Voici quelques semaines, j'ai présenté à quelques associations étudiantes, un projet qui permettrait à chaque étudiant poursuivant des études supérieures, de bénéficier d'un vrai salaire couvrant la totalité de ses frais généraux mensuels : logement, nourriture, chauffage, électricité, couverture santé, etc ...
Inutile de dire si ce projet a bien été accueilli par tous ces jeunes dont les plus nombreux galèrent toute l'année afin de pouvoir continuer leurs longues études. Seul, un petit nombre d'étudiants appartenant à des familles aisées, s'en sort mieux et n'est pas confronté à la dureté de la vie. Globalement, c'est une majorité de jeunes qui ont grand mal à suivre un cursus faute de moyens financiers et certains même abandonnent en cours de route, les parents n'ayant pas la capacité matérielle de subvenir à leurs besoins.
Où se situent donc les chances de chacun ? Suivant que les parents soient d'un milieu ouvrier ou qu'ils soient issus d'une classe bourgeoise, voilà la grande différence.
L'égalité des chances ...
Voilà un problème récurrent dont les partis politiques parlent sans cesse depuis bien longtemps, mais qui reste jamais résolu, l'argument semblant servir seulement à des fins politiciennes. Et pourtant, dans une démocratie et tout spécialement dans notre République, chaque citoyen doit avoir une place déterminée au sein de la société, ce qui relève des principes d'égalité entre tous les individus, indépendamment des origines ethniques.
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