En réponse à un propos que de M. Le Guen, propos non moins consistant en matière politicarde haineuse, tentant de discréditer l'aile "Gauche" en générale, qu'il fait preuve d'une suffisance plus que certaine, injurieuse même, quant seul le média ne lui sert que de support à propagande, de cache sexe quoi..., je voudrais réagir simplement en tant que citoyen lambda. J'ai trouvé ceux ci accidentellement aujourd'hui quand ils se trouvent sur le JDD, depuis le 27 févier. Sa découverte fut faite à la suite d'échanges sociaux.
Pour jutifier le titre voici la définition communément utilisée du mot "Diktat"...:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Diktat
Qui est dans le déni M. Le Guen, et refuse de regarder la réalité en face...? Est-ce celui qui dit que la pauvreté, en France (avec 11 million de gens vivant sous le seuil de pauvreté, avec plus de 5 millions de chômeurs-euses TCC, pour ceux celles inscrits-es à Pôle emploi - voir ici pour les non-inscrits-es - , qui pourraient bientôt y tomber dans la pauvreté, avec 50% de la population active et non-imposable - ou dit aussi avec moins de 1630 euros par mois - pour cause de trop bas salaire et bientôt précaire dans l'emploi, avec l'accord l'ANI, etc) comme la pauvreté en Europe (Grèce avec 44% , Espagne avec 30% en 2012, même en Allemagne avec 16% de la population, Portugal, etc) et surtout dans le monde, pour cause d'une "mondialisation" faisant la course accéléré dans une "compétitivité" au moins disant social et fiscal, est-ce celui qui dit que ce cruel constat est non seulement insupportable, injuste socialement, fiscalement, mais qu'il est inacceptable quand il est due à un abandon des politiques et spécialement des "socialistes" à mener la lutte des classes, et celle contre les fraudes fiscales, contre les trous noirs de la finance, asphyxiant les États providences, au regard des inégalités et autres écarts des salaires qui vont continuer à se creuser par cette politique menée...?
Ou bien est-ce celui, qui comme vous M. Le Guen, nie cette pauvreté, cet état de misère faisant de notre société ce "déclin" , cette évidence dispersée par fait exprès, et ses méfaits intrinsèques, réels, puis surtout ses causes toutes aussi réelles dont la socialisation massive des pertes bancaires, etc, frauduleuses après le crack de 2007/8 qui a conduit à enclencher et les reniement politiciens, entre autres ceux de ne pas ratifier les traités européens votés par vos soins contre les peuples (traités de Lisbonne, d'abord, puis le TSCG, le MES), puis à appliquer les plans d'austérités (ou de rigueur pour les pudiques menteurs), qui suite à l'explosion de la dette publique toujours pas auditionnée, a aggravé cette pauvreté, ce chômage de masse, cette précarisation dans l'emploi, cette paupérisation de la classe citée plus haut, tant est si mal..., que conséquemment, pour ne pas être accusé de "corrompu", entre autres, par le fait de la financiarisation des économies réelles et Étatiques (pantouflages, conflits d'intérêts, etc), de carriérisme, d'arrivisme et d’individualisme, se déresponsabilise politiquement et se justifie sous le couvert de cette "mondialisation" mortifère incontournable par peur d'autre chose..., de cette "compétitivité" fabricant cette pauvreté..., mais qui pourrait être pire qu'ailleurs..., de la "conjoncture" qui doit faire peur aux peuples..., et des "réformes structurelles" obligatoires, puisque votées par un soin "consensuel technocratique", cassant ainsi les services publics, et l’État providence, jusqu'aux pouvoirs démocratiques du peuple en France, en Europe et ailleurs, en se cachant sous cette pensée unique consistant à dire que c'est la faute à la "systémicité" et qu'on ne peut rien faire...?
Qui ne "veut" rien faire...? Vous, M. Le Guen et autres, mais pas le "petit peuple", qui lui pourra quant il aura compris quelle force qu'il a entre ces mains visibles...! Mais qui nie avoir voté ces lois scélérats, et tente de cacher cette réalité des faits, celles qui ont tout dérégulé, déréglementé, déresponsabilisé, transférer les souverainetés des peuples à la finance, cet ennemi public circonstancié, et ami cajolé le lendemain, juste pour se faire élire et trahir les électeurs-trices par la suite...? Toujours pas nous Me et M les "socialistes", quand vous reniez vos engagements et les nôtre d’ailleurs. Puisque vous êtes allé jusqu'à avoir voté contre notre décision souveraine, concernant cette construction Européenne que monétaire.
Qui ment au peuple, en se pavanant sur les plateaux télé complaisant, pour se faire réélire entre autres, pour cumuler encore et accumuler plus quoi..., racontant une toute autre réalité des faits...? Pas nous le "petit peuple" en tout cas, quant on veut nous cacher... Quant à "cette majorité centrale" aspirant à un "changement pragmatique" quel avis aura telle quand elle apprendra à juger sur pièce la valeur de ces paroles politiciennes niant les faits, au regard des actes et des réalités dévoilées ...? Quel avis aura telle cette "majorité" quand elle pourra constater que ces dires politiciens "pragmatiques", au regard des vérités des faits de la perte de démocratie, de l'aggravation des mesures d'austérités (l'explosion de la dette publique pas auditionnée, des déficits n’atteignant pas les 3% va servir de prétexte à plus de coupes budgétaires, etc), ces reniements sans cesse répétés, au regard des inégalités qui vont continuer de s'accroitre, de l'aggravation de la pauvreté, etc...? Il va rester que ces médias de masse connivents pour défendre cette "idéologie obsolète", du genre "tout va très bien Me la Marquise", consistant à faire croire à cette "majorité pragmatique", qu'ils-elles ces politiques œuvrent pour le peuple, et ne se servent pas au passage de lui, à des fins toutes personnelles.... Une fois tombée cette barrière médiatique..., derrière quoi se cachera t-il, se cacheront-ils-elles alors...? Une dictature...?