De très belles images de l' impuissance des moyens pitoyables et pathétiques mis en place par les responsables nippons de la troisième puissance économique de la planéte, au détriment de leur peuple, de leur terre, de leur culture au génie multiséculaire, et de l'avenir de leurs enfants, dont , rappellons-le, certains, nombreux, multiples sont ceux qui, jouant sans protection aucune, à quelques encablures qui peuvent se néanmoins mesurer en centaines de kilomètres, de cette centrale détruite comme aprés un bombardement, vivant ainsi que tous autour d'eux, parents, familles, amis, sans l'arsenal très organisé, complet et complexe des nombreuses précautions absolument nécessaires qu'exigent sans la moindre possibilité de transiger aucunement, les conditions nouvelles et catastrophiques, au sens mathématique du terme, de cette vie, qui est, en fait, et, n'est plus, désormais, qu' une survie, une terrifiante survie, encore momentanément localisée à l'archipel nippon, et, qui ne saurait tarder à s'étendre, si les moyens mis en oeuvre restent incroyablement aussi pitoyables, et, démentiellement restreints autant qu' absolument inefficaces, que s'immiscent le doute et l'inquiétude, quant à la prise de conscience globale, totale et réelle, qu'on craint par trop tardive, par la communauté internationale et de ce qu'elle est en droit d'exiger sur le champ des autorités nippones, un sarcophage ou tout autre type de vitrification définitive de cet espace propagateur de mort, certains, nombreux, multiples, innombrables sont ceux qui, déjà condamnés, cohorte de fantômes en pantalons-courts, encore gais et joueurs, mais, dorénavant, en sursis, développeront, et dans quel futur, tout l'éventail absolument épouvantable, des atteintes mortelles de ce mal innommable et silencieusement perfide, insensible et terriblement insidieux.
A ce silence de la mort qui rode et qui gagne répondra bien vite le silence des larmes amères de l'inexorable.