D'où ça sort tout ça ... ça pointe le bout du nez,

D'où ça sort tout ça ... ça pointe le bout du nez, ça ose, c'était là, ça sort, le lézard lézarde et la vieille taupe s'agace, que se passe-t-il...! ...les anguilles louvoient et la royauté se souvient ...Dans les veines, le sang bleu clapote encore, et la vieille haine rance commence à sentir ... " elle sent "... A moins d'aimer ça, c'est à dire de ne plus s'aimer, et, par un jeu assez pervers d'une nostalgie qui n'a jamais vu le jour, mémoire morte de ce qui n'a jamais été, n'est jamais advenu, se prend à rêver de la nuit glauque et putride, et de se perdre dans ce plaisir-là, aventure au jardin des délices des laideurs, en esthète de la totale déréliction, de la putréfaction à venir, puisqu'inéluctable, sur l'air du " nous-sommes-tous-mortels ", pas de quartier, et de noblesse non-plus, surtout pas, plus d'aurore puisque polluée, no future autre que la fange marron à la séduction éculée, Prenons garde !, que ça ne vienne, et, que ce ne soit là, et, que ça ne vienne pas que d'ici, mais de là aussi, de partout ailleurs, d'ailleurs, c'est comme un grand champignon pestilentiel au pourtour ourlé de sang , sanglé de cuir, de vie meurtrie, énuclée, de synapses nécrosés, retirés, jetés aux chiens, et que ça ne veuille plus partir, parce qu'il en faut, pour se la sortir du cervelet et du reflexe premier, et inverser le mouvement jusqu'à ne pas s'y reconnaitre, et lever les yeux, et le coeur, et dire à ça : " Il suffit " .