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En dehors de ses talents artistiques (chanteuse et comédienne) que personne ne lui conteste, Camélia Jordana n'est pas "fréquentable" socialement. Ses prises de position sont absolument indignes d'une citoyenne responsable. En évidence, elle le droit absolu d'avoir ses convictions, de les publier même et de procéder à une analyse d'une société où existent trop souvent peut-être des comportements xénophobes que l'on doit dénoncer obligatoirement dans un pays démocratique. Mais Madame Jordan est une pure raciste, sauf, contrairement à certaines habitudes, qu'elle fait du racisme antiblanc. Mais elle oublie totalement que son ascension rapide dans le show business est due en très grande partie à des producteurss et réalisateurs de race blanche.
Au novembre 2018, Camélia Jordana affirme sans aucune justification tangible que sa génération ne se reconnaît pas dans la société française, dirigée par des « vieux blancs riches ». Cette déclaration suscite évidemment des réactions contrastées, lui valant notamment des accusations de racisme antiblanc. Mais, qu'entend dire Madame Jordana quand elle par de sa "génération" ? Et de quelle génération ? Et cette génération dans son ensemble, condamnerait-elle toute la race blanche ?
De son côté, Lucas Bretonnier, journaliste à Marianne, écrit que ses différentes déclarations font le « marketing des origines » et dépeint une génération passée « d’un extrême (la honte) à un autre (la revendication criarde) » Lire l'article complet