À l’heure où les gouvernements naviguent à vue, à l’heure où les imposteurs émergent, inconnus il y a encore peu, attirés par le pouvoir vacillant, pour tenir un discours faussement subversif.
Une critique radicale et documentée du capitalisme moderne.
Le totalitarisme marchand.
Les thèmes abordés :
L’exploitation. La résignation. L’aliénation.
Le consumérisme et le travail.
Le mouvement permanent. L’insécurité dûe à l’instabilité.
La rationalisation totale du monde et de l’homme.
La propriété.
Le logement.
La marchandise. La publicité. Accumulation & bonheur.
Économie de l’offre. Surcapacité du système productif.
Isolement social et propagande.
L’alimentation. L’illusion de l’abondance. Consommation du plaisir immédiat.
Inégalité érigée comme valeur du monde, pauvreté & misère.
Élevage intensif.
Pillage des ressources naturelles. Culpabiliser au lieu de changer le mode de production économique.
Le travail, une nécessité de la consommation.
Profits pour une minorité.
Chômage moderne comme moyen de coercition.
Organisation scientifique du travail. Le travailleur est une machine.
Spécialisation et division mondiale du travail.
Marchandisation de tous les secteurs de la vie, du vivant lui-même.
Le loisir n’est qu’une autre servitude.
La santé. Les souffrances du monde moderne.
Appropriation du vivant et du corps.
L’obéissance des hommes : produire et consommer.
Incapacité à se révolter. Consentement. La force du nombre.
Lâcheté et violence.
Opposition et répression.
Négation du conflit.
L’argent comme Dieu. Aucune alternative du système de production fou.
La télévision comme substitut au rêve. Vivre par procuration.
Endoctrinement des enfants.
Capitalisme de la pulsion.
La femme comme marchandise. La révolte comme marchandise.
Le langage comme mode de domination au cœur de l’asservissement. La nécessité de la réappropriation de langage par la réinvention des mots de groupes humains se rassemblant réellement.
La démocratie, l’élection. Pas d’alternative. Pas d’opposition au dogme marchand.
Monopole de la parole publique.
Privation du pouvoir par le parlement.
Élections : choix du maître.
Le totalitarisme marchand.
La révolution est la destruction du pouvoir.
Réinvestir la rue, abandonner les médias de masse.
« — Oups… la télé est éteinte. Chéri ?
— C’est pas de chez nous, ils ont tout coupé.
— Bordel ! Révolution ! Je veux ma télé ! »
Il y a quelque chose de bien pourri en ce monde tout de même. Peut-être son absurdité. Désabusé.