Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Il en va de la chose politique comme de la chose sexuelle et les goûts des uns qui sont des dégoûts pour les autres se nichent dans tous les plis et replis possibles de l'éventail tout grand déplié de l'ordre déployé des arrangements multiples aux inouïes imbrications, d'avouables à inavouables, à moins d'en être l'un des thuriféraires prosélytes et adeptes d'extatiques expériences qui convolent en hiérogamiques noces, un brin sordides où le must du sublime, façon chef-étoilé, réside, comme dans le savoir apprécier goûter ce met rare d'entre les rares et les plus rares, suave nappage terreux et gris de fiente non encore advenue d'oiseau de petite taille et dont on se régale du contenu savamment préparé des viscères, réside et sied dans la mélasse qui mêla les amants en de grâcieux effets de bodypaint sur le soyeux froissé souillé des beaux draps, et garde longtemps, façon Basquiat, jusque dans sa trame, trace de ce qui prend au fil du temps, infâme peinture, mi-textile, mi-poterie maronasse, résidu sculptural issu de la torsion des corps emmêlés sous l’œil aux éclats d'edelweiss, comme à tâtons exorbités du Titan impuissant spectateur de l'éhontée et goulue Walkyrie féérique à laquelle il livre complaisamment sa compagne qui trop s'y prête à tel point que tous s'en repaissent.
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