Qu'il a bon dos le "pauvre"contribuable Français en ce moment à en croire les propos du "cœur" de "la droite la plus bête du monde". A tel point qu'il suffit d'un propos peut être excessif d'un humoriste faisant son spectacle..., pour qu'il vienne, à nouveau..., au secours d'une femme politique..., publique donc..., ou d'une simple femme..., "insultée" dans sa vie privée..., se sentant pousser les "ailes" d'une blanche colombe représentant toutes les femmes..., pour prendre la défense d'une cause nationale. D'après elle, ce serait les femmes qui auraient été insulté... C'est pas pour dire..., mais c'est pas la prétention qui l’étouffe M. Nadine Morano de vouloir s'auréoler d'une couronne de laurier, s'armer d'un glaive et d'un bouclier, avec la balance de la justice dans le sac à main, pour partir tel Don-Quichotte, en guerre contre cette forme de machisme et/ou sexisme humoristique illustré par l'insulte de "conne"..., quand sa monture de représentante..., n'est qu'un mandat de conseillère municipale... Mais passons..., et admettons être Républicain jusqu'au bout...
Comme prévu donc, elle va attaqué..., aidée par des soutiens... Déjà que Madame sans gène et sa famille de pied nickelé ne se sont pas privés et continuent encore (comme d'autres au niveau local) pour se servir de l'argent du contribuable - direct et indirecte par les taxes pour les plus pauvres - pour défiscaliser des dons fait à son parti politique de tricheur (voir Copé, puis le chef de la "bande organisée") afin rembourser une fraude électorale monumentale et exceptionnellement honteuse (du jamais vu dans cette République monarchique)..., ils vont encore "se resservir" de l'argent publique, en crachant dans la soupe pour être sûr qu'on n'en prenne pas, pour tenter de laver sur la place publique un honneur dont la pudeur se mesure..., au poids de la morale politique et sociale de cette famille...! Que dis-je, "laver un honneur"...? Faudrait-il encore déterminer lequel aurait été sali... Serait-ce celui publique...? Serait-ce celui privé...? Les tribunaux vont devoir trancher. Quand au lavage..., j'aurais tendance à appeler ça blanchir plus blanc que transparent des fonds pas très clairs, pour ne pas dire opaque, venant de l'étranger...!
Et quand on se rappelle qu'un ex-président de la monarchie..., oups..., République..., un chef de bande..., et "maître des tricheurs politicards", en exercice, se permit de traiter un Français modeste ne voulant pas lui serrer la main de "pauvre con"..., en l'enjoignant en plus de se "casser.".., cela permet alors peut être de mieux recentrer alors la polémique. Déjà à l'époque cette insulte en disait encore plus long sur ce que ce "chef d'État" pensait de sa fonction censée incarner l'unité des Français-es, en étant au dessus de la "mêlé", et en rendant exemplaire la démocratie et donc l'échange même contradictoire entre citoyens-es, entre élus-es et citoyens-es... Mais au regard et possible écarts verbaux d'un humoriste ayant traité M. la conseillère..., seulement de "conne" (le mot "salope" tirer d'un de des sketchs de M. Bedos étant à part, car il est l'un des thèmes machistes/sexistes - la ligne étant mouvante - traités en auto-dérision - contestable à mon avis) en dit long sur son et leur esprit de démocrate..., quand elle et/ou ils veulent porter plainte pour insulte...! Si l'on caricature cette idéologie..., comme celle de ce clan de mafieux en col blanc et à l'écharpe tricolore - et en 140 caractères c'est assez facile - la liberté de s'exprimer par l'insulte humoristique ou pas, serait donc un "droit divin" de d'un parti politique "naturellement légitime en France"...? C'est celle d'un monarque, de ses valets..., et ceux du haut vers le "bas peuple"... seul "souverainiste" de insulter le peuple..., et pas l'inverse...? Qu'est-ce qui les différencie alors du fn voulant porter plainte pour insulte, quiconque 'emploierait les mots "EXTRÊME DROITE" pour parler de l'idéologie de ce parti, de sa place sur l'échiquier politique...? C'est l'extrême "connerie"...! Après "le dîner de con"..., voila l'ère "des politiques connes".
Prenons donc de la hauteur avec un peu de politique pure et plutôt dure. Ce matin M. Xavier Bertrand était l'invité de "Le grand rendez-vous". Et pour résumer l'aspect programmatique de l'engagement politique d'un homme ayant décidé d'ajouter à son tableau de chasse, le trophée d'une candidature à une élection présidentielle..., celle de 2017..., la tortue..., oups..., il présenta une proposition "simplifiée" ainsi. Pour ce personnage ayant eu la charge du ministère du travail et donc du social dans une certaine mesure..., l'idée lui serait venue, après l'avoir abordé auprès d'un échantillon de fonctionnaire..., d'en supprimer leur nombre (comme M. Copé et son million de suppression de poste) tout en proposant aux restants-es de les augmenter de 15%...! Cette vieille lune ultralibérale de la privatisation..., vu l'ampleur du nombre envisagé..., l'exégèse étant autant le symbole de leur politique économico-sociale faite par le vide que seule le talent de leur connerie les font paraître..., revient sur le tapis avec la vielle ficelle pourrit d'une division du corps de la fonction publique... Cette division de cette fonction publique et de la société..., par l’appât du gain immédiat et individualisé (que certains secteurs)..., est autant "conne" que lorsqu'on prend le chiffre de l'augmentation des salaires et qu'on réfléchi un temps soit peu à ce que la privatisation de ces services vont donner... Et là..., on ne peut que rire du simplisme de la rhétorique utilisé par ce politique... Il a fait l'école du rire lui aussi...?
Car même si ce personnage n'aime pas parler de privatisation..., tout en se prétendant ne pas aimer le dogmatisme (lequel ?)..., nul ne peut ignorer qu'une privatisation d'un service public c'est la suppression de sa gratuité au profit de bénéfice du secteur privé... C'est donc de fait..., la tarification des services concernés..., que ces employés-es (et plus fonctionnaires, voir alors les problématiques de leur retraite, etc), mais aussi le reste de la population, surtout les plus pauvres, devront payer. Si l'on rajoute à cela la hausse des prix en général..., la baisse du pouvoir d'achat en particulier...., on se demande ou est donc cet intérêt général qu'il prétend défendre la main sur le cœur...? Il est à craindre que ces 15% de hausse de salaire, non seulement ne remplace pas la perte du statut que la fonction publique offre, mais qu'en plus avec ces hausses à venir..., cette supercherie équivaut pour ces employés-es à une somme nulle..., sauf si l'on considère l'aspect clientéliste de la mesure qui bénéficia et à ce parti politique de menteur..., et à l'entreprise ayant acquit la "libéralisation" de ces services publiques. Sans parler aussi du nombre de chômeurs-euses supplémentaires qui en découleront, jeunes pour la plupart ... Car en terme de marché du travail..., le secteur privé est à l'optimisation du temps de travail, à la réduction du nombre d'employés-es pour effectuer une tâche, à l’évitement de l'acquittement de l'impôt, à la volonté de casser le droit du travail et de faire baisser voir disparaître les cotisations sociales patronales..., ce que le simplisme de la et sa (sic Xavier Bertrand) communication est et fut à l'honnêteté politique....!
Plus que la droite la plus "conne" du monde..., on a les politiques les plus stupides du moment...!