Une référence
Quelle belle description paisible, et réflexion intime profonde de sens. «Etre en deçà», dans le respect, dans le silence intérieur, pour entrer en partage avec les éléments qui nous entourent: les êtres vivants (les plantes, les animaux, les personnes), et notre propre conscience.
Elle est loin en années-lumières cette époque (non en années calendaires, <50 ans), tandis que tout est chronométré pour œuvrer toujours plus vite pour «gagner plus», et générer cette incroyable situation économique qui nous est présentée aujourd'hui. mais à contrario, ou certaines choses assez simples, durent des mois, voire des années, à être solutionnées.
Non seulement la vitesse de production industrielles peut dépasser les besoins, mais l'absurdité de raisonnement conduit à un aveuglement quant aux décisions à prendre en temps opportun, sans qu'une once de raison puisse arrêter le cycle, et une communication inconséquente, impertinente, continue à jeter de l'huile sur l'incendie.
C'est ce décalage entre la puissance des moyens mis en œuvre, et la culture, la philosophie des puissances décisionnaires, qui est à l'origine de cette situation. Un peu comme un cycliste qui irait de plus en plus vite (à l'occasion d'une descente sur une route sinueuse de montagne) et dont la charge s'alourdirait proportionnellement à la distance parcourue. Après un certain temps, la maitrise de la direction devient de plus en plus difficile jusqu'à la chute.
Puissions nous un jour revenir, non à la préhistoire, mais à la sagesse qui prévalait aux rapports de l'homme et du cheval, pour une maîtrise réelle des merveilleux moyens que le travail des Hommes à générés.
Billet de blog 2 mars 2009
Comment le cheval est devenu mon ami: UNE REFERENCE
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