Ne soyons pas pessimistes et pourtant, notre Pays se meurt faute d'un vrai patriotisme, pareil à celui que la Première République (1792 – 1799) avait enseigné à l'époque, aux nouveaux citoyens issus de la Révolution.
De nos jours, nos jeunes connaissent mal la définition du patriotisme : ils pensent simplement qu'il suffit de chanter la Marseillaise ou de brandir le drapeau tricolore pour afficher ses idées patriotiques. En fait, le patriotisme, c'est le dévouement et l'attachement profond à la patrie, avec la profonde volonté de la défendre militairement en cas d'attaque extérieure. Mais à l'heure présente, c'est aussi le désir de défendre le Pays à l'intérieur même de ses limites contre les ennemis qui se cachent en tous lieux, à la ville, au village, dans les banlieues, à la campagne, dans les entreprises publiques ou privées.
Ainsi, à ce stade, comment devons-nous réagir ?
Accepter l'évolution de notre société et admettre que le passé disparaîtra englouti par un monde nouveau ?
Accepter que les efforts et les sacrifices de nos aînés soient anéantis par des peuples dont le seul but est de conquérir une nation européeenne et de s'emparer de ses richesses ?
Ou, tout au contraire, combattre l'ennemi pour le respect des nos valeurs, de nos coutumes, de nos traditions et de notre mémoire collective ?
Alors dans cette perspective ...
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