Dans un article de Geoffroy Clavel et Morgane Guillou, on se pose la question : " Faut-il rendre obligatoire le futur vaccin anti-Covid-19 ? Diverses personnalités politiques ou syndicales ont déjà fait connaître leur position à ce sujet. Valérie Pécresse, Gérard Larcher ou Yannick Jadot sont favorables à une vaccination obligatoire, alors que Marine Le Pen et Laurent Berger sont plutôt hostiles à l'obligation qui pourrait être faite aux Français de se vacciner contre le coronavirus.
A dire vrai, je pense que les politiques sont mal placés pour imposer quoi que ce soit dans ce domaine, dans la mesure surtout, ils n'ont aucune autorité médicale pour apporter leur avis. Et je déplore que la parole des hommes et des femmes politiques puisse avoir un poids dans certains domaines où ils ne présentent aucune qualification spécifique susceptible d'éclairer telle ou telle situation. Les politiques sont fait uniquement pour faire gérer les affaires de la Nation, et non pour se prononcer sur des situations où ils n'ont aucune compétence particulière reconnue.
Alors, pour en revenir au vaccin obligatoire ou non, il est nécessaire de se pencher sur le problème afin de peser le pour et le contre.
Pour ma part, j'estime que le vaccin obligatoire est une solution possible à condition toutefois que ledit vaccin mis sur le marché ait été testé pendant plusieurs années afin d'en connaître les éventuels effets secondaires, s'il y a lieu. En effet, comme n'importe quel médicament, un vaccin qui est censé protéger d'un virus ou d'une maladie, peut avoir des conséquences graves sur la santé de certains patients.
Ayant eu personnellement au cours de ma vie de nombreux entretiens avec des médecins, ces derniers ont émis certains doutes sur le simple vaccin de la grippe, lequel peut provoquer des réactions dangereuses chez des personnes atteintes de diverses pathologies. Ainsi, un vaccin peut déclencher un cancer latent et entraîner ainsi la mort rapide d'un individu souffrant d'un problème de santé. Les cas sont assez fréquents, et dans ce contexte, la liberté de se faire vacciner ou pas revient uniquement au patient qui prend donc ses responsabilités. Lire l'article complet