations.
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La Suède qui n'est pas le pays fleuron phare-scientifique de l'occident dont les travaux des savants sont publiés dans les prestigieuses revues spécialisées dont le gotha nobélisable de la recherche mondiale est à ce point friand qu'elles induisent souvent la direction de travaux et infléchissent des types de recherches en cours, la Suéde, qui n'est pas ce pays-là que l'on sait, en a interdit l'obligation.
Et ce à deux titres. Tout deux, on ne peut plus légitimes, dont l'un, combien honorable quant aux fonctionnement de la démocratie suédoise.
La Suède a rejeté les vaccinations obligatoires, après avoir évoqué « de graves problèmes de santé », ainsi que le fait que l’obligation violerait les droits constitutionnels des citoyens de choisir ce qui peut ou non convenir à leur propre santé.
" Cette décision démontre donc que les résultats scientifiques et les réactions biologiques du corps humain ne sont pas les mêmes en France qu’en Suède ! "
Notamment en fonction de ... « graves problèmes de santé » et le fait que pareilles lois violeraient les droits constitutionnels des citoyens qui doivent avoir leur mot à dire dans leurs soins de santé (Extraits)
Le 10 mai 2017, le Parlement Suédois a rejeté sept motions qui auraient inclus des vaccinations obligatoires dans la loi.
Le Parlement a fait savoir « Si nous introduisions des vaccinations obligatoires ou forcées, cela violerait notre [Constitution Suédoise] »
Notant également « la résistance massive à toute forme de coercition en matière de vaccination », le Parlement a aussi fait référence aux « réactions indésirables graves et fréquentes » chez les enfants qui reçoivent les vaccinations.
« Le NHF Suède a fait parvenir une lettre au Comité en expliquant que l’introduction de vaccinations obligatoires ou forcées telles qu’elles ont été soumises dans la requête d’Arkelsten violerait la Constitution.
De nombreuses autres personnes ont fait parvenir une correspondance au Parlement et interpellé les politiciens et le Parlement. Les politiciens n’ont pu faire que remarquer qu’il existait une résistance massive à toutes les formes de coercition en matière de vaccination.
« Le NHF Sweden - National Health Federation, organisation indépendante à but non lucratif - a également fait ressortir à quel point les réactions indésirables peuvent être fréquentes au cours d’une année de vaccination. […] En outre, il convient de tenir compte que chaque groupe d’âge recevra deux fois le vaccin ROR, de sorte que les effets secondaires seront multipliés par deux. Il convient aussi de ne pas oublier, qu’en outre des réactions indésirables similaires s’appliquent à d’autres vaccins.
« Dans la lettre, nous avons même inclus une liste exhaustive d’additifs trouvés dans les vaccins - substances qui ne sont pas des aliments pour la bonne santé et ne doivent certainement pas se retrouver dans le corps des bébés ou des enfants. Nous avons également inclus pour les législateurs une très importante liste d’études qui démontrent que la vaccination est une mauvaise idée.
On pourra trouver le rapport complet ici.
La décision judicieuse du Parlement Suédois fait fi, et va à l’encontre de ce qui se passe aux États-Unis comme dans les autres pays occidentaux.
Big Pharma tient les législateurs sous sa coupe ; elle leur dicte sa politique en utilisant les médias corrompus pour calmer les dissidents.
Robert F. Kennedy Jr. s’est récemment manifesté dans le Show Tucker Carlson où il a courageusement exposé « l’état de cette mafia sans loi » que représente Big Pharma et leur « très lucrative » escroquerie vaccinale.
« L’industrie pharmaceutique est si puissante, a expliqué RFK Jr. Elle donne 5,4 milliards de dollars par an aux médias. Elle s’est débarrassée des avocats… Elle a été réellement capable de contrôler le débat et de réduire des gens comme moi au silence. »
Quand on lui a demandé comment il était possible que la situation soit à ce point si mauvaise, Robert F. Kennedy Jr. a expliqué : « que le Congrès accordait à Big Pharma une immunité légale globale » lorsqu’il s’agit des vaccins.
Big Pharma est devenue la loi après que le président Reagan ait signé la loi sur les dommages liés aux vaccins infantiles.
Ces gens peuvent ainsi mettre des ingrédients toxiques dans les vaccins. Ces éléments peuvent gravement endommager la santé de vos enfants- mais il est impossible de les poursuivre en justice.
« Ce que vous devez comprendre, c’est que le régime des vaccins a considérablement changé depuis 1989. La raison pour laquelle il a changé, c’est que le Congrès sous l’influence de l’industrie pharmaceutique, a fait ce qui n’a jamais été réalisé pour aucune autre industrie – le Congrès a accordé une immunité légale générale pour tous les fabricants de vaccins.
« Donc peu importe les protocoles, peu importe l’absence de contrôle de la qualité, peu importe la toxicité des ingrédients ou les dommages graves qui peuvent être causés aux enfants, il vous est impossible d’entamer des poursuites à leur encontre.
« Il n’y a donc pas de témoignage, pas de découverte, pas de recours collectifs et… tout à coup les vaccins deviennent éminemment rentables. »
Les énormes profits de cette industrie non réglementée ont fait en sorte que les compagnies Big Pharma se sont engagées à produire de nouveaux vaccins parfois inutiles qui sont injectés dans le corps des jeunes enfants – souvent plus de dix à la fois.
« C’est devenu une véritable ruée vers l’or pour l’industrie pharmaceutique d’ajouter de nouveaux vaccins au schéma de vaccinations. »
Mais à quel prix ? L’industrie du vaccin, en vertu de ses propres règles – ou plutôt en vertu de l’absence de règles – nous rend impossible l’accès aux faits. Depuis longtemps, le Président Trump demande une enquête indépendante sur la sécurité des vaccins.
Robert F Kennedy Jr. a fait la même demande.
[…] « J’ai reçu trois vaccins et j’étais donc tout à fait en ordre. J’ai maintenant 63 ans. Pour pouvoir être en ordre mes enfants ont dû recevoir 69 doses de 16 vaccins.
Nombre de ces vaccins ne concernent même pas les maladies transmissibles. Prenons l’exemple de l’hépatite B qui s’attrape par des rapports sexuels non protégés ou chez des personnes qui partagent des aiguilles. – Pourquoi donc administrons-nous ce vaccin à un enfant le premier jour de sa vie ? Et, en outre, il contient du mercure ! »
Tucker demande : « Nous administrons vraiment ce vaccin à des enfants ? »
- « Nous continuons à leur administrer ce vaccin. Le mercure a été retiré de trois vaccins, mais il reste présent dans le vaccin contre la grippe et on en trouve encore dans plusieurs vaccins distribués dans le monde. Il faut savoir qu’il s’agit de la plus puissante neurotoxine non radioactive connue.
- « Comment est-il possible que nous injections pareil produit à des enfants ?
Robert F. Kennedy Jr. a essayé de mettre cette situation scandaleuse dans un contexte :
« Si vous prenez un flacon de ce vaccin et qu’il vous arrive de le briser, vous devez vous en débarrasser selon les règles légales qui sont d’application pour les produits dangereux. Vous devez, en outre évacuer le bâtiment où l’accident s’est produit. Pourquoi auriez-vous l’audace d’injecter ce produit dans le corps d’un enfant ? »