Est-ce la perte vertigineuse du nombre de militants-es voir de sympathisants-es, se tournant vers le vent bien funeste d'une montée de la haine que certains médias de masse propulsent sans aucun discernement..., qui provoque autant d'ineptie, de balbutiement, de contre-sens dans les discours politiques de cette droite droitisée courant après des idées..., à défaut de têtes...? Et quelles idées s'il vous plaît...? Celles entre autres..., de la fraude sociale et patronale, de l'insécurité en général et en particulier, de leurs responsabilités..., qui et font bien défaut à ces gouvernants sortants pour les dernières..., et deviennent une sorte de lévitation symptomatique de l'inconscience et inconsistance politique.
C'est en écoutant Valérie Pécresse, samedi soir..., dans "On est pas couché" (à partir d'1 heure 12 minutes)..., qu'il s'est confirmé que la direction du vent..., dans l'écho - miroir mon beau miroir - des sourires de façade, prenait ce chemin bien funeste d'un sentiment d'insécurité encore plus grave que celui qui leur sert de faire valoir politicien à cette famille politique - et encore..., s'il y avait que cette famille là... C'est une turbulence qui annonce un vaste raz de marée d'insécurité..., politique, idéologique.
Mélangeant pêle-mêle..., cette sempiternelle "simplification", cette caricaturale idéologie d'une tête à claque bien pratique pour cette ancienne gouvernance du bipartisme Républicain de la 5ène, soit ce concept inventé de toute pièce de "l’assistanat" (quand ce sont les entreprise qui le sont à hauteur de 100 milliards d'euros/ans ou 200 milliards d'euros/ans d'aides publiques aux entreprises + 20 milliards/ans du CICE (par la hausse de la TVA début 2014 pour en financer la moitié, etc) + le financement de la réforme des retraites (par la hausse et l'allongement des cotisations sociales salariales et le transfert des "charges" de la part patronale, vers la branche famille) + les exonérations de cotisations sociales en tout genre, etc)..., à l'histoire d'un chômeur au RSA ayant sillonné la France tout l'été..., pour exprimer ses difficultés..., elle tenta de crédibiliser ses idées politiques actuelles sur un bilan passé inavoué. Elle livra le spectacle d'une funambule sans fil quoi..., scotchée au sol.., et racontant un "exploit" intemporel... Elle en arriva à dénoncer l'insoutenabilté, et sans coup férir..., quitte à se ridiculiser même..., d'un mécanisme de distribution des prestations faisant nos protections sociales..., que son gouvernement mit en place pour partie..., du moins ré-arrangea, automatisa..., quand il s’acharna en prime à le complexifier, par ce qu'elle essaya de décrire...! Vous suivez jusque là...? En sommes c'est comme si un médecin accusait l'infirmière d'avoir mis le patient à amputer du bras droit, dans le mauvais sens de la lame de la scie..., quand il finit par se rendre compte qu'il lui a coupé le bras gauche...! Cherchez l'erreur...!
Mais ce fumée acide..., la puanteur de cette malhonnêteté... vous ayant piqué le nez à l'écoute de cette pirouette verbale et entorse intellectuelle ne peut être expliqué que par cette manière de renvoyer à ce gouvernement actuel la responsabiliser de leurs méfaits, de ces mines éparpillées et laissées par fait exprès...! C'est de bonne guerre à ce qu'il parait en politique...!? Que dire quand ce sont les pauvres qui trinquent...? Parce que l'astuce du politique..., est de savoir cacher à une partie d'un électorat qu'il prêtant vouloir défendre..., et/ou encore garder..., le fond de son projet politique et idéologique..., pouvant déplaire à cette clientèle... Il lui faut donc essayer de louvoyer entre les faits d'actualités, les buzz qu'il créée dé-fois, pouvant éventuellement lui servir pour présenter sa soupe..., avec le moins de grumeaux possible..., quand la salade n'a pas réussi à passer...! Et l'indigestion qui suivit, amené par la question d'Aymeric Caron sur le sujet des fraudes sociales et patronales, avait dépassé la talle des grumeaux et ressemblait, plus par la forme en tout cas..., à de gros oursins bien épineux...!
Cela n'enleva en rien cette morgue caractéristique à tout politicien et politicienne ayant éculé tous les plateaux télé, toutes les couvertures de presse..., pendant tant d'années..., quand..., acculée dans les cordes..., Mme Pécresse prétendit, le sourire au lèvres et la trahison épinglée par un signe de tension palpable, avec un petit rictus discret au coin de l’œil enjôleur de d'un très mauvais jeu d'actrice..., que ces fraudes patronales étaient un tort partagé. Et oui..! Vous avez bien entendu...! Elle osa...! D'après ses rencontres sur le terrain touristique de Montpellier..., et les dires des acteurs l'ayant interpellé.., du point de vu du patronat..., ce serait les jeunes qui ne voudraient pas être déclaré...! Et d'après les jeunes..., qu'elle a quelque peu discrédité au passage..., ce serait les patrons qui ne voudraient les déclarer. Pour en arrivé à un chiffre annoncé... de 20 milliards d'euros/ans de fraudes aux cotisations sociales patronales..., combien de jeunes et d'autres chômeurs-euses demanderaient (arriveraient à imposer) aux patrons de ne pas déclarer cette activité qui..., ayant la conscience de la crise dans laquelle ils-elles sont plongés-es..., les priverait de fait..., des moyens d'avoir des protections sociales à la fin de leur contrat de travail...? Même si c'est vrai qu'il doit exister certains-es fraudeurs-euses parmi cette population paupérisée, dans l'urgence du tout..., pensez vous réellement quelle justifie (et excuserait les patrons de fait, par cette culpabilité rejetée sur elle) la totalité du chiffre des fraudes qui à été présenté ainsi...? Et de plus..., quelle serait ce moyen de pression extraordinaire qui obligerait ainsi le patronat à céder à cette demande le mettant de fait hors la loi...? Des armes à feu peut être...?
Pour finir avce cette comédie bien tragique..., avoir entendu cette dame dire que "c'est pas énorme" que d'avoir à mesurer ce que 20 milliards d'euros par ans de fraudes aux cotisations sociales patronales manquent aux caisses déficitaires..., amalgamé à l'idée que l'impôt sur les entreprises et ces cotisations pèseraient de trop (avec ou sans les bulles..., heuuu..., les aides publiques...?)..., sur son air de "pauvre" victime éberluée par la question ou sa réponse (?)..., si ça ne ressemble pas à une manière ; et d'essayer d'excuser ces fraudes patronales criminelles (quand la petite délinquance est la cible préférée de ce parti politique, certains-es patrons-es)... ; et de déresponsabiliser cette ancienne gouvernance quand les chiffres présentés sont ceux de son exercice public, de son quinquennat...; et de nous prendre pour des cons-nes..., excusez du peu..., mais à quoi servez vous alors...?