"L'or" est-il venu de sonner le glas de l'Humain,
Sous les coups funestes du mythe d'un « moi d'abord » ?
De son glaive brillant..., aux éclats horrifiants,
Pourfendant dans la « masse »..., l'enfant se veut roi.
Assénant meurtrissures, salissures, et vœux pétrifiants,
L'oisif sans limite étend son triste sort sans plus aucun émoi.
Des légions de démunis..., deviennent des chairs mortifiées.
Haïr cette destiné..., ne leur semble plus compter.
Des cinglantes facéties.., extirpent leurs entrailles broyées,
Et les apprentis rapaces sans pitié, se repaissent du banquet.
Fourbu par les attaques sans cesse répétées, suinte alors la souffrance.
Décharnée, désincarnée, la misère fait son œuvre quand la voracité est repue.
Amalgamant sang et larmes..., à la sueur désabusée, faire don de complaisance,
Devient donc un répit..., à l'aune des quelques miettes de ce qui ne sera plus vécu.
Des larmes de douleur coulent des creusets des visages tuméfiés.
Et éructe un bruit et sa fureur..., dans l'impact martelant cette terre.
D'un séisme ravageur, l'onde de choc se répand, tel l'écho chuchoté,
En garde mécréant..., que la bête se rebiffe et réplique, et vous ne serez qu'en faire.
Sillonnant les tréfonds de nos espérances..., ces flots emmêlés bouillonnent silencieusement.
Grommelant sa colère..., l’enlaçant tendrement..., attend l'heure patiemment.
Car se trouve en son fondement, la puissance d'un terrible volcan,
Qui viendra foudroyer dans l'instant les cupides nonchalants.