Il en est une confusion qui prônent en reine aujourd'hui... Son siège..., du moins, la ou se pose son gros séant d'un moment mouvent.., est à Quimper... Elle est même sidérante de vulgarité... Jusqu'à être consternante..., de voir que la sphère occulte qui manœuvre derrière les "bonnets rouges"de Bretagne puisse continuer leur mouvement de saccage du bien public/privé, même si celui ci est contesté comme contestable (1)... C'est à son sacre..., au couronnement même de la confusion qu'on assiste... Un exemple apparaît dans les revendications qui veulent la suppression de l'écotaxe comme symbole d'une goutte d'eau faisant déborder le vase d'un "raz le bol fiscal".., qui est de très loin de la réelle problématique de cette nouvelle taxe. D'abord il semble qu'il faille sortir hors du cadre environnemental, écologique, qui ne parle aucunement à ces gens la, même s'il est en grande partie une responsabilité leur incombant et justifiant une certaine perte de "compétitivité", pour se concentre que sur l'aspect purement économique, fiscal et financier. Le fait que cela, l'écologie ne leur parle pas, se trouve dans les raisons de leur scepticisme incompréhensible..., quand à considérer et prendre en compte le réchauffement climatique.
Certes un certain poids fiscal pèse plus sur certaines petites et moyennes entreprises, par rapport à d'autres. Mais pour beaucoup d'entre elles, est-il considéré honnêtement la baisse de leur marge quand la consommation en fait autant au regard des pratiques de prix qui leur sont imposés par des plus grosse quelles, jouant à une échelle fiscale hautement plus obscure...,, derrière leurs optimisations de profits...? Si ce sujet est éludé... Est-ce alors aux impôts d'être incriminer...? Ou est-ce un assistanat à nous demander...? D'autant plus quand les salaires stagnent depuis tant d'année, surtout les plus bas, quand le chômage reste élevé. Certes l'Europe et le dumping social et fiscal y est pour beaucoup, voir est essentiel pour certaines des entreprises dites de l'agroalimentaire.... Mais est-ce par rapport à l'aspect compétitif de ces entreprises dans les domaines de la pêche, de l’agriculture et de l'élevage, etc..., ou la PAC les a considérablement assistée, et va être revisitée par ce gouvernement.., quand la transformation alimentaire, la grande distribution, l'agroalimentaire en tant que donneur d'ordre et fixant les prix au sens large du terme a bénéficié de largesse du gouvernement précédent et actuel (comme celle ci par exemple)..., que cette colère teinté de rouge s'exprime et casse des biens publics/privés...? Des responsabilités sont à considérer certes (des livres de comptes à ouvrir et tous les livres et des vérifications à faire par des experts même syndicaux ceux du salaria bien sur). Mais alors dans leur ensemble à commencer par celle du marché économique "administré" en question, et en premier lieu celui du rapport de force entre les donneurs d'ordres et exécutants..., quand l'aspect de l'impôt, des taxes et des aides publiques massives contre balançant ceux ci sont secondaires..
En tant que "ras le bol fiscal" il est aussi consternant de constater l'absence de réflexion de ce patronat, celui se cachant et envoyant en première ligne d'autres petits patrons, sous traitants peut être (?), des salariés-es dans le flou politique..., quant à leur remise en question dans l'anticipation de la transformation de leur modèle d'exploitation et de production qui fut largement plus subventionné, défiscalisé, pendant tant d'années, plus que d'autre secteurs d'activités et régions... Combien d'aides publiques locales, nationales, de subventions européennes (toujours et encore la PAC et autres aides européennes), de baisses de cotisations sociales patronales sur les bas salaires, de niches fiscales, leur ont tété attribuées, à ces petits partons et ses grands groupes se masquant..., quand certains "entrepreneurs" osent parler de trop plein d'impôts...? Autant cette question est absente du débat publique, de leurs revendications et des motivations de leur idéal, si tant est qu'il y en est un autre que de vouloir faire infléchir ce gouvernement et nous faire cracher au bassinet encore plus nos deniers publics..., qu'elle est absente médiatiquement ou presque (Eva Joly ce matin dans un Face à face), en tout cas dans les questions des journalistes les ayant interviewé samedi dans le feu de l'action... Cette absence, omission sciemment démontré..., permet aussi de faire passer cette raison, celle du flou rougeoyant..., presque brûlant même..., dans une sorte de légitimation de ce mouvement de violence en embrouillant les esprits pour amalgamer, agglutiner sous le slogan simpliste du "raz le bol fiscal" le plus de colères possibles. L'embrouille est faite à un tel point qu'on mesure le degré d'agitation en cour essayant de faire prendre une mayonnaise tempétueuse improbable avec à la foi des patrons, leurs syndicats (FNSEA, CGPME, MEDEF, et d'autres non syndiqués) voulant en découdre avec l’État en place (mais pas le précédent...?) par des actes de délinquances "normalement" condamnables, et pas sanctionnés comme pas dénoncés comme tel, avec aussi certains employés-es (beaucoup de cadre d'après ce que j'ai pu constater sur les écrans télé, et entendu), avec un syndicats de salariés-es ayant menacé de voter FN (?), soit FO, la non moins étrange présence du NPA sous la représentation de M. Poutou..., puis enfin certains individus du FdG, de la CGT pêche, etc, etc, etc...
Autant de raisons à "l'apparence social" ambiguë, agglutinées à autant d'intérêts obscurantistes et individualistes ne rendent en rien plus claire cette "insurrection fiscale" voulant être symbolisé sous une goutte d'eau..., celle de l'écotaxe. La raison principale de supprimer l'écotaxe, est d'abord son aspect antisociale combinée à un acte a-démocratique (voté par le PS, et autres opposant à l'UMP, comme par l'UMP elle même nous empêchant sous le joug de la lourde sanction financière de près d'1 milliards d'euros à rembourser en cas d'annulation du contrat, de revenir sur ce vote sauf à se priver de ce qui nous manque le plus) voir anti-constitutionnel possiblement... Puisque ce contrat PPP a des vices de procédures énormes, illégaux peut être (dans un contrat sans aucune pénalité en cas de non respect de délais de finition alors que les délais sont déjà dépassés et ont été mainte fois repoussé, quand l’astreinte est que pour l’État, le donneur d'ordre..., par nos deniers publics, qui doivent payer 20 millions d'euros/mois alors que l'écotaxe n'est pas encore en service)..., et surtout donne lieu à une première en France...: la collecte de l'impôt par une institution financière privée, ramassant au passage l'exorbitante somme de 20% de la récolte..., tout cela ne semble pas toucher, pas gêner plus que ça ces manifestants-es rougeoyants-es n'en disant pas un mot... Pourquoi donc ce silence dans ce domaine spécifique de ce contrat PPP les faisant réagir de manière si virulente souligne autant leur absence d'arguments et de crédibilité...? Pourtant il y va alors de l'intérêt général du peuple, tant du patronat, que des salariés-es, des consommateurs-trices, les clients de ces patrons, que de remettre en cause dans cette écotaxe voulue par ceux-celles ayant accordé tant de cadeaux fiscaux pendant le dernier quinquennat, comme par ceux-celles au pouvoir maintenant faisant de même envers les plus riches, quand si peu allait et vont au salaria, aux démunis, aux chômeurs-euses et précaires, à ces potentiels clients..., que leur crédibilité de dénoncer tant cette privatisation de la collecte de l'impôt que cette spoliation de recette, par une taxe les impactant directement, faisant que cet impôt soit si injustement réparti, utilisé..., n'est pas leur combat. Le silence de ce patronat tout de rouge coiffé sur ce sujet là serait-il alors évocateur...?
La raison principale de ce silence pourrait-elle être, si la confusion s'avère être faite par fait exprès, sous la symbolique de la couleur rouge..., traditionnellement plus utilisée par les syndicats salariaux, les partis politiques très à gauche..., pour amalgamer plusieurs motifs de colères à des fins obscurantistes...? Ce serait alors un procédé des plus malhonnêtes, vicieux, de la part d'ombrageux dessins d'une entité se cachant sous des "pseudos"..., des slogans..., dans lesquels se retrouveraient mouillés-es par manque de discernement ou autres (?) certains-es responsables locaux de syndicats de salariés-es, voir même national d'un parti politique plutôt traditionnellement anticapitaliste, et autres militants-es, sympathisants-es du FdG , de la CGT et d'autres employés-es non syndiqués-es, ayant préférés-es quimper à Carhaix. Ont-ils, toutes ses "sensibilités sociales et humanistes" alors conscience de rajouter de la confusion à celle déjà menée par intérêt très privés, secrets...? D'autant quand de ce mouvement opéré ce samedi..., suivit une action de vandalisme plus que condamnable d'un portique qu'on paye déjà sans même qu'il soit en action.
C'est le message de ce mouvement s'affublant d'un symbole, celui d'un bonnet rouge, ayant vandalisé un portique dimanche, soit le cinquième..., qui est a questionner dans sa cohérence politique... Et là encorela raison, les revendications sont autant confuses..., qu'elles en devienvent incompréhensibles quand des aides de l’État d'un coté, qu'il, le message dominat veut encore plus abondant, et une forme de plus grande indépendance, d'autonomie..., semble vouloir s'affirmer contradictoirement. Mais, pour avoir des aides et du crédit politique, pourquoi alors creuser encore plus les caisses de l’État, nos déficits, et amoindrir du même coup les aides indispensables à fournir aux plus démunis, maintenant comme dans plusieurs années encore.., en allant saccager un cinquième portique qui "nous", la collectivité nationale, et celle de Bretagne, coûtera encore plus cher en fin de compte...? Cela dé-crédibilise d'autant plus la compréhension de l'action que l'opinion publique n'en sera pas dupe... La conception de l'aspect social de ce mouvement (quand les médias d'intox continu parle de "manifestation sociale") semble être encore au abonné absent et devrait mettre la puce à l'oreille à ces salariés-es "suiveurs-euses"... La question trouve d'autant plus de pertinence quand des discutions avec le gouvernement, via les préfets sont lancées...! L'incohérence se rajoute à la confusion entretenue par le soutien impromptu du FN (ce matin dans Bourdin direct), est semble donc confirmer que ceux qui se cachent dessous ces bonnets, le symbole de leur couleur..., n'ont de rouge que l'intention d'appliquer la théorie de la terre brûler, de mettre le pays à feu et à sang, de provoquer l'avènement du règne du chaos, voir de renverser ce gouvernement pour faire venir l'extrême droite au pouvoir..., et/ou voir provoquer le retour du perdant rancunier de la dernière présidentielle, jouant les revenants médiatiquement.
Ce qui est aussi consternant c'est le traitement médiatique donné à cette information de "destruction" de portique... C'est à croire que certains voudraient minimiser sa portée, sa dimension d'attaque à l'ordre publique Républicain (voudrait-on jeter le discrédit sur le ministre de l'intérieur actuel qu'on ne ferait pas mieux), son impacte sur notre société..., qui en d'autre temps pour des actes quasiment similaires, ou presque..., en terme de danger encouru pour la population, avait été traité tout à fait autrement... A savoir que ce portique est tombé sur un axe ouvert à la circulation et aurait pu donc coûter la vie à de nombreuses personnes en chutant voir en provocant un carambolage..., si les forces de l'ordre n'avaient pas fermé cet axe...
Sauf que rien de cela n'est dit dans la presse pris en exemple ici. On y parle de "destruction", sans savoir ce que la gendarmerie, les CRS ont fait pour empêcher cet acte délictueux ou on laissé faire cet acte de "terrorisme".... Les "présumés" coupables sont-ils emprisonnés..? Oui ce mot de "terrorisme" peut sembler fort, choquant même..., mais ce terme fut employé lors d'un acte de "sabotage" d'une voie ferrée avec un fer lancé sur un caténaire..., qui valu alors "l’arrestation de jeunes intellectuels soupçonnés de comploter en vu de commettre des attentas". C'est de l'affaire Tarnac (2) dont je parle..., et des qualificatifs virulents, accusateurs, qui furent employés à l'encontre de présumés innocents d'une suspicion d'avoir perpétré un acte de terrorisme avant même leurs jugements, tant par la presse que par les politiques en responsabilité à l'époque d'ailleurs ... Ou est donc la différence sémantique et idéologique ici dans ces deux actes dont pour celui affublé de la couleur "rouge pour le fun"..., va coûter à la collectivité bien plus cher que l'autre...? Est-ce uniquement l'accroissement des tensions sociales qui sont prévisibles dans ce climat économique et les décisions politiques les accompagnant, qui justifie une telle "clémence" médiatico-politique à l'encontre des vandales des portiques Bretons...?
Deux poids deux mesures font encore une foi la démonstration d'une gouvernance du peuple, sur deux époques contiguës et politiquement menées dans la continuité économique..., si ce n'est pas aussi socialement..., faite par une caste politique servile devant une oligarchie..., qui lorsqu'elle envoie son armée de l'ombre pour terroriser la population, au risque de provoquer les pires accidents pour ceux se déroulant en Bretagne..., se voit tranquillement surveillée par les forces de l'ordre..., sans être arrêtée..., quand ces même forces de l'ordre sous les ordres d'une hiérarchie..., n'hésitent pas à charger des révoltes ouvrières, des manifestation et occupations pacifiques de Pôle Emploi des chômeurs-euses, ou encore des manifestations de travailleurs-euses sans papier ...
Ce deux poids deux mesures illustrent aussi la connivence des parti se partageant le pouvoir honteusement monarchique d'une "R"épublique de copain se servant d'elle..., pour servir une oligarchie les soutenant dans l'ombre... Cette ombre est une fabrique de confusion à des fins qu'elle occulte soigneusement sous les terme de "mondialisation" et de "compétitivité"... L'une de ses armes favorites qu'elle brandit pour couper court tout débat politico-économico-social approfondie est la "peur de la dette publique"... Elle est sa confusion, une confondante imbrication des responsabilités politiques qui lient les deux camp du bipartisme tant national, qu'européen et autre..., et qui se servant de ce levier anxiogène qu'est la dette, avec l'aide connivente des médias, et autres pseudo experts, en élude leur culpabilité par la diversion et par la manipulation de l'opinion publique focalisée sur une autre peur. C'est avec celle de l’angoisse que devrait susciter cet-te étranger-ère, soit-disant coupable de tous, responsable des pires de nos maux à entendre la musique médiatco-politicarde ambiante, qui ne date pas d'aujourd'hui d'ailleurs..., que ces politiques évitent d'aborder les vrais problèmes de fond les incriminant dans nos difficultés actuelles...
L'on peut en entrevoir une parti de cette connivence politicienne régnant dans la confusion dans la question qui suit... Pourquoi l'UMP et plus particulièrement le groupe de soutien à l'ex-p..., et nouveau "business-man" (3), ne veut pas faire..., ou à minima alors..., de bilan de son quinquennat...?
Une hypothèse, une théorie..., simple et qui a le mérite d'être claire peut être présentée comme suit...: D'une part, faire un bilan c'est accepter de s'auto-flageller en public. Et en politique, ou la puissance et la crédibilité doit émaner de la sûreté de la parole, plus particulièrement pour cette famille politique d'entregent friqués, favorisant que les friqués, le risque d'un bilan est plus que considérable. D'autant plus quand l'argument principal de cette droite en déroute est l'excuse prise pour justifier ses échecs économiques et surtout sociaux. L'excuse de la "crise" à la suite du crack de 2007/8 et de la hausse de plus d'un tiers du montant de la dette publique est tant le lourd poids de leur bilan, qu'il est alors aujourd'hui cette peur que l'on, le peuple mais surtout celui des plus modestes, des classes moyennes, des sans actions et des bas salaires exonérés de cotisations sociales pour le patronat, devrions assumer collectivement. Et le plus fort c'est qu'elle permet dans cette gestion politico-économico-social contiguë du pays, de l'Europe, de pratiquer la continuité d'une politique consistant à conforter les dividendes, les rendements des actions, le remboursement plus qu'à minima des dettes publiques (Grâce à leur titrisation). Cette écotaxe, son contrat ahurissant, son mode opératoire de prélèvement de l'impôt fait par la finance avec des bénéfices privés scandaleux en est quelque part la quintessence... Mais surtout cette confusion n'existe que pour "assister" massivement les entreprises et la finance, avec des politiques de l'offre sur des subventions d’États et autres exorbitantes, au détriment d'un bien vivre et être ensemble, et par la spoliation de nos deniers publics (prés la socialisation des pertes privées colossales de 2007/8), qui devraient bénéficier d'abord aux victimes de "leur chômage", de "leur politique de la pauvreté et de la précarité" qu'ils mènent et accentuent avec l'austérité.
D'autre part ce bilan qui ferait, et fera polémique emmènera le débat sur la demande des citoyens-es d'un audit de cette dette publique pour connaître le fin mot de l'histoire. Ça ils-elles, les politiques toutes appartenances confondues n'en veulent pas. Et l'UMP est contente de trouver le soutien des "socialistes", des centriste, comme du FN d'ailleurs qui ne trouve rien à redire au poids de cette dette publique, dans sa légitimité ou son contraire. Est-ce en cela alors que le FN peut être assimilé à un parti " Républicain"...? Ensuite parler d'un bilan à 3,5 ans des présidentielles, et quelques mois avant les communales, les européennes en insistant sur les conséquences catastrophiques de ce dernier quinquennat (les niches fiscales, la hausse du chômage, de la précarité, de la pauvreté, etc) c'est alors faire de la pédagogie au sujet de la raison réelle de la hausse de la dette publique et de mettre l'accent sur les responsabilités cumulées, et culpabilités additionnées des familles politiques du bipartisme, et les autres citées plus haut..., qui par répétition, rabâchage médiatique avant les campagnes ruinerait alors tout espoir de l'UMP d'un possible retour au pouvoir, d'un retour providentiel ou pas d'ailleurs..., et toutes tentatives d'apaisement du climat social pour ce parti politique au gouverne visant sa réélection en 2017, et enfin, mettrait plus qu'à mal le vide sidérale du programme du FN voulant garder la dette en l'état, et servant de faire valoir aux autres partis... C'est dans le cadre d'un "récit historique du roman national", d'un storrystelling servant à chaque campagne de plan com. sur-médiatisé..., d'un truc consistant à nous raconter le combat du bien contre le mal..., que les partis politiques majoritaires dans notre pays, et du coté Européen aussi, toute mesure gardée..., que se trouve l'utilité du FN...!
Cette utilité est double d'ailleurs... Car le FN ne dénonçant pas l'ignominie qu'est devenue l’ahurissante et incontournable idée que cette dette publique ne peut être réduite, invalidée, voir même ne pourra jamais être remboursé tellement son poids rend la chose impossible..., comme ce contrat passé avec écomouv d'ailleurs..., cette cristallisation sur cette peur permet au FN de trouver un effet de levier aidant en cela les partis du bipartisme à se déresponsabiliser de cette dette... Nous renvoyant de fait la culpabilité sur nous citoyens-es... Ce levier est le soit-disant aspect excessif en terme de coût que les étrangers-ères vivant chez nous pèserait sur nos dépenses publiques... C'est autant une absurdité que la gestion des flux migratoire est assez stable depuis plus de 30 ans dans notre pays et a fait que leur intégration et leur travail sur notre territoire a enrichie notre communauté nationale. Cela rien que pour l'aspect économique..., quand l'enrichissement culturel est bien plus considérable que les médias et les politiques dans les majorités, et le FN le considèrent actuellement...! Quoi qu'il en soit les uns politiques se servant des autres politiciens-es, et inversement, pour exister sur le champ de décombres démocratiques, électoralement, comme dans le sens clientéliste (sauf pour le FN n'ayant que peu de circonscriptions, quoi qu'il faut examiner cela de près) champ se voyant déserté par de plus en plus d'abstentionnistes, seuls les électeurs-trices les plus intéressés-es - politiquement par une vision capitalistique optimum - dit à l'envie de qui veut le croire "droitisés-es", vont faire la différence dans les urnes. En tout cas c'est le "pari" pris par ce président et sa famille politique au pouvoir actuellement.
A quand cet audit de la dette publique Française..., pour commencer...,, va être enfin compris et pris en temps qu'axe principal d'une opposition constructive, créatrice, alternative à tous ceux-celles qui veulent par intérêt non général faire régner la confusion comme seul horizon possible...?
http://cadtm.org/La-dette-publique-augmente-a-91-7