L'été (politiquement parlant) s'achève "chaudement" dans les esprits rentrant à reculons vers leurs chaumières pour certains-es..., quand d'autres désepèrent d'en avoir ne serait-ce que l'ombre..., vers ce quotidien "ordinaire", pour certains-es..., infernal (chômeurs-euses, précaires dans l'emploi, etc) pour d'autres..., de leurs sempiternelles habitudes d'employés-es(où en recherche)/consommateurs-trices/électeurs-trices. Et pour le politique..., la sphère politicienne craignant la démotivation de cette force de travail qu'ils-elle veulent docile - leur pain béni quoi - ..., la baisse de rendement financier et d'un PIB que cet esclavagisme moderne fabrique s'articulant autour de l'emploi et la consommation - les élections n'étant là que pour distraire, faire rêver..., sur un autre temps que le quotidien et entretenir "l'espoir sursitaire", par leurs entre-faits sacralisés bien sûr, qu'une société la notre est encore unie - cet esclavagisme que nous feignons encore d'accepter..., ils-elles redoutent un autre enfer donc. Ils-elles s’inquiètent pour leur "envies" de rester à leurs postes d'élus-es (ministrables, ministres, et/ou autres) confortablement installés-es..., leurs fesses quoi..., avec leurs rentes tout autant confortablement rentables, l'entretien et le nettoyage de leur déchéance quoi...! Parce qu'une autre rentrée semble se dessiner dans le chaos, le désordre même que certains entretiennent, attisent avec soin et intérêt d'ailleurs.
Pendant ce temps en France..., sous l'inquiétude palpable mais diffuse de moment de zapping..., disons sous la perspective politique et rentière d'une rentrée scolaire et sociale mouvementée, instable même, mais qui doit être faite oublié à tout prix..., puis sous l'inquiétude artificielle en partie, téléguidé pour l'autre partie, pratique pour faire oublier les premières donc, sous la déviance autoritaire et policière et autres peurs de l'Islam, du Musulman, du lanceur d'alerte, de la criminologie s'accroissant dans la citée phocéenne, etc..., la rentrée des frais scolaire est présentée comme en augmentation avec la plus grande discrétion. Même que pour certains-es politiques et médias elle est faite avec le plus grand détachement, voir la plus grande insouciance même. Comme si ces augmentations diverses étaient "normales" d'ailleurs et justifiables en soi par la simple absence de débat économico-politique ..? Puisqu'on en parle pas il n'y a pas lieu de s'inquiéter des répercutions que cela peut avoir sur la population se paupérisant...?
C'est alors que les discours, les débats politiques a son sujet sont autant absents, inconsistants donc..., que ceux ci passent encore mieux comme un fait d'augmentation régulière, anodin et "normal" auprès de l'opinion public. On pourra même entendre la hausse de l'inflation venir temporiser cette hausse là. C'est d'autant plus facile quand les faits divers et rares de l'actualité Marseillaise par exemple (Regardez ce qu'en disaient des experts en mai 2012.., puis comparez les chiffres du nombre des policiers retirés entre 2007 et 2012 par l'ancienne gouvernance droitisée, soit 400 de moins pour seulement 250 remis par M. Walls) occupent ces esprits quelque peu hébétés par tout ce vacarme tumultueux et devant les écrans plats dernier cris et les discours de politique bronzés respirant que la bonne humeur quand la confiance s’évanouit...!
Mais qu'en est-il des réelles raisons économiques de ces augmentations et/ou des mots et idées des politiques sur ses méfaits annuelles, répétitifs, concernant la baisse du pouvoir d'achat des plus pauvres qu'en ils doivent accuser ce coût, cette charge, dans l'investissement des fournitures et des frais scolaires qui perpétuellement minent l'avenir éducatif des enfants en accentuant les inégalités...? Les bas salaires des emplois précaires des grands distributeurs et autres supermarchés ont été augmenté pour expliquer ces hausses...? Vous pensez bien que non...! Seuls les salaires des grands patrons et des cadres sup connaîssent la croissance depuis 2008...! L’abaissement de la taxe sur les produits de première nécessité ne serait pas suffisante...? Toutes les fournitures scolaires et frais scolaires n'en feraient pas partis alors...? Mais peut être, les pauvres n'ont pas à se plaindre car faut-il qu'ils se contentent de la hausse de 1,2% des allocations de rentrée scolaire..., quand la hausse des fournitures est de 1,4% au minimum sans compter la hausse des frais d'inscriptions, des assurances, etc......?
En défocalisant pour tenter de comprendre avec un grand angle économique, l'on peut se questionner comme cela. Mais cette hausse se justifie-t-elle par plus d'enfants scolarisés et d'étudiants-es assidus-es en 2013 au niveau mondial, "mondialisation" oblige...? Ces chiffres semblent démontrer le contraire pourtant...! En terme économique..., y a t-il plus de "demande" que "d'offre" justifiant ces hausses de prix sur la planète, comme en France..? Puisqu'on nous force à nous enchaîner à l'ère du capitalisme spéculatif de "l'offre" en dénigrant celui de la "demande" qui lui se fait plus soucieux de se qu'on nous vend, nous oblige à acheter chèrement (assurances, carburants, nourritures, etc...) quand les recettes s'épuisent, et de la qualité de plus en plus discutable qu'on nous "offre", il est alors "normal" de se questionner..., non...? L'on peut aussi voir les choses autrenement en se demandant s'il y a moins de matière première qu'on prétendrait encore avoir décelé et vouloir extirper, pour moins de jeunes consommateurs-tirces à éduquer et instruire...? Ce qui mettrait alors encore plus en grand danger ce système capitaliste...?
Et on peut enfin aborder la matière politique économique interne ainsi. A quoi servent ces cadeaux Franco-Français , ces "offres" sans contre-partie de 20 milliards/an du CECI qui s'additionnant aux 100 (et voir cette autre demande du MEDEF) où 200 milliards d'euros annuels d'aides publiques distribuées aux entreprises ne créant ni emploi supplémentaire, ne baissant pas plus l'accroissement de la pauvreté et la précarité dans l'emploi (au contraire même), ni ne règle le problème des inégalités (cet impôt direct régressif pour les plus riches)...? D'autant plus quand on vous mord la main tendue généreusement..., en pleurnichant et vociférant "à la confiscation", tout en se complaisant en fraudant le fisc, en pratiquant l'évasion, l'optimisation fiscale à hauteur de 60 à 80 milliards d'euros l'an (chiffre en net augmentation)...!
En bref et pour présenter les choses plus simplement..., la politique économique de "l'offre" décrite plus haut..., c'est autant d'argent en moins pour aider les plus nécessiteux, les plus faibles qui ne se bousculent pas dans les rues comme le font d'autres soit-disant "pigeons", ces 8,6 millions de pauvres vivant sous le seuil de pauvreté rien qu'en France. Quand "on" (les plus pauvres aussi payant les taxes à la consommation) offre à ceux n'en ayant vraiment pas besoin. C'est aussi des dépenses annuelles des deniers publics arrosant un désert et n'arrangeant en rien la situation financière des plus de 5 millions de chômeurs-euses toutes catégorie et territoires confondus, quand en plus "on" (partis politiques et par effet de diffusion la société) ne les culpabilise pas en les accusant "d'assistés-es"..., d'être les responsables de cette situation (on coûterait trop cher vous comprenez...?). Mais comme si cela ne suffisait pas cette politique économique voit même ses recettes financières, soit fiscales, fondre comme neige au soleil sans tenter grand chose d'ailleurs pour l'endiguer, ou si peu vu l'ampleur du phénomène..., quand elle ne cherche pas à nous leurrer en nous faisant croire encore qu'elle a quelque chose à nous offrir...! Mais à qui alors...? Des emplois de demain plus précaires...? Certainement. Des protections sociales calquées sur le modèle du moins disant social..? Assurément. Des services publics privatisé nous faisant payer, pour ceux et celles ayant encore les moyens..., la monnaie de la pièce de cette gratuité perdue...? La vengeance est un plat qui se mange, se dévore froid...!
Rien de tout cela ne semble vouloir être débattu médiatiquement, politiquement quand les sujets politiques de la rentrée semblent être et le "devoir" d'inventaire de la droite et du bilan Sarkozy peut être...(?) , et l'horizon de 2025 du potentiel bilan de la pseudo "gauche" au pouvoir actuellement..., espérant être peut être dans nos mémoires ces années là..?
Donc, en attendant, pauvre de vous et nous..., payez sans demander de ticket de caisse et autres justifications..., "simplification" oblige...!