Combien d’anathèmes foisonnent aujourd'hui dans ce « bordel » politique, juridique, médiatique, économique, financier, idéologique même... ? Beaucoup trop..., et elles ont la volonté d'embrouiller encore plus le message..., sur le fond..., soit leurs causes..., comme leurs conséquences... ! Au bordel se rajoute donc le chaos...! Et ce matin..., l'un d'eux..., car ils volent toujours en escadrille dans une petite lucarne à lobotomiser..., est venu en écho..., au bazar ambiant.
Ce matin, à 7 heures, 12 m, (non accessible) dans la lucarne cherchant à décérébrer des temps de cerveaux de plus en plus en bouillie... Dans un "édito" moins « politique » que divertissant, diffusé sur une chaîne vomissant de l'intox en boucle..., jusqu'à recycler ses propres déchets situés sur son nombril..., un animateur provocateur..., de rouge vêtu ou presque..., s'est mis à table... En exprimant de manière subjective sa préférence..., il opposa dans une "simplification" langagière..., un « bon ministre riche » à un « mauvais ministre pauvre ». Sans préciser que son inverse était possible..., il signa donc son propos.
Pour cet animateur télé..., l'affiliation du bon ministre n'existe que dans la hauteur d'un portefeuille, sa richesse (virtuelle et scripturale peut être...?).... Et à l'en croire..., la publication, la transparence du patrimoine et des déclarations fiscales des élus-es et autres personnalités politiques et publiques n'étant pas utile..., voir inutile..., il est vain alors pour le-a citoyen-e, dans ce contexte actuel..., de connaître la provenance légale ou pas de cette richesse. Mais en poussant plus loin le raisonnement..., être "mauvais" c'est être obligatoirement "pauvre" puisque qu'à "quelques choses malheur est bon"... ! Cette échelle de valeurs..., faite de gradient financier..., devant prouver, attester un certain professionnalisme, une certaine reconnaissance de compétence par la possession de monnaie sonnante et trébuchante..., est d'une telle bassesse philosophique..., d'un tel mépris de la condition humaine.., que sa dignité ne peut s'abaisser à répondre, dans une considération intellectuelle de cette ineptie, sauf..., à considérer un acte démocratique ainsi simplifié...:
Entre un ministre riche cachant son incompétence derrière ceux-celles qui la présentent « médiatiquement » comme « bonne »..., comme une « idole » même..., en truquant..., en maquillant..., en travestissant..., etc..., des chiffres, des résultats, ou/et leurs absences même... - comme les impôts pour les plus riches étant régressif par exemple, quand certains-es parlent de confiscation, de taux d'imposition énorme..., alors qu'une erreur... - et un autre ministre, "pauvre"..., reconnaissant son impuissance en annonçant sans peur et sans reproche..., la vérité des mauvais résultats..., en cherchant à analyser et expliquer ceux ci aux citoyens-es..., en acceptant humblement les conséquences de son échec..., qui préférez vous... ?
Personnellement, je préfère un-e « pauvre » journaliste indépendant..., connaissant la valeur de son travail, l'appliquant par vocation..., pour s'y investir pleinement parce qu'il-elle ne cherche pas à avoir les moyens de s'appuyer sur une notoriété « surfaite »..., plutôt qu'un riche animateur télé et journaleux cumulard à plein temps..., dont sa prétention le dépasse à un tel point, qu'il en devient incapable de voir et d'entendre ce public le moquant... !