Cruelle est la nature,
Pour l'Homme « immature ».
Pourtant de sa cruauté,
L'homme en extirpe fierté.
L'immature matérialisme,
Dénature l'humanisme.
L'immédiate cupidité,
En mesure son immoralité.
Fière est à l’éphémère effigie,
Le symbole des affranchis.
Force est à sa dématérialisation,
le fondement de notre division.
L'oisif avare est à l'instant,
L'enchaînement de notre temps.
Sa succession indivisible ne conte plus,
Ils s'amalgament dans un grand flux.
Les premières sources de la vitalité,
N'engrangent « qu'e-matière » à spéculer.
L'a-synchronie de leurs fluctuations.
N'engendre qu'haine et conflictualisation
C'est la nature de quelques individus,
Qui en dénaturent l'humanité mise à nu.
La nature n'a de cruelle que son humanisation.
La cruauté n'a de sens que dans sa conceptualisation.