Incidents minimes et continuels, presque toujours dans leur grande majorité, tus, jamais, ou si rarement, ébruités. Voilà bien une autre grande muette! Hausse soudaine, et sans raison, ici et là de la radioactivité dans l'air, sur une courte période. Dans le vaucluse par exemple.
Les incidents se produisent régulièrement dans les centrales nucléaires frnaçaises. Ils sont bien entendu mineurs. Pas forcement tant que ça. Et pas forcement non plus si mineur que ça pour les intéressés, les ou la victime, même semi-consentante. Lire le presque récent " La centrale " d'Elisabeth Filhol - Prix France Culture - Télérama, P.O.L. éditeur, 2010. " derrière les grilles et lenceinte en béton du batiment réacteur, la point P est à atteindre, rednu inacessible pour des raisons de sécurité. "...
Menus incidents...Nogent, à deux pas, à moins d'une ligne de RER, d'une des zones les plus peuplées de l' Europe de l'Ouest. Mais les distances sont-elles encore de quelque réalité quand le danger est à ce point planétaire, c'est à dire universel. Absolument universel.
Quelle est la réalité du degré de préparation quant à la prévention et la protection contre le risque d'une pollution radioactive soudaine, ne serait ce que, et c'est bien le moindre qu'on pût, en pareil cas, exiger, dans tout le réseau des écoles, collèges et lycées de toute la région parisienne, et du reste du pays?
Hormis les établissements sensibilisés aux risques inhérents au transport des matières dangereuses, et autres établissemnts "mal placés" et de fait quelque peu "avertis" , qu'en est-il de la protection prévue et de son efficacité devant ce type de catastrophe.
Quelles sont les proédures mises en places, bien peu en vérité, et leur efficacité devant un danger réel et absolument tangible. Bien nulle!
Quels équipements, moyens de protections, prévus! ...sur le très court terme et à long terme!
Sur l'air du " Après tout, remettons les dans les bateaux ! ", osons la réponse des ( ir..) responsables : " ça ne se produira pas chez nous " !
Il est craindre qu'en guise de palliatif à l'urgence absolue, ce soit, in fine, la seule et unique procédure réellement envisagée.
Qu'en est-il de l'opportunité et de l'intelligence d'une politique d'indépendance énergétique qui, ce faisant, crée un danger potentiel et pour ses voisins et, comble d'une volonté avérée et clamée haut et fort du risque zéro, sa propre population ! Quelle politique énergétique nationale peut longtemps perdurer quand les risques inhérents sont mainteant et désormais universels !
Incidents minimes, mineurs à répétition, dans l'ensemble des centrales nucléaires du territoire, - heureux voisins si mal lotis - tant qu'il ne s'agit pas du Big One ! qui, lui, on le sait maintenant, est Japonais! ou au pire, asiatique !
Mais qu'en sera-t-il du Big Two !! ..